Favela

défavorisées, notamment urbaines. La langue parlé est le portugais Le Brésil est la plus grande nation catholique de la planète. L’Eglise y tient une place très importante et cimente encore la culture brésilienne. Il y a pleins d’Eglise catholique : Des favelas de Sao Paulo aux sans-terre du Nordeste en passant par l'ancienne cité esclavagiste Salvador de Bahia, la piété des Brésiliens 5. La demande La densité de la population est de 24 hab/km2 , ce qui lui donne la place de 5ème des pays les plus peuplés

contre les discriminations ? Quel rôle les sponsors et leurs XIII. stratégies de communication peuvent-ils jouer dans ce domaine ? Le football sur le devant de la scène médiatique Le football est l’un des sports les plus populaires du monde. Des favelas du Brésil aux bidonvilles d’Afrique, en passant par les grands stades d’Europe, le football se joue, se rêve, devient rituel, sans frontières culturelles ni sociales. Certains joueurs sont élevés au rang de superstars, d’icônes. Mais aucun championnat

réduire fortement, il est aujourd’hui de 6%. Ces jeunes qui ont accès à l’école ont donc moins de chance de se retrouver dans les rues où les gangs font la loi. Les autorités ont déclenché en 2010 une guerre contre ces gangs implantés dans les favelas des grandes agglomérations en vue des Jeux Olympiques 2016. Toutefois, l'insécurité s'est maintenue à son niveau car le Brésil constitue un lieu de consommation de drogues important et un lieu de transit de tout premier ordre. Néanmoins, les statistiques

plutôt basé à Rio de Janeiro, ou l'ALN (Action de libération nationale), basée à São Paulo. C'est finalement la crise financière qui mine la plupart des pays d'Amérique du Sud, le développement de la pauvreté et de l'insécurité dans les immenses favelas, ainsi que la ruineuse corruption des militaires et les mouvements syndicaux qui feront perdre les derniers soutiens économiques du régime militaire. [modifier] Restauration de la démocratie En 1985, Tancredo Neves fut élu à la présidence, mais décéda

tres presente dans le milieu sportif comme le foot , elle a dâilleurs edite pour la coupe du monde de foot une serie limitee avec les couleurs des 32 equipes participantes. Crees en 1962, les tongs havaianas servaient a chausser les habitants de favelas. En 1998, le symbole national du bresil apparaît sur la bride de la tong, sous forme de drapeau. En 2005, un modele slim de la tong voit le jour, les prix augmentent, des filiales se creent en europe (20% des ventes). Marque vendue depuis 1997

Colomb. Aujourd'hui, les Nord-Christoforicains iraient en 4x4 au néfast food du coin pour s'injecter des graisses saturées dans les artères pendant que les Sud-Christoforicains choisiraient entre une balle perdue et la dysenterie pour mourir dans les favelas du nouveau monde. C'est vrai que « Christoforique » c'est plutôt moche comme nom pour un continent, mais depuis cinq siècles, on aurait fini par s'y habituer. Conclusion Dites non à la drogue.

(ceux laissés libres…) : marécages, flancs de collines… Ces habitations sont généralement composée de matériaux de récupération et ne sont équipées ni d’eau ni de l’électricité, sauf à détourner les réseaux publics. Au Brésil, on les appelle des « favelas » et la plus grande d’entre elles abrite 200 000 habitants. Il existe dans ces quartiers un très fort taux de chômage l’économie s’articule donc autour du marché noir ce qui favorise l’apparition ou le développement de réseaux mafieux, qui s’accompagne

attentif et sélectif. Le brésil fait partie des Pays dans lequel on peut trouver de fortes inégalités (à l'instar de l'Inde). Les ségrégations quelles soit sociales ou bien raciales existent belle et bien entre les habitant des bidonvilles (les favelas) et les habitants des grandes villes telles que Rio de Janeiro. De ce fait les habitudes de consommations ne sont pas les mêmes pour les différentes catégories : les classes supérieures se distinguent par un mode de consommation proche de celui

globalisée ne garantit nullement ces possibilités. Au Brésil, par exemple, les terres sont accaparées pour faire des biocarburants, ce qui chasse les petits paysans, ceux qu’on nomme « les sans terre », qui finissent par grossir la pauvreté dans les favelas. Ce paysan n’est pas un homme qui choisit pour lui-même, c’est quelques hommes qui font des choix politiques pour lui. Que pouvons-nous faire pour que chaque homme, chaque femme, soit libre de ses choix G Nous partons, pour débattre, du postulat

On observe également des inégalités à l’échelle de São Paulo, qui se trouve dans la partie la plus développée du pays. A São Paulo, les niveaux de développement décroissent depuis le centre vers la périphérie. De plus, même si l’essentiel des favelas (bidonvilles des villes brésiliennes) se trouve dans les quartiers périphériques les moins développés, certaines sont dans le centre-ville. • La carte de l’IDH du Brésil fait apparaître différents niveaux de développement alors que le document