Ferraillage

extrémités e≥min(15cm,he/2) voile rigidifié à une extrémité e≥min(15cm,he/20) voile rigidifié à ses 2 extrémités 10.3.2 Hauteur critique du voile RPS200 EUROCODE8 Lc=max(H/6,L) Lc=max(H/6,L) H : hauteur du bâtiment L : largeur du bâtiment 10.3.3 Ferraillage minimal RPS2000 EOROCODE8 Pourcentage des armatures verticales et horizontales=0.2 ℅ Pourcentage des armatures longitudinales du rive ≥0 .5℅ 11 Conclusion Nous avons présenté une lecture des deux règlements RPS2000 et EUROCODE8 ; l’RPS2000 révisé

éléments et vérification de la phase précédente afin de sortir les éléments nécessaire au bordereau du prix tels que les quantités de béton, d’acier… Vérification et justification du dimensionnement retenu et élaboration des plans de coffrage et de ferraillage. 3.1 Contraintes architecturales Dans un premier temps il s’agit d’adapter la conception à l’architecture technique retenue, tout en répondant et aux exigences de stabilité et de résistance, et aux contraintes architecturales de viabilité

on peut monter ou démonter la grue  La grue fonctionne en toute sécurité  La grue couvre la totalité de la surface du chantier C) Aire de stockage Ces aires doivent être accessible à l’engin de levage, se trouvé à proximité de l’aire de ferraillage et du poste de préfabrication. D) Poste de préfabrication Ce poste perme de réaliser des éléments de l’ouvrage en dehors de l’ouvrage. Il doit être approvisionné en cage d’armatures et de béton. Il doit permettre de transmettre les éléments

pressions localisées Il a dû être largement remanié pour mieux préciser le domaine d'application, s'aligner sur le BPEL et mieux ajuster les formules (limitation du coefficient K, introduction des conditions de débord). En outre, le calcul du ferraillage destiné à assurer la diffusion de l'effort concentré renvoie à une nouvelle annexe E8 qui reprend les principaux résultats du BPEL. 3 principales modifications de la partie B article B.1.1 bétons Le champ d'application de la partie B des règles

..................................................................................................... 4 Stabilité externe ....................................................................................................................... 4 Ferraillage ................................................................................................................................ 4 Gestionnaire de données .........................................................................................

tubes dans les dalles du bâtiment et donc au ferraillage afin qu’ils ne cèdent pas sous la pression du bâtiment. J’ai donc transmis au bureau de béton et au maçon, les plans d’exécutions du renforcement des réseaux, avec des principes tels que le plan ci-dessous. Grace à ces renforcements, nous nous assurons aucune détérioration des réseaux du au tassement du sol. On peut voir ci-dessous l’incorporation des tubes dans le ferraillage de la dalle, comme convenu précédemment. 5

Il est à noter que ces examens ne portent que sur les parties visibles et accessibles au moment de l'intervention du contrôleur technique qui ne procède à aucun démontage ou sondage destructif. Il s’agit, par exemple de vérifier que les ferraillages des éléments prépondérants du bâtiment sont conformes à ce qui a été établi par le bureau d’études structures. Ces examens constituent en fait un contrôle discontinu mais orienté de la mise en œuvre et de l’exécution des ouvrages mais ne se

7. 8. 9. Confection d’enduits en chaux et en ciment ainsi que d’enduits en jointement. Exécution de travaux de drainage pour assainir des bâtisses et terrains. Exécution de travaux de démolition et de percement. Confection de coffrages et de ferraillage. Mise en place d’échafaudages. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. constructions auxiliaires; Réalisation de coffrages pour béton suivant des plans donnés; Confection, utilisation, traitement consécutif et contrôle du

même moins important. Schéma de synthèse des émissions liées au travaux d'équipements ferroviaires Émissions totales = 117000 teCO2 -Rails et poteau caténaire (acier recyclé) = 47% -Production ballast = 21% -Ciment = 17% -Acier de ferraillage = 11% -Cuivre, verre et carburant = 2% Le bilan carbone de la LGV Rhin-Rhône doit servir de modèle pour mesurer l'utilité carbone des différents projets ferroviaires actuellement étudiés. Cette nouvelle approche permettra de vérifier l'intérêt

initial de contrôle technique (RICT) qui s’établi après examen des documents de conception (généralement le DCE3) ➢La formulation d’avis après examen des documents d’exécution (Avis sur documents d’exécution portant par exemple sur des plans de ferraillages, notes de calcul, ...) ➢La formulation d’avis après examen sur chantier des ouvrages et équipement (avis de visite) ➢Le rapport final de contrôle technique (RFCT) établit avant réception. Celui ci a pour objet de rendre compte de la mission