Fenetres Ouvertes Hugo

courte parenthèse du Parnasse, la poésie est rarement descriptive, elle nous parle malgré tout de nous et du monde qui nous entoure. Dans une optique historique, elle nous laisse même un témoignage précieux. Dans la préface des "Contemplations", V. Hugo abordait déjà ce sujet en présentant son œuvre: " Nul de nous n'a l'honneur d'avoir une vie qui soit à lui. Ma vie est la vôtre, votre vie est la mienne, vous vivez ce que je vis; la destinée est une. Prenez donc ce miroir, et regardez-vous-y." La

 La maison était donc le domaine de la femme. Aujourd’hui, ce modèle se lit mal dans les maisons modernes cf. maison Savoye (LE CORBUSIER) : rapport à la terre et rapport au ciel, symbolique de la fenêtre perdu, maison « contener ». L’éloge de l’ombre, Tanizaki Jochiro, 1933 : symbolique de la fenêtre. Qu’est-ce que la maison aujourd’hui ? Evolution de la pièce unique : modèle dominant (favelas, studio). Evolution de la maison : apparition des couches supérieures. Remise en cause du modèle de l’appartement/maison

population très pauvre qui s’installe là où les loyers sont les moins chers, conséquence paupérisation de zone entière dans paris et ses banlieues. - La littérature exprimera les inquiétudes liées à cette brutale mutation : Notamment avec Victor Hugo dans Notre Dame de Paris (1831), Les Misérables (1862). Il évoque la crainte biologique de l'entassement dans des taudis, la faiblesse morale des pauvres et des ouvriers face à ces nouvelles conditions, l’assimilation "classe laborieuse / classe dangereuse"

Lycée Françoise Cabrini, Noisy Le Grand. 2011/2012 Anthologie poétique. La Contestation d’autant et d’aujourd’hui. ROUX Bastien, 1STGA. Sommaire: -Préface. -Textes : *Le mendiant, Victor Hugo. *Souvenir de la nuit du 4, Victor Hugo. *Le legs, Robert Desnos. *Liberté, Paul Eluard. *Strophes pour se souvenir, Louis Aragon. *Le dormeur du val, Arthur Rimbaud. *gangsta’s paradise, Coolio. *Elle est belle la France, Ministère des Affaires Populaires. *Poème contre le racisme

l'histoire qui se passe dans la ville et le fait qu'il y est de l'humour et de la souffrance (exemple: toute oppose le poète à la femme idéal qu'il nous présente ce qui le fait souffir). "La ville prise", Victor Hugo (1802-1885) Le meurtre aux mille bras comme un géant se lève ;  Les palais embrasés se changent en tombeaux ;  Prêtres, femmes, époux, tout tombe sous le glaive ;  Autour de la cité s'appellent les corbeaux. Les mères ont frémi : les vierges

prisonnier vient de faire son testament. Il pense aux personnes qu’il laisse derrière lui : sa mère, se femme et sa petite fille. C’est pour cette dernière qu’il s’inquiète le plus.CHAPITRE10Le condamné nous décrit son cachot qui n’a même pas de fenêtres. Il décrit aussi le long corridor longé par des cachots réservés aux forçats alors que les trois premiers cabanons sont réservés aux condamné à la peine capitale.CHAPITRE11Pour passer sa longue nuit, il se lève pour nous décrire les murs de sa cellule

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Victor Hugo LES MISÉRABLES Tome II – COSETTE (1862) Table des matières Livre premier Waterloo ........................................................... 7 Chapitre I Ce qu’on rencontre en venant de Nivelles ................. 8 Chapitre II Hougomont ............................................................. 11 Chapitre III Le 18 juin 1815 ...................................................... 20 Chapitre IV A. ......................

Andrée, ……………...……………………… page 5 DESNOS, Robert, ……………………………………… page 8, 10, 12 ÉLUARD, Paul, ………………..………………………. page 19 GAUTIER, Théophile, ………………………………… page 16 GUILLEVIC, Eugène, ………………………………… page 7 HEREDIA (de), José-Maria, …………………………... page 23 HUGO, Victor, ………………………………………… page 7, 17 JEAN, Georges, ………………………………………... page 11 NERVAL (de), Gérard, ………………………………... page 6, 7, 19, 20, 22 POSLANIEC, Christian, ………………………………. page 10 PRÉVERT, Jacques, …………………………………… page 5, 11 QUENEAU, Raymond, ………………………………

 Le Dernier jour d’un condamné, de V. Hugo Titre et date de publication: Le dernier jour d’un condamné, publié en 1829. Genre : Récit à la première personne; adoption des techniques de l’autobiographie, le journal intime en particulier. Histoire : Le livre est l’histoire d’un homme qui a été condamné à mort. Il raconte ce qu’il vit pendant les dernières semaines de sa vie. Nous ne savons ni le nom de cet homme ni ce qu’il a fait pour être condamné à mort, mais nous pouvons comprendre et

à cette société qui l'assaille, à la princesse qui souhaite le garder exclusivement pour elle, ainsi qu'aux critères relativement figés du héros romantique : « Je le voudrais de grand cœur ; mais en vérité, si j'y étais forcé, je sauterais par la fenêtre pour me sauver un de ces jours. » Fantasio reste une comédie avant tout et les effets comiques de ce passage ne sont pas en reste. Seulement, ils servent une cause plus profonde que l'humour en soi, à savoir une ironie constante envers les grands