Femmes Damnées Analyse

relation violante, un amour qui détruit et psedo masochisye Femmes damnées → Homosexualité fémine Lesbos → symboliser la sexualité entre femmes et des références à la religion osés Les Métamorphoses du vampire →Un amour qui va vers la destruction / une sensualité différente ANALYSE DE LESBOS Références aux dieux grecs Phryné → Prostitué Paphos → ville à Chypre Sapho → Poétesse grecque reconnue pour avoir exprimé son attirance vers autre femmes Forte sensualité tout au long du poème Lesbos est présenté

Introduction I) Le surnaturel et sa symbolique A. Le spectre B. La statue II) Les réactions de Don Juan A. Incrédulité B. Courage et orgueil III) Une fin de comédie ? A. Les règles du dénouement B. Le registre Texte analysé: Scène 5 Don Juan, un spectre en femme voilée, Sganarelle. Le Spectre, en femme voilée Don Juan n'a plus qu'un moment à pouvoir profiter de la miséricorde du Ciel ; et s'il ne se repent ici, sa perte est résolue. SganarelleEntendez-vous

Des femmes et de leur éducation » (Laclos, 1783) et « Sur les femmes » (Diderot, 1772), ce dernier étant une critique de « l'Essai sur le caractère, les mœurs et l'esprit des femmes dans les différents siècles » d’Antoine Léonard Thomas, également publié en 1772. Bien que Laclos soit un grand admirateur de Rousseau, il prône l’égalité des deux sexes et idéalise la femme naturelle. Selon lui, le seul moyen pour les femmes d’améliorer leurs conditions est de se révolter comme étant des femmes libres

les Autres », à commencer par l’autre en soi ? Être un intellectuel et un homme d’action. Voilà un rêve totalitaire. Mais vain : Garcin n’est ni l’un ni l’autre. Tombe le masque de l’écrivain militant. Qui découvre-t-on ? « J’aimais beaucoup les femmes, sais-tu ? El elles m’aimaient beaucoup », dira-t-il à Estelle dont il a feint jusque-là d’ignorer le jeu et dont semble l’indifférer la féminité frémissante. Puis il ajoute : « Je suis ici parce que j’ai torturé ma femme. C’est tout ». Non, ce n0est

tragique. D’une part, il sera possible de voir que la condition des femmes est tragique et que celle-ci est causé pas la monotonie du quotidien ainsi que la religion. D’autre part, il est aussi possible de constater que la comédie est présente à travers l’interprétation des personnages et ce, par des comiques de caractères et de situations. Quoi qu’il en soit, la tragédie est nécessairement plus importante, car la vie des femmes est misérable en raison du mariage et de la trahison. Tout d’abord

Texte 2. Molière, L’Ecole des femmes , 1662 acte II, scène 5, v. 558-576Texte analysé de manière à revoir la méthode du commentaire composé1ere étape. Lire le texte et le situercomédie classique (faire rire et instruire)situation : Arnolphe a appris qu’en son absence, Agnès avait fait la rencontre d’Horace. Il interroge la jeune fille pour essayer de savoir ce qui s’est passé entre les deux. 2eme étape. Formuler la problématiqueEn quoi cette scène est-elle

savoir que l'action des agents est subjective (significative pour eux). Exemple : Tout ce qui va être qualifié de pratiques choquantes, le travail du sociologue n'est pas de juger, mais de comprendre pourquoi cette pratique continue (exemple : les femmes qui perpétuent la pratique de l’excision). Comprendre c'est ne pas juger, c'est mettre à distance mon propre système de valeur = c'est donc faire la distinction entre jugement de valeur et rapport aux valeurs. Les jugements de valeur sont personnels

l’autre. Bref, la question ne m’obsède pas vraiment, hein, ce que j’en dis, c’est pour bêler la conversation. Bêh ! Revenons-en à nos moutons. Il ne me restait aucun souvenir précis de ce roman. C’était une histoire romantique, un homme aimait deux femmes, et mourait ; suis-je sûr de me souvenir qu’il mourait ? J’ai donc été bien surpris de découvrir un brûlot de 1830, tirant à boulets rouges sur les Sarkozy et Delanoë de l’époque, professant un athéisme sans concession, ou plutôt un anticléricalisme

figuré par les deux poteaux en arrière-plan. En fait, cette toile suscite beaucoup de questions qui restent sans réponse et c’est bien là que réside la touche symboliste: pour Khnopff les questions sont plus intéressantes que les réponses. Une courte analyse comme celle-ci pourra être faite pour toutes les reproductions distribuées. On ne peut à l’avance prévoir les éléments qui seront avancés par les élèves, il incombe dons à l’enseignant d’être attentif. Il sera surtout important que les élèves parviennent

noires, dans ses remords, blessé par les dires de ses anciens camarades qui le prennent pour un lâche. Estelle d’abord désireuse de ses caresses, ne sachant plus que faire, oscille également dans sa conduite envers Garcin. Dégoûté par les deux femmes, et par sa lâcheté, Garcin supplie l’Enfer de lui infliger des souffrances physiques : « Plutôt cent morsures, plutôt le fouet, le vitriol, que cette souffrance de tête, ce fantôme de souffrance, qui frôle, qui caresse et qui ne fait jamais assez