Femme Nue Femme Noir

Nain // nain de Velasquez *Fait des variations de tableaux qu’il acquiert Les demoiselles d’Avignon de Velasquez. 44 en 1957. Analyse « détruit ce qu’il aime, déconstruit » Ex focalisation sur une personne petite fille l’infante Marie Marguerite, noir/blanc, couleurs primaires. *Artiste engagé :-dénonce les violences avec son pinceau. Ex Guernica, l’enlèvement des Sabines. -Décrit la société : Absinthe a détruit beaucoup de personnes et les a rendu folles. Buvait sur les terrasses des

ANTHOLOGIE POETIQUE LA FEMME Dessin de Kurt WENNER représentant une muse, que l'on retrouve souvent chez les poètes en autre. Table des matièresTable des matières INTRODUCTION Question préparatoire.................................................................. 1 Préface........................................................................................... 2 POEMES A une femme, Victor Hugo, Les feuilles d'automne, 1831....... 5 Les bijoux

pensée politique, la philosophie et la théorie sociale. "Le jardin de la France", 1962, huile sur bois (144x168) réunit tous les concepts de la femme dans le surréalisme : on y voit la femme dans l'histoire de la peinture, la femme désir et les relations de la femme avec l'univers. Le corps de la femme apparaît distinctement, il s'agit d'une femme nue que Max Ernst a reprise d'un tableau de Cabanel (1764). En la mettant dans un contexte différent il lui donne une autre dimension. Alors que Cabanel

II/ L’Analyse de l’œuvre a)Description Sur le tableau, on voit une femme à moitié nue: c'est Médée, la magicienne amoureuse de Jason. On voit aussi, dans ses bras, deux enfants. Dans sa main gauche, Médée tient un poignard. On comprend alors qu'elle est en train de tuer ses enfants. Médée porte une jupe rouge et noire, on peut pensé que le rouge représente sa colère et le noir la tristesse ,la mort ou bien l'obscurité . Elle est sur le point de commettre un acte cruel.

m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte. Paul Verlaine (1866) A UNE PASSANTE La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan

Analyse comparative entre Nu descendant un escalier de Marcel Duchamp (1912, Huile sur toile, 146 x 89 cm, Musée des Beaux Arts, Philadelphie) et Emma nue descendant l'escalier (1966, Huile sur toile, 200 x 130 cm, Musée Ludwig, Cologne) de Gerhart Richter : Résumé Analyse comparative entre "Nu descendant un escalier" de Duchamp et "Emma nue descendant l'escalier" de Richter I) Traitement du corps A. Couleurs et représentation B. Facture particulière C. Composition

FICHE DE VISION Titre : «Et Dieu… créa la femme» Film français / 1956 / Couleurs / 90’ Scénario : Roger Vadim, Raoul Lévy. Production : Raoul Lévy. Remarques générales: la technique cinématographique Roger Vadim fut la recherche même, d’innovation du cinéma français avec l’anamorphose de ses conventions et de ses non-dits, caractéristiques de la Nouvelle Vague. Son film Et Dieu… créa la femme s’inscrit dans cette technique expressive, en défiant les lois du cinéma narratif traditionnel. Le film

Mais si je tremble, Belle, ayez peur. À Mlle Fanny de P Ô vous que votre âge défend, Riez ! tout vous caresse encore. Jouez ! chantez ! soyez l'enfant ! Soyez la fleur ; soyez l'aurore ! Quant au destin, n'y songez pas. Le ciel est noir, la vie est sombre. Hélas ! que fait l'homme ici-bas ? Un peu de bruit dans beaucoup d'ombre. Le sort est dur, nous le voyons. Enfant ! souvent l'oeil plein de charmes Qui jette le plus de rayons Répand aussi le plus de larmes. Vous que

saintement !… – Il est un Dieu qui rit aux nappes damassées Des autels, à l'encens, aux grands calices d'or ; Qui dans le bercement des hosannah s'endort, Et se réveille, quand des mères, ramassées Dans l'angoisse,et pleurant sous leur vieux bonnet noir, Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir ! Légende : Allégorie Anaphore Assonance Énumération Métaphore Un champ de bataille, des coups de feu tirés toute la journée et des milliers de corps étendus, morts. Tel est la description

Baudelaire et Mallarmé: « La Chevelure » Exploit(ation) de la femme ?UCLA Paroles gelées Title Baudelaire et Mallarmé: « La Chevelure » Exploit(ation) de la femme ? Permalink https://escholarship.org/uc/item/8tq5t38r Journal Paroles gelées, 4(1) ISSN 1094-7264 Author de Bedts, Charles Publication Date 1986 DOI 10.5070/PG741003208 Peer reviewed eScholarship.org Powered by the California Digital Library University of Californiahttps://escholarship.org/uc/item/8tq5t38rhttps://escholarship.orghttp://www