Femme de couleur

se partagent le haut de l’affiche de la mode 1920. La femme des années 20 a une nouvelle silhouette : la minceur devient une référence et pour la première fois, le bronzage devient populaire. Elle porte les cheveux courts à la garçonne, qu’elle cache sous un chapeau cloche pour les sorties. La robe chemise fait une entrée très remarquée dans la garde-robe : elle est déclinée par de nombreux créateurs et est portée par toutes dans des couleurs vives. La mode des années 20 voit naître une petite révolution

ressemblant à une voiture de sport, de couleur jaune. La voiture de sport et cette couleur peuvent faire penser au luxe Au premier plan ==> on voit une partie du corps de la femme, écrasée sous un hamburger (gonflable). La lumière vient de la droite, elle met en évidence le hamburger, la femme ainsi que la voiture, l'oeil est focalisé sur le hamburger qui atteint une taille disproportionnée (par rapport au reste du décor). Les couleurs utilisées sont des couleurs vives, ce qui attire le regard.

longue branche du lièvre. Je vois une femme à moitié-nu portant une torche allumée. Dans ces cheveux, on peut observer un serpent. On voit la tête d’une deuxième femme, elle tient un serpent dans sa main droite. On ne voit pas son corps. Au milieu, on voit un homme couvert en très petite partie qui se bouche les oreilles. Il y a un mouvement du corps. Ensuite, il y a trois mains montrant une autre femme. La troisième femme semble pareille aux autres. On voit une femme portant un drap rouge sur son corps

Exposé a rendre FEMME NOIRE vendredi 26 août 2011 EXPOSE:FEMME NOIRE SITUATION Ce poème de Léopold Sédar SENGHOR est un extrait de son recueil CHANT D'OMBRE, publié en 1945. Senghor qui fut le premier président de la République du Sénégal, s'est toujours engagé dans la lutte pour l'émancipation de l'homme noir et la revalorisation des civilisations négresses. Senghor ravit de la nostalgie des souvenirs d'enfances qu'il a vécu dans son pays natal, vont lui pousser à la description physique

En retraçant l’histoire des femmes, de l’Antiquité à nos jours, émerge souvent le sentiment que toute évolution de la condition et du statut social de la femme est dépendante de l’image que l’homme a de son homologue féminin. Certes, en fonction des civilisations, des religions, des contextes culturels apparaissent des changements dans les manières d’imposer à la femme des devoirs mais, globalement, il s’agit bien d’une histoire des contraintes imposées par les hommes. Jusqu’à une époque récente, les sources

de poèmes des Fleurs du Mal. Mais l’un des textes les plus achevés, dans ce domaine, est sans conteste un poème en prose où l’auteur met en scène une superbe jeune femme des îles dont la beauté enchanteresse sidère littéralement le paysage et ses habitants : « La Belle Dorothée ». Dans ce poème, la description est riche en couleurs et en détails : obéissant à la maxime antique, Ut pictura poïesis, le poète, qui emprunte la palette du peintre, s’attache à brosser un véritable tableau vivant. On

plan un couple sur une falaise s'embrassant, ils sont seules dans l'espace. Leurs corps sont cachés par deux capes, l'une recouverte de rectangles noirs et blancs, symbolisant l'homme et l'autre orné de ronds colorés et de fleurs, représentant la femme. Grâce à la cape il y à une fusion entre les deux corps qui ne semble faire plus qu'un . On remarque des fleurs par terre, on pourrais supposer que c'est le printemps. Il y a comme une pluie de triangles, d’étincelles d'or qui envahissent le pré fleuri

dans un lit avec une femme à hauteur de sa taille. L'homme est dénudé avec les bras écarté. La femme quand à elle est de profile, elle porte un tissus (qui est en faite le couvre lit) bleu qui lui couvre tout le corps et une partie de la tête. On peut aussi remarquer qu'elle a les mains jointes près de sa tête. le lit est défait et il y'a aussi quelques objets comme un carton de pizza en dessous du lit et un vêtement posé sur le lit qui appartient, nous le supposons, à la femme. D'où vient la lumière

désormais partie des classiques de l’habillement, comme le tee-shirt et le jean. Bien née, cette robe, bien que prude à sa création, manches longue et raz-du-coup, a créé un petit scandale lors de sa présentation, par sa légèreté, et surtout pour sa couleur noire. « Il n’y a d’autre beauté que la liberté du corps » disait Chanel. Si cette robe revendique la féminité, c’est d’abord par le corps. Un corps qui se libère et se profile dans une robe courte, légère et confortable. La petite robe noire permet

rupture avec « quand d'occident » au 1er tercet et conclusion au 3e tercet par « alors »). l 1er quatrain : fuite de la nuit l 2e quatrain : arrivée de l’aube l 1er tercet : apparition de la nymphe (= la femme aimée). l 2e tercet : rivalité entre la femme et l’aurore, triomphe de la femme II. Mise en place d'un cadre enchanteur 1) Fuite de la nuit 2) l personnification de la nuit (« amassait », « fuyant », « chassait ») l métaphore de la nuit : la nuit rassemble son « troupeau d'étoiles »