Féminisme radical

Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne - Olympe de Gouges Olympe de Gouges (née en 1743 morte en 1793) fut l’une des pionnières du féminisme au moment de la Révolution française, tout comme Théroigne de Méricourt et Claire Lacombe. Issue d’une famille noble, elle trouvera un sens à son existence par la revendication de l’égalité de droits. Femme très engagée, elle ira jusqu’à provoquer un chroniqueur en duel parce que celui-ci n’avait pas pris en compte son œuvre. L’œuvre de sa

ensemble de dispositions juridiques ont donc brisé les liens de subordination qui caractérisaient la famille traditionnelle. En facilitant le divorce, il accentue l’idée du mariage comme choix libre, et donc révocable. Il en résulte un déplacement radical de cette institution, traditionnellement réglée par le souci de la descendance, et donc centrée sur la filiation. Le mariage est actuellement pensé et vécu comme une alliance entre deux individus à la recherche de leur bonheur. Or, les masculinistes

suffrage universel direct, qui fait désormais des électrices – plus nombreuses que les électeurs – une force avec qui compter. En outre, cette élection au suffrage direct s’est rapidement conjuguée – à partir de 1970 – avec l’explosion d’un féminisme radical, qui met la question des droits des femmes à l’agenda de tous les candidats à la présidentielle. Ainsi la faible représentation parlementaire des femmes n’a pas empêché l’adoption en France depuis les années 1960 de lois et de politiques publiques

incompatibles. Il faut savoir que les courants politiques désignés d' « extrême gauche » rejettent parfois cette appellation qui peut être interprétée comme une assimilation avec l'extrémisme (terme péjoratif). L'extrême gauche, également appelée gauche radicale, en France milite avant tout pour le renversement du capitalisme par la révolution, pour l'instauration d'une société égalitaire et pour un autre mode de production (par exemple l’autogestion). Parmi les idées caractéristiques des mouvements classés

politique, qu'elle poursuivra jusqu'à sa mort. En 1870, elle est élue présidente du Comité de vigilance des citoyennes du XVIIIe arrondissement de Paris. Très active pendant la Commune, Louise Michel fait partie de la frange révolutionnaire la plus radicale et se porte même volontaire pour aller seule à Versailles tuer Adolphe Thiers. Sa mère ayant été arrêtée et menacée d’être exécutée pour faire pression sur elle, Louise Michel se rend pour la faire libérer. Surnommée « la Vierge Rouge », elle est

général, sur les intérêts particuliers, au moyen d’une organisation concertée » (Le petit Robert 2002). Tous les courants peuvent s’en réclamer, anarchistes comme marxistes, réformistes comme révolutionnaires… Remarque identique sur le terme « radical » : dans les milieux anglo-saxons et souvent comme adjectif en France : mouvement de gauche, extrémiste. Cependant en France, le radicalisme comme mouvement politique est un fort courant de centre-gauche, très puissant surtout sous II° et IV° République

traditionalisme au radicalisme B) L’islam culturel et l’islam politique C) la pratique sociale Page 12 à 16 3) les différents pas vers l’occidentalisation A) Le féminisme Turque B) Les différentes lois, associations C) La question de la laïcité Page 17 Conclusion Page 18 Sources Page 19

19 au 20 siècles… Lors du XIXème siècle, la société est dite libérale, démocrate, mais est-ce que la Belgique a été comme elle se disait égalitaire ? Nous constatons dans les années 60 que beaucoup de mouvements se développent dont le féminisme. « Le féminisme est une doctrine qui lutte en faveur des droits égaux entre l’homme et la femme.»[2] Il n’est pas né en 60 mais il a fallu un développement évolutif sur plusieurs années. Il existe différents courants féministes, en 1789-1850 : un mouvement

nuancée que cela! Avec l'évolution de la société, les rôles des uns et des autres sont moins clivés et sont devenus plus polyvalents, interchangeables, modulables. Aujourd'hui, il a été démontré que la dichotomie entre les sexes n'était pas aussi radicale qu'on le pensait. En tant qu'hommes, nous avons tous une part plus ou moins importante de ce que l'on qualifie de "féminité". Et il faut pouvoir assumer cette dimension! Dans l'autre sens, il en est de même pour les femmes qui doivent aussi assumer

cultiver la différence dans l’unité et pour cela la femme doit aussi accepter son statut d’Homme. On peut pourtant voir que le féminisme tente un retour au sources vers l’amélioration de la vie des femmes dans cette société en menant de nouveau combats, plus sociaux : combat pour les crèches, les maternités, les gynécologues… D’autres mouvements à mon sens plus radicaux sont selon moi voués à disparaître car on tendance à orienter leur débat vers la haine de l’homme…c’est une grande déformation de