Fécondation in vitro

qu’entend-t-on par ce terme, et est-ce que cette technique est autorisée en France ? |   | | |   | Il ne faut pas confondre bébé médicament et clonage. En effet, dans le cas des bébés médicaments, l’intervention médicale se limite à une fécondation in vitro, un diagnostic préimplantatoire, et une insémination artificielle. Des actes médicaux qui ont permis, en France et dans le reste de l’Europe, d’éviter la naissance d’enfants atteints de maladies génétiques grave dans des familles à risques

de mai 68 aux manipulations de la procréation humaine, et à la reconnaissance de l'homoparentalité.  "La science voudrait-elle avoir raison contre la filiation, voire avoir raison de la filiation, et effacer jusqu'à son nom ? (...). Avec la fécondation in vitro, ce n'est rien moins que l'alliance des sexes dans la parentalité qui se trouve descellée". L'exemple du clonage est aussi symptomatique de cette fracture. "Ce n'est pas ce qu'est le clonage qui fait surgir cet effroi. C'est en creux qu'il

La position des religions Le judaïsme Plus permissif que le catholicisme. Il autorise des inséminations artificielles (avec sperme du conjoint uniquement, le contraire étant considéré comme un adultère), la fécondation in vitro (FIV), la congélation d’embryons, et le diagnostic pré implantatoire. Ces techniques doivent être réservées à un couple hétérosexuel, sauf dans le judaïsme libéral. Le catholicisme L’Eglise catholique ne s’oppose pas à la procréation médicale assistée. Le Vatican considère

d'infertilités entre eu. le sperme congelé ; c'est la méthode que l'ont utilise pour le dont de spermes mais aussi pour préserver le sperme d'une personne qui risquerai de devenir stérile. Il existe aussi des techniques que l'on apelle « in vitro » Il existe la FIVETTE (FIV) qui consiste à prendre des ovules sur la femme et de les cultivées avec des spermatozoïdes pendant quelques jours. Les ovules de meilleur qualité sont sélectionné puis implanté dans l'utérus de la femme. Cette technique

l’homme inséminé artificiellement ou fécondation in vitro avec un ovule et le sperme de l’homme, et réimplantation de l’embryon dans l’utérus de la femme ; ou externe : don de sperme, d’ovule ou d’embryon de personnes tierces. Dans le premier cas, la filiation de l’enfant de l’enfant né sera légitime, si les parents sont mariés, et naturelle, s’ils ne le sont pas. Dans le second cas, en cas d’insémination artificielle avec le sperme d’un tiers, de fécondation in vitro avec recours à des gamètes extérieurs

suivie du transfert de l’embryon dans l’utérus de la femme du couple 2. Cette technique à 20% de chance de réussite. Cas 3 : La femme à ses trompes obstruées. On fait une FIVETE (Fécondation in vitro et transfert d’embryons). On prélève des ovules et des spermatozoïdes, puis l’on fait une fécondation in vitro, on attend le développement des embryons, puis l’on transfert ces derniers dans l’utérus de la femme. Mais la science a aussi permis a d’empêcher la procréation, grâce a des méthodes

clonage : le clonage reproductif ou embryonnaire et le clonage thérapeutique ou cellulaire. La première consiste à donner naissance à un individu génétiquement identique à un autre individu, c’est un mode de reproduction asexué, une reproduction sans fécondation. Il permet la création d’un individu qui a reçu son matériel génétique d’un donneur, l’individu est donc génétiquement identique à ce donneur. Notre clone est-il notre double, est on unique ? En effet notre clone n’est en aucun cas nous, c’est une

un enfant. Cela représente une véritable angoisse pour de nombreux couples. L’assistance médicale à la procréation (AMP) ou la procréation médicale assistée (PMA) permet d’aider les couples ayant un problème d’infertilité et notamment la fécondation in vitro (FIV). Le don de gamète est légalement autorisé pour un couple hétérosexuel, couple homosexuel, pour les femmes célibataires,ne désirant pas de rapports sexuels ainsi que pour une femme porteuse du virus VIH lorsque sa maladie est bien contrôlée

bio-logie ». Mais alors, s’il devient possible de maîtriser parfaitement un jour la connaissance des processus de la vie, il s’avérera du même coup possible de transformer le vivant. C’est ce à quoi nous assistons aujourd’hui avec les OGM, la fécondation in vitro et toutes les inquiétudes soulevées par la possibilité du clonage. Le sujet engageait donc assez clairement des enjeux éthiques (du type : sera-t-il possible un jour de choisir sur catalogue les caractères précis de nos enfants ?). Problème

droit d’utiliser tous ces nouveaux moyens dont elle dispose aujourd’hui ou bien si elle doit juste ne pas dépasser certaines limites. En conclusion, je dirais que personnellement la médecine n’a cessé de progresser ces dernières années avec la fécondation in vitro pour les personnes stériles ne pouvant avoir d’enfant par exemple. Dans ce cas on peut dire que la volonté humaine a dépassé celle de la nature depuis bien longtemps ainsi que d’autres techniques telles que l’avortement. L’effet bébé-médicament