Féminisme musulman

Présentation du contenu de l’ouvrage 1) Ni putes ni soumises est un ouvrage de Fadela Amara. Fadela Amara une femme politique née le 25 avril 1964 à Clermont-Ferrand. Dans les années 1980, elle fut membre de SOS racisme, à la fin des années 1980, elle se consacre à la cause féministe et notamment aux problèmes des femmes vivant dans les quartiers difficiles. Le mouvement de « Ni putes Ni soumises » qu’elle préside formalisera son engagement. Elle met en place un tour de France de l’association

positif, néanmoins, dans ce réquisitoire : défense des femmes car elles ne sont pas responsables des tares d’un système qu’on leur impose. C’est pourquoi se pose la question du féminisme (des héroïnes et de l’auteur). II. Laclos et le féminisme. Laclos a toujours affirmé à ceux qui mettraient en doute son féminisme que, si Merteuil peut exister, c’est un exception, et que, comme Molière, il a peint le vice pour en détourner (cf. citation de Rousseau mise en exergue). A. Le « cas » Merteuil

REALITE ET LIMITES DE LA PARTICIPATION DES FEMMES A LA REVOLUTION. La société occidentale du 18eme siècle est chrétienne. Les croyances anciennes sont omniprésentes : la femme a été crée à partir de l'homme. Le comportement des hommes à l'égard des femmes repose sur ce mythe : elle doit tout à l'homme et lui est soumise. C'est pourquoi ce sont les hommes qui sont les principaux acteurs de la période révolutionnaire de 1789 à 1799 en France. Cependant, après bien des siècles de soumission face à l'homme

philosophie des lumières a posé au moins dans ses principes l’égalité entre hommes et femmes. Il faudra cependant une quête soutenue de ces dernières pour l’obtenir et la rechercher ensuite dans la vie professionnelle. A- L'histoire des femmes Le Féminisme, terme apparu au XIXème siècle regroupe tous les mouvements d’émancipation et de revendication des droits pour les femmes. Déjà en 1789, un cahier de doléances des femmes du Tiers Etat, est adressé au roi pour revendiquer un autre choix que celui

culpabilité, désespoir. C’est ce dont parle l’américaine Judith Warner, dans son livre Mères au bord de la crise de nerf qui traite de la difficile conciliation entre vie professionnelle et vie privée et de la troisième génération de femmes issue du féminisme, redevenues « mères à temps plein », enfermées dans la « tentation de la perfection ». Pour Judith Warner, ces mères au foyer ne se sentent pas seulement psychologiquement mal ou fatiguées par leur situation mais surtout trahies par le discours de

mais aussi leurs désirs. C’est pourquoi nous osons prétendre qu’à l’encontre de bien de leurs contemporains, ce n’est pas en objet qu’ils considèrent les femmes et qu’au contraire, ils portent sur elle un regard moderne. En faire des ancêtres du féminisme serait ridicule mais les femmes sont pour eux des êtres responsables et non des « mineures », comme le dénonce la Marceline du Mariage de Figaro[1] CHAPITRE 1 : L’IMAGE DE LA FEMME AU XVIII EME SIECLE[2] Plus que les hommes, les femmes

multiples révolutions qui ont marqué les plus grands courants artistiques. Elle en traverse plusieurs tels : le surréalisme ,l’expressionnisme abstrait ,l’hyper réalisme et l’art conceptuel. Malgré son implication dans plusieurs courants comme le féminisme, elle ne se laisse pas séduire par eux. Elle se base sur le livre de sa vie pour réaliser ses œuvres, tout en restant pionnière dans le domaine de l’étude de l’inconscient et de la violence. « Dans mon art je suis la meurtrière, dans mon art, la

culturelle, de civilisation où hommes et femmes sont égaux en droits et en possibilités de réussite elles font voler en éclat cette domination paternelle qui faisait d’elles des mineurs sous la loi. Cette domination sera abolie en 1970 et de là naîtra le féminisme. b) Le droit d’avoir le choix Cette marche vers la liberté fait naître une force chez ces femmes, ces féministes et d’autres revendications pour une égalité vont se bousculer : le droit au travail, à la parité. Mais le cheval de bataille

d’ouvrage de Jean Delumeau, se fonde socialement par la présence de la Gorgone, de l’être différent qui est aussi un même, et qui menace l’ordre social par ses nouvelles capacités sociales et économiques. Les sorcières, les juifs, les gitans, les musulmans habitent l’univers fantasmé par la terreur religieuse, puis, se relaient les homosexuels, les prostitués et les pauvres errants qui élargissent les figures de la peur à tous les points sociaux de l’anormalité. À la Renaissance, alors que le monde

journaliste Edith Mora en 1964, Gabrielle Marquet, ou encore Andrée Chedid « dont certains poèmes transpirent une féminité revisitée ». « Je peux écrire au masculin » Comme pour marquer le dépassement du courant agressif et différentialiste du féminisme, les « contemporaines » -Albane Gellé, Sapho, Marie-Claire Bancquart, Marielle Anselmo, Camille Aubaude, Claude Ber, ou encore Béatrice Bonhomme-, se côtoient dans les anthologies féminines, tout en niant que leurs textes soient marqués par leur