Favela

deux indices, l’IDH et l’IPH (poycopiés). Une grande partie des PVD surtout africain ont des idh faibles. Dans les villes des PVD, il y a une forte ségrégation sociale. Faute de logements, de nombreuses personnes résident dans des bidonvilles ou favelas dans lesquels la situation sanitaire est déplorable (pas d’accès à l’eau potable, pas d’électricité). Ces taudis sont généralement localisés dans des endroits insalubres et dangereux (flanc de montagne, près des décharges publiques, eau stagnante)

effectives du pouvoir public en observant les limites de sa capacité/volonté d´action dans les quartiers « abandonnés » suivant des logiques différenciées dans les Amériques : ghettos « ethniques » aux États-Unis, « colonias proletarias » au Mexique, favelas au Brésil (Bastos et alii, 1996), etc. 17 A l´inverse, certains quartiers sont systématiquement favorisés par l´intervention publique dans le traitement de l´espace. C´est le cas par exemple du traitement monumental des centres-villes, qui

une volonté de séparer les riches des pauvres et se sentent menacés par l'avancée de ces cités. Il y a ici une image qui pourrait faire sourire, même si ce n'est pas le même contexte. Dans les quartiers de favelas, par exemple, ce sont les habitants de quartiers riches qui ont peur des favelas. Ici c'est le contraire, ce qui pourrait se traduire par le fait que ces quartiers de gecekondus ne sont pas forcément violents où il n'y aucune sécurité malgré le fait qu’il n’y ait pas de surveillance comme

l’automobile) .Cependant pas de véritable développement :exportation de matières premières surtout, déficit structurel, importations endettement extérieur, qui mène à une instabilité sociale(coup d’Etat militaire en 1954), et aggravation des inégalités(favelas)structure latifundiaire qui ne prend pas fin. C. Une industrialisation par insertion dans la division internationale du travail (DIT) : l’exemple de la Corée du sud. situation difficile entre 1950-1960. Colonie japonaise entre 1910-1945 puis

comme l'exprime bien Jean Ziegler, de réveiller la conscience de toute l’humanité sur la honte infligée à tous ceux qui ne peuvent pas manger à leur faim, à tous ceux qui ne peuvent pas accéder aux soins de santé ou encore qui croupissent dans les « favelas » brésiliens suite aux conditions économiques, politiques et sociales imposées par les « nouveaux seigneurs féodaux ». Un éveil de conscience, une révolution et un bouleversement de ce système s'imposent pour tous les hommes de bonne volonté. L’œuvre

curiosité pour de nouvelles pratiques à l’issue de chaque visite. Devant chacun des trois magasins, nous installons des terrains de jeux, et même un centre de plongée à Campinas. Les locations sont à bas prix, et parfois même gratuites : les écoles des favelas en profitent aussi. III / Préconisations et hypothèses |FORCES |FAIBLESSES | |

Progressivement Kader Attia va diversifier son travail sur la déchéance urbaine et l’étendre en dehors du territoire français, notamment dans Kasbah. Cette installation est un aggloméras de toits et de terrasses, évoquant comme vus de haut les bidonvilles ou favelas qui existent dans le monde, en Afrique ou en Amérique du Sud ou d’autres pays défavorisés. La Kasbah est réalisée avec des matériaux de récupération, formant une composition de tôle ondulée, de pneus, mais aussi de paraboles dispersées ici et là

l’échelle de la ville de São Paulo, qui se trouve pourtant dans une des parties les plus développées du Brésil. Globalement, les niveaux de développement décroissent depuis le centre de São Paulo vers la périphérie. D’autre part, même si l’essentiel des favelas est situé dans les quartiers les moins développés en périphérie, certaines sont toute de même présentes dans le centre-ville. • La carte à l’échelle nationale faisant apparaître différents niveaux de développement alors que le planisphère n’indique

orifices, 2004. Sous la direction de Claude FINTZ, Le corps comme lieu de métissages, 2003 Serge CHAUMIER, Des musées en quête d'identité, 2003. Claude FINTZ (dir.), Du corps virtuel... à la virtualité des corps,2002. Paola BERENSTEIN JACQUES, Les favelas de Rio: un défi culturel, 2001. Lydie PEARL, Corps, sexe et art, 2001. Lamine Ndiaye Parenté et Mort chez les Wolof Traditions et Modernité au Sénégal PRÉFACE DE PATRICK L'Harmattan BAUDRY @L.HARMATTAN.2009 5-7, rue

Leào. Et, un jour, à l'aube, alors que j'étais en train de penser à une histoire de la mythologie grecque, le mythe d'Orphée, (...) j'ai commencé à entendre d'un morne voisin une batucada ». Il imagina alors de transposer le mythe d'Orphée dans les favelas. Il commença donc à écrire, en 1942, ce qui devait devenir une pièce de théâtre, Orfeu da Conceição, mais, faute de temps et de financement, cette pièce ne fut pas montée tout de suite. En 1955, alors qu'il était à Paris où il avait été envoyé comme