Feu la mère de Madame

souvient de son enfance et de l’arrestation de son père quand il était enfant. Métayer pour le compte du Comte de Nansac, il déplaît par ses actes de braconnage. Il possède en plus une chienne habile à la chasse, ce qui n’est pas au goût du comte. La mère de Jacquou n’est pas plus appréciée car elle ne se montre pas assez dévote lors des grandes occasions ( comme par exemple lors de la fête de Noël au château de l’Herm, propriété des Nansac). La famille est avertie : il faut abandonner et le braconnage

Dorine, la servante, traitée « d’impertinente » et rappelée à sa condition de « fille suivante », les quatre personnages qui vont tenter d’intervenir seront vite réprimandés. - Ainsi Damis « sot en trois lettres » est aussi considérée par sa grand-mère comme « un méchant garnement » qui sera source de tourment pour son père. - Sa sœur Marianne, tout « doucette » et « discrète » mènerait « sous chape » une vilaine vie. - Elmire est accusée d’être dépensière, coquette et de donner le mauvais exemple

EUGENIE GRANDET L'œuvre de Balzac « Eugénie Grandet » est parue en septembre 1833. Elle a été éditée en plusieurs volumes chez Madame-Bécheten 1834, puis aux éditions Charpentier avec une dédicace en faveur de Maria Du Fresnay, la fille de la romancière Adèle Daminois ( la maitresse de Balzac ). Né le 20 mai 1799 a Tours et décédé à Paris le 18 Aout 1850 Balzac a laissé une œuvre romanesque qui compte parmi les plus imposantes de la littérature française, avec 91 romans et nouvelles de 1829 à

étaient allumés; un grand feu flambait gaîment dans la cheminée. L'hôte, qui était en même temps le chef, allait de l'âtre aux casseroles, fort occupé et surveillant un excellent dîner destiné à 9 des rouliers qu'on entendait rire et parler à grand bruit dans une salle voisine. Quiconque a voyagé sait que personne ne fait meilleure chère que les rouliers. Une marmotte grasse, flanquée de perdrix blanches et de coqs de bruyère, tournait sur une longue broche devant le feu; sur les fourneaux cuisaient

homme. Nous nous trouvons en face d’un meurtre et d’un criminel mais n’avons pas de motif. on adversaire est tué dès le premier coup de feu. Ainsi se termine l’affaire de la plage. A ce moment-là, Meursault hésite un instant. Cette pause symbolise la fin de l’action. Bizarrement quatre autres coups de feu sont tirés sur le corps sans vie. Entre le premier coup de feu mortel et les quatre suivants, l’accusé voit, je le répète, un mort à terre. Le sable rouge et la brûlure du soleil lui viennent à l’esprit

Vandenesse fixe les conditions, circonstances et objets du récit qui suivra, je cite : « Aujourd’hui tu veux mon passé, le voici. ». Ce récit s’intéressera donc à la solitude vécue par Félix durant son enfance et sa jeunesse mais aussi à sa rencontre avec Madame de Mortsauf. Le récit de la jeunesse de Félix caractérisée par la solitude et l’abandon représente une caractéristique essentielle du roman d’apprentissage ou d’initiation. En effet, Félix de Vandenesse dans ce premier chapitre et dans tout le roman

?  Aimeriez-vous, Seigneur ?  HIPPOLYTE  Ami, qu'oses-tu dire ?  Toi qui connais mon coeur depuis que je respire,  Des sentiments d'un coeur si fier, si dédaigneux,  Peux-tu me demander le désaveu honteux ?  C'est peu qu'avec son lait une mère amazone  M'ait fait sucer encor cet orgueil qui t'étonne ;  Dans un âge plus mûr moi-même parvenu,  Je me suis applaudi quand je me suis connu.  Attaché près de moi par un zèle sincère,  Tu me contais alors l'histoire de mon père.  Tu sais combien

d’encenser ses autels ? Aimeriez-vous, seigneur ? HIPPOLYTE Ami, qu’oses-tu dire ! Toi qui connais mon cœur depuis que je respire. Des sentiments d’un cœur si fier, si dédaigneux, Peux-tu me demander le désaveu honteux ? C’est peu qu’avec son lait une mère amazone M’ait fait sucer encor cet orgueil qui t’étonne, Dans un âge plus mûr moi-même parvenu, Je me suis applaudi quand je me suis connu. Attaché près de moi par un zèle sincère, Tu me contais alors l’histoire de mon père, Tu sais combien mon âme

psychiques dus à la syphilis. Quelques pièces de Georges FEYDEAU : * Amour et Piano (1883) * Fiancés en herbe (1886) * Un monsieur qui n’aime pas les monologues ( ) * Le dindon (1896) * La dame de chez Maxime (1899) * Feu la mère de Madame (1902) * La puce à l’oreille (1907) * On purge bébé (1910) * Met ne te promène donc pas toute nue (1911) « On purge bébé » – FEYDEAU Georges Nous allons étudier un extrait de texte de la pièce de théâtre écrit en 1910 par

d’encenser ses autels ? Aimeriez-vous, Seigneur ? HIPPOLYTE Ami, qu’oses-tu dire ? Toi qui connais mon coeur depuis que je respire, Des sentiments d’un coeur si fier, si dédaigneux, Peux-tu me demander le désaveu honteux ? C’est peu qu’avec son lait une mère amazone M’ait fait sucer encor cet orgueil qui t’étonne ; Dans un âge plus mûr moi-même parvenu, Je me suis applaudi quand je me suis connu. Attaché près de moi par un zèle sincère, Tu me contais alors l’histoire de mon père. Tu sais combien mon âme