Fêtes à Versailles

mère, que son père rejoindra seulement deux ans plus tard. A quatre ans, Racine est déjà orphelin. Mais les déboires de son enfance ne s'arrête pas là : en 1649, son grand-père décède et sa grand-mère prend la décision d'entrer au couvent, abandonnant de ce fait le jeune Jean en pension chez des Frères. Le jeune homme s'avère être brillant et ira étudier la philosophie à Paris. En 1659, il se lie d'amitié avec Jean de la Fontaine et, à son contact, décide d'écrire ses premières oeuvres. S'ensuivent

l'année Les mardis mexicains, une soirée par trimestre Paris Cinéma Les Sept Parnassiens 1 er février toute l'année CinéLangues : MALINTZINE programmation spécialement élaborée à l'attention des collégiens et lycéens étudiant l'espagnol Paris Le Nouveau Latina et autres cinémas à préciser "Axolotl où le cœur est la plus précise des horloges" - Cie OpéraLight Soustons, Bassens Festival "Opéra des Landes"; Centre culturel de Bassens 1er janvier 1 er février

 Marie de Rabutin-Chantal naquit à Paris le 5 février 1626. Orpheline de bonne heure, elle fut d’abord élevée par son grand-père et sa grand-mère maternels, M. et Mme de Coulanges. Mais ceux-ci moururent bientôt, et l’enfant fut confiée à l’aîné de leurs fils, l’abbé de Coulanges, celui que Mme de Sévigné appelait plus tard le "Bien bon". L’abbé fit donner à sa nièce une excellente instruction : Ménage lui enseigna, avec le latin, l’espagnol et l’italien. En 1644, Marie de Rabutin-Chantal épousa

une déclaration de patrimoine qui est ouverte s'il est élu. Le 11 mai 2012, le patrimoine de François Hollande a ainsi été publié au Journal officiel. Il s'élève à 1,17 million d'euros, essentiellement des biens immobiliers. Parmi les autres devoirs du président de la République, celui-ci est traditionnellement positionné au-delà des partis. Dans la Ve République, le président a d'abord été perçu comme un "arbitre au-dessus des contingences politiques", ce que souligne Charles de Gaulle dès

La protection et le soutien financier des femmes qui les ont tenus ont contribué de façon majeure à des projets d’importance capitale pour l’histoire de la pensée, en présidant à la genèse de la préciosité ou à la création de l’Encyclopédie au XVIIIe siècle. Toutefois Rousseau dénonça la futilité des discussions qui s’y tenaient et parlait de « Morale du bilboquet » pour toute personne qui s’en tenait à l’écart.S'il est vrai que les salons font avant tout preuve d'une certaine mondanité,n'ont-ils pas

Sommaire I. L’engrenage vers la guerre……………………………………………………. page 3 A. Des causes lointaines…………………………………………………….. page 3 1) L’expansion coloniale……………………………………………………………. 2) La montée des nationalismes ………………………………………………… page 3 page 3 B. Un évènement déclencheur……………………………………………. page 4 C. Le jeu des alliances ……………………………………………………….. page 5 II. Les populations vivent une Guerre totale……………………………… page 5 A. Sur le front…………………………………………………………………….. page 5 1) Les grandes phases

18ème siècle : le siècle des lumières Le 18ème siècle, est appelé Siècle des lumières. Expression métaphorique qui désigne la maturité de l’esprit humain et sa capacité à développer un point de vue critique, à penser par lui-même et à ne plus tenir pour vrai ce qui n’a pas été préalablement démontré, c'est-à-dire soumis à l’épreuve de la raison scientifique. Il faut donc retenir que le propre des lumières réside dans la liberté de penser par soi-même que permet l’utilisation de la raison. Plus

2ème partie : La France de 1848 à 1914 Depuis la Révolution de 1789 (Révolution française), la France connaît une évolution politique instable. Les principes démocratiques et libéraux s’affirment et progressent peu à peu. Les expériences monarchiques menées après 1815 (la restauration avec Louis XVIII, puis après Charles X), la Monarchie de Juillet (1830-1848) échouent … La Révolution de 1848 y met terme. Cependant la quête du model qui permettrait la mise en œuvre des principes démocratiques

homme de la cour dont l’identité n’est pas connue. À l’origine le projet était destiné à Gabriel-François Doyen (1709- 1783), le sujet était décidé, le commanditaire avait des idées très précises de ce qu’il attendait dans sa toile. Lors de la commande, il précisa ce qu’il souhaitait: « Je désirerois que vous peignissiez madame (en montrant sa maitresse) sur une escarpolette qu’un évêque mettrait en branle. Vous me placerez de façon, moi, que je sois à portée de voir les jambes de cette belle enfant

société du XVIIIe siècle, c'est la peinture. Elle a traduit exactement les diverses et contradictoires physionomies de ce monde bigarré, mouvementé, à la fois sérieux et frivole, primesautier et raisonneur, dans lequel on aperçoit des grands seigneurs et des comédiennes, des financiers et des philosophes, des marquises déguisées en bergères et des maltôtiers habillés comme des ducs. La peinture offre le vivant tableau de leurs mœurs. Elle raconte leurs fêtes et dit leur caractère; elle nous initie aux