Faute Caractérisée

l'internet sur son lieu de travail à des fins non professionnelles est de nature à constituer une faute grave rendant impossible le maintien du salarié dans l'entreprise. Un salarié se rendant sur son lieu de travail sur des sites "d'activité sexuelle et de rencontres" se rend coupable de manquements graves à ses obligations découlant du contrat de travail Ces consultations étant constitutives d’une faute grave.

son contrat de travail, et justifiant alors son licenciement. Mme X forme un pourvoi en cassation. Pour la chambre sociale de la Cour de cassation il s’agit de savoir si un rapport effectué à l’insu d’une salariée par son employeur et montrant une faute grave de celle-ci peut il être reçu comme une preuve légale et loyale? La Cour de Cassation, chambre sociale, infirme et casse la décision de la Cour d’appel de Nancy, visant les articles 8 de la convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme

mandat. Cependant : La démission ne doit pas être préjudiciable (abusive et d'une manière intempestive) à la société ou afin d'éviter un volume important de travail : sinon elle sera génératrice de responsabilité civile si la faute, le préjudice et le lien de causalité entre la faute et le préjudice ont été démontré. La démission ne doit avoir pour raison de se soustraire à l'exécution d'une obligation légale et en particulier la révélation d'un fait délictueux. Il en résulte que, la démission doit avoir

l’indemnité de licenciement, l’indemnité de congé payé et l’indemnité de préavis. Tout d’abord, en ce qui concerne l’indemnité de licenciement, le salarié a le droit a une indemnité légale ou conventionnelle sauf en cas de licenciement pour faute grave et faute lourde. L’indemnité légale est prévue à l’article L 1234-9 du code du travail, le salarié doit justifié d’un an d’ancienneté ininterrompue dans l’entreprise pour avoir droit à cette indemnité depuis la loi du 25 juin 2008. En l’espèce, le

irrésistibles, indépendant de la volonté de l’employeur ou du salarié) Faute grave du salarié ou de l’employeur, pas de terme précis, La rupture anticipée du CDD par le salarié est rendue possible lorsque l’employeur a commis un manquement grave à ses obligations essentielles. Sont assujetties à ces obligations essentielles et contractuelles le paiement des salaires. Si l’ont transgresse cette régle, l’employeur est en faute, le salarié peu demander des dommages et intérêts qui peuvent être égale

de travail déterminé. Il doit toujours être rédigé par écrit ou bien le juge le requalifiera de contrat à durée indéterminée. Il doit comporter la définition précise de son motif. Le contrat ne peut être rompu par les parties, sauf accord mutuel, faute grave du salarié. Ce contrat n’engage ni préavis, ni indemnité de licenciement. Le contrat a durée indéterminée (CDI) : C’est un contrat sans limitation de durée, à temps plein ou à temps partiel, entre un employeur et un salarié. Un contrat

revenu. En revanche, le montant prévu pour compenser la perte financière est lui imposable au titre des traitements et salaires. Le licenciement pour motif personnel Le licenciement pour motif personnel peut être disciplinaire (licenciement pour faute) ou non disciplinaire. Dans l’un ou l’autre cas, le fondement du licenciement doit avoir une cause réelle et sérieuse : 1) une cause réelle et sérieuse une cause réelle s’entend d’une cause établie, objective et exacte (selon les tribunaux) ; une

motif personnel c.-à-d. une faute, ou l’absence de faute (insuffisance de résultat) Le salarié licencié pour motif économique ou pour motif réelle et sérieux sera indemnisé par le versement d’indemnité de licenciement si sont ancienneté est de au moins un an c’est 1/5 de mois par année d’ancienneté et le double après 10 ans d’ancienneté. En cas de licenciement pour faute grave le salarié ne percevra pas d’indemnité de licenciement ni d’indemnité de préavis. En cas de faute lourde il n’aura même pas

Cassation a notamment considéré qu'un salarié ayant attendu 19 jours pour adresser son avis d'arrêt de travail en dépit de deux lettres de son employeur l'invitant à s'expliquer sur son absence rendait impossible son maintien dans l'entreprise de par la faute grave que constituent ses engagements. Cependant l'absence de certificat ne peut faire considérer le salarié comme démissionnaire et cela a notamment été rappelé par une décision de la chambre sociale de la cour de cassation datant du 11 Janvier 2006

des époux. Elle forme donc un pourvoi en cassation, pourvoi général. Le mari forme notamment un pourvoi incident en cassation. La femme demanderesse au pourvoi, invoque que son mari s'est fondé sur son journal intime pour apporter la preuve de sa faute, et donc que la Cour d'appel a violé l'art 9 et 259-1 du C.Civ. Les propos tenus dans son journal ne peuvent être considérés comme un aveu et donc que la Cour d'Appel a violé l'art 1355 du Code civil. De plus, elle précise qu'il appartient au mari