Faux évolutionnisme De Lévi Strauss

l'auteur de l'article, un certain M. Piron, reproche à l'ethnographie de détruire. Comme M. Caillois, il s'en prend à Michel Leiris et Lévi-Strauss. Au premier, il fait reproche d'avoir écrit, dans sa brochure, La Question raciale devant la Science moderne : « Il est puéril de vouloir hiérarchiser la culture. » Au second, de s'attaquer au « faux évolutionnisme », en ce qu'il « tente de supprimer la diversité des cultures, en le considérant comme des stades d'un développement unique qui, partant

l’auteur de l’article, un certain M. Piron, reproche à l’ethnographie de détruire. Comme M. Caillois, il s’en prend à Michel Leiris et Levi-Strauss. Au premier, il fait le reproche d’avoir écrit, dans sa brochure, La Question raciale devant la science moderne : « Il est puéril de vouloir hiérarchiser la culture. » Au second, de s’attaquer au « faux évolutionnisme », en ce qu’il « tente de supprimer la diversité des cultures, en les considérant comme des stades d’un développement unique qui, partant

l'auteur de l'article, un certain M. Piron, reproche à l'ethnographie de détruire. Comme M. Caillois, il s'en prend à Michel Leiris et Lévi-Strauss. Au premier, il fait reproche d'avoir écrit, dans sa brochure, La Question raciale devant la Science moderne : « Il est puéril de vouloir hiérarchiser la culture. » Au second, de s'attaquer au « faux évolutionnisme », en ce qu'il « tente de supprimer la diversité des cultures, en le considérant comme des stades d'un développement unique qui, partant

t celle qui  consiste à énoncer ce qui est à démontrer avant de passer à la démonstration.  Dans cette perspective, nous nous permettons de prendre le risque de  commencer cet exposé par un questionnement ! Ne serait‐ce pas nous mettre en  porte‐à‐faux avec cette définition de l’introduction que nous venons d’énoncer  au préalable. Absolument pas, puisque toute recherche ou toute idée de  recherche se fonde sur un « questionnement ». La question : celle qui est  première et fondamentale, celle qui doit diligenter toute recherche

en physiologie, on ne peut pas partir des parties et de même pour la vie sociale, on ne peut pas partir des individus. La somme des individus est une réalité différente. De l’organicisme à l’évolution Il y a un lien entre organicisme et évolutionnisme. Dans une communauté, ce qui compte, c’est le groupe : l’individu est soumis au groupe. Dans la société, c’est l’individu qui est premier. Avec cette conception organiciste de la société, on est dans une perspective d’évolution. On a

incontrôlable, contre laquelle les différents interdits mettent en place un ordre : à la nature, d’abord synonyme de désordre latent et toujours menaçant, s’oppose l’ordre de la culture. L’interdit de l’inceste... L’anthropologie contemporaine (Claude Lévi-Strauss) considère que l’élément inaugural de la culture est laprohibition de l’inceste, qui interdit les relations sexuelles avec les personnes considérées comme parentes (dans la société occidentale, il y aurait inceste en cas de relations sexuelles

profondeur la portée des idées morales et républicaines de Rousseau. Durkheim a vu en lui le précurseur de la sociologie à partir de la description qu’il a donnée de la conscience collective et de la spécificité du social. Plus près de nous, Claude Lévi-Strauss a fait de Rousseau le fondateur des sciences de l’homme, non seulement par sa façon de prévoir l’ethnologie et d’avoir su distinguer l’objet propre du moraliste, de l’ethnologue et de l’historien ; mais surtout par son refus de demeurer prisonnier

sociologie. Exemple : Les goûts musicaux Certaines écoute du Rap, de la musique classique, .. Il y a variété et pluralité de goûts musicaux et penser que la diversité de ses goûts est liés à des penchants personnels, intimes non rationnels est faux. Quand on s'appuie sur des statistiques et quand on fait une sociologie fine des goût musicaux, on s'aperçoit qu'il y a correspondance des goûts musicaux et des milieux sociaux d'origines. C'est ce que s'est attaché à faire Pierre Bourdieu dans

maître qui saura garantir l’ordre( tyrannie. LA JUSTICE COMME IDÉAL POLITIQUE La justice La justice : harmonie d’une collectivité, ordre ou chaque chose est à sa place. Injustice : se cache derrière les illusions que génèrent les illusions, les faux discours démocratiques. Ainsi la démocratie participe parfois à l’assassinat de la vérité, lorsque l’erreur à le pouvoir. « la justice veut que l’homme mette de l’ordre en lui » La politique : donner force de loi à la vérité et instituer l’Etat,

des ornières dans la formation : une petite fille réussit d’habitude très bien en rédaction. Mais actuellement elle sèche : c’est qu’il faut écrire une poésie sur son papa et le sien est mort ! Une preuve que les livres pour enfants20 traitent sans « faux nez » ou détours hypocrites, les sujets de fond que l’école, trop souvent (comme le Père Ubu faisait pour les Polonais !) jetait à la trappe, sans autre forme de procès ! Depuis les publications (et représentations) des ouvrages de cet ancien professeur