Femme de lettres

dans une: « si longue lettre de Mariama Ba » Introduction : Parler de l’image de la femme du Sénégal telle quelle est vue par Mariama Bâ dans Une si longue lettre, selon la tradition africaine et la religion musulmane, est inévitable. A travers Ramatoulaye, son personnage principal et la technique épistolaire choisis sciemment pour plaider la cause de la femme, l’auteur nous conduit dans sa conception romanesque. Elle nous y montre la considération générale accordée à la femme dans tous les domaines

Lycée du ParcLycée du ParcMme BLANCHON Professeur de Lettres Merci aux élèves de la classe de 507 qui ont renvoyé leurs bons passages : Diane, Niels, Capucine, Telma, Romain, Lyna, Lina H. Compte-rendu de représentation théâtrale Titre de la représentation : Corde. RaideAuteur de l’œuvre mise en scène : debbie tucker green Date de l’œuvre : 2019 (Lyon) /

considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a joué un rôle majeur dans l’histoire du XIXe siècle. Victor Hugo occupe une place marquante dans l’histoire des lettres françaises au xixe siècle, dans des genres et des domaines d’une remarquable variété Il est également un romancier du peuple qui rencontre un grand succès populaire avec notamment Les Misérables (1862). Au théâtre, il expose sa théorie du drame romantique

Dancenny, qui sont victimes de l’amour et de la femme. Cette idée est très présente dans les lettres XVII et XXXVII, que nous allons étudier. S’il est vrai que les deux personnages souffrent, l’on verra que c’est la femme et l’amour qui en sont la cause. Bien que les deux protagonistes soient très différents, aussi bien au niveau social que psychologique, ils sont reliés par un élément commun : la souffrance. Les deux ressentent une passion pour une femme, que ce soit la présidente de Tourvel pour

Lecture analytique n°1 Les liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos, lettre 48 I) Présentation : roman épistolaire, aussi appelé par lettres, publié en 1782 par Pierre Choderlos de Laclos. Il a écrit plus tard un traité d’éducation pour les jeunes filles. Les principes d’écritures : ce n’est pas un long récit à la 3ème personne mais une succession de lettres pas forcément narrative à la 1ère personne. Les personnages parlent en leurs propres noms et il n’y a pas de narrateur pour servir d’intermédiaire

 Lou le rejoint pour une brève rencontre.   ● Localisation  :  Après  son  départ, il lui adresse le poème « Adieu », lettre originale où  il  l’assure  de  l’intensité  de  son  amour,  renforcée  par  les  menaces  que  fait  peser  sur  eux la guerre. Ce texte fera plus tard partie du recueil ​ poèmes à Lou​ .      Axe 1 : Une lettre/poème :    Une lettre    ­ Le poème d’Apollinaire prend la forme d’une lettre et emprunte plusieurs des  caractéristiques formelles du genre épistolaire : l’expéditeur – Apollinaire – indique 

Les liaisons dangereuses- lettre 141 Nous allons vous présenter la lettre 141 du roman ; les liaisons dangereuses de Choderlos Laclos. Elle se trouve aux pages 404-407. Cette lettre a pour destinataire le Vicomte de Valmont et a été écrite par la Marquise de Merteuil. Situation : Cécile est tombé enceinte de Valmont mais a perdu l’enfant. Tourvel est retournée à Paris après avoir vu Valmont avec Emilie. Valmont a réussi à la convaincre qu’il ne s’était rien passé et Tourvel lui a pardonné. Mini-résumé :

sentimental d’un jeune homme Félix. Epris d’amour pour une femme plus âgée que lui, Henriette, femme et mère, avec laquelle il ne pourra jamais être et vivre son histoire amoureuse comme il le désire. Elle finira par mourir de jalousie car Félix à besoin de vivre une histoire d’amour et ira chercher ce besoin chez une autre femme sans véritablement l’atteindre, tant Henriette est présente dans son cœur. Il se mettra tout de même avec une jeune femme Natalie qui le pousse à se confesser, car elle voit bien

joue le rôle d'un "guide" (lettre XXIX), elle est passée maître dans l'art du persiflage (lettres V, X). Ses lettres reflètent la froideur, le calcul fourbe, voire la cruauté effrontée (lettre V). Son despotisme est souligné par Valmont (lettre IV). Dans la lettre XXXIII, sa volonté de puissance est mise en valeur, ainsi que sa détermination. Le point de vue de l’énonciation est interne car chaque personnage s’exprime à la première personne sous forme de lettres. On a alors le ressenti et

traîtres, les girondins, devaient être punis, de façon que un tribunal serait installé. La femme de Louvet a entendu que les montagnards avaient déjà commencé à assassiner des Jacobins et des Cordeliers hors de la loi. Elle avertissait son mari, et Louvet prévenait ses amis, qui étaient en réunion chez Pétion parce que ils craignaient qu’il se tramait quelque chose d’inconnu et de terrible. À ce moment-là, une femme inconnue, qui rôdait dans les rues parce qu’elle aussi craignait sa mort après celle de