Ferme générale

devient surprenante. Cette rapidité nous met tout de suite dans l'action et nous incite à continuer la lecture. Par ailleurs l'intérêt du lecteur est sollicité car le monde animal est souvent mise en rapport avec celui des hommes. Mais l'auteur en général ne se contente pas de raconter une histoire. Ainsi les trois personnages prennent la parole, Ces marques d'oralité contribuent à l'attractivité de l'histoire racontée et permet a cette fable d’être facilement adaptable au théâtre. L'apport majeur

même qu'à une pensée qui est énoncée clairement car il l'a faite sienne. Pour cela l'opinion générale de l'auteur doit donc être compréhensible facilement. Apologues : explicite: La Fontaine, la plupart de ses Fables, 1662 Charles Perrault, Le Petit Chaperon rouge, 1697 Le rêve de D'Alembert Implicite: Voltaire, Candide, 1759 Voltaire, L'Ingénu, 1767 George Orwell, La Ferme des animaux et 1984, 1945 et 1948 Memnon ou la sagesse humaine Voltaire

plus étranges. Ceux sont ses fabuleuses aventures extraordinaire qui font que le lecteur est tenu en haleine jusqu’à la fin du livre. Les personnages extraordinaires permettent d’imager des idées, de poser des questions. Geoge Orwell dans La Ferme des Animaux, critique par des personnages extraordinaires, des animaux qui parlent, le stalinisme. Le lecteur peut par cette dérision, mieux comprendre ses idées, de plus dans ce contexte l’ironie est bien présente. Chez Kafka, dans La Métamorphose

Thermodynamique Science dédiée à l’étude de tous les phénomènes faisant intervenir la chaleur, le travail et l’énergie en général La thermodynamique est bâtie sur 4 principes fondamentaux : • Le principe zéro définit la notion de température en se basant sur l’équilibre thermique (sans définir l’échelle de température). • Le premier principe traduit la conservation de l’énergie. Chaleur, travail, énergie interne, enthalpie… • Le second principe explique l’évolution spontanée des transformation. Certaines

d’éliminer l’adversaire (ou l’instance) antagoniste. 1. Le conflit est cause de souffrance en général Freud a montré que l’appareil psychique est gouverné par le « principe de plaisir » avant de l’être par le « principe de réalité ». Cela signifie que nous fuyons tout ce qui est source de souffrance. La souffrance est définie comme une tension qui dépasse le seuil du supportable. Les conflits sont en général douloureux, car ils constituent des tensions qui sont, selon les cas, plus ou moins pénibles

dénonciation Situation tragique mais sur mode de l'humour Stratégie de misse en scène et poéticité LA n°4 : Michel Quint « Effroyables Jardins » La fin du roman Un éloge lyrique A. L'éloge funèbre B. Devoir de mémoire général Un texte polémique A. Pamphlet politique B. Aspect lyrique LA n°5 : L.F. Céline « Voyage au bout de la nuit » Un témoignage authentique A. La présence du narrateur B. La sincérité de ce récit apparaît à travers les choix d'écriture

4.1.5 Transformations réversible et 8.1 Loi d’état . . . . . . . . . . . . . . . irréversible . . . . . . . . . . 10 8.2 Limites du modèle . . . . . . . . . . 4.1.6 Cycle thermodynamique . . . 11 8.3 Cœfficients calorimétriques, énergie 4.2 Système fermé . . . . . . . . . . . . 11 interne, enthalpie . . . . . . . . . . . 4.2.1 Travail en vase clos . . . . . . 11 8.4 Expression de l’entropie des gaz par4.2.2 Théorème de l’énergie cinéfaits . . . . . . . . . . . . . . . . . . tique . . . . . . . . .

des pastiches ou des parodies, comme Victor Hugo, Tristan Corbière et, au XXe siècle, Jean Anouilh et Raymond Queneau. Les maximes du Grand Siècle Les maximes sont des formules très rapides énonçant une règle morale ou une réflexion d'ordre général. Les plus célèbres sont celles du moraliste François de La Rochefoucauld (1613-1680). Fonction de l'apologue L'apologue se distingue très clairement de l'essai, puisque ce dernier n'est jamais narratif. Les fonctions de l'apologue sont de plaire

siècle, les auteurs cherchent de plus en plus à faire passer leurs opinions. L'encyclopédie écrit à cette même époque est un des symboles le plus important. La transmission d'opinion peut se faire par la littérature comme par la peinture, l'art en général. Nous allons cependant étudier le cas de la littérature car c'est tout de même le domaine principal durant cette époque. Les auteurs doivent faire preuve de persuasion pour amener le lecteur à penser comme ils le souhaitent. Il existe différentes

fables viennent d’Esope, un écrivain de la Grèce antique. Un conte est une histoire inventée qui oppose des "méchants" à des "gentils" et fait intervenir des éléments magiques : fées, sorcières, ogres, animaux qui parlent, objets enchantés... En général l'histoire se termine bien. Le plus souvent un conte commence par la formule " Il était une fois...". Le conte et la fable sont des récits imaginaires destinés à distraire. En effet les aventures de héros sous forme d'animaux, divertissent aussi bien