Fiche De Jurisprudence Assemblée Plénière 19 Mai 1978

d’assurances. Ce sont des créateurs humanistes qui relancèrent l’idée d’assurance en concevant les premières mutuelles contournant ainsi l’interdiction révolutionnaire. L’assurance de dommages s’est construite sur la science des jurisconsultes et sur la jurisprudence. Le législateur est intervenu tardivement, en 1930, alors que les compagnies d’assurances avaient déjà pris leur essor. Au XVIIIe et XIXe siècles, il s’agissait de protéger ses biens contre les risques d’incendie. La société française étant alors

dans ce cas la le syndicat est mandaté pour le représenté. Il y a deux hypothèses particulières pour que le syndicat puisse défendre les intérêts individuels sans être mandaté. - Défendre des intérêts des travailleurs à domicile article L721-19 - Action visant à l’application d’une convention collective L135-4 Dans ces 2 hypothèses même si le syndicat n’a pas été mandaté peut aller en justice au nom et pour le compte du salarié. Le conseil constitutionnel confirme la constitutionnalité

Cassation avait admis que le juge judiciaire pouvait faire application des règles de droit public pour apprécier, à l'égard d'un collaborateur du service public, la responsabilité de l'Etat du fait d'une activité de nature judiciaire ; mais cette jurisprudence ne réglait pas le cas de l'usager du service de la justice qui ne pouvait invoquer, comme le collaborateur, les règles de la responsabilité sans faute." Dans le cadre du cours, ce qui était immédiatement intéressant était de constater que l'arrêt

Conflit de lois dans l'espace : lorsque le litige met en jeu plusieurs lois de pays différents. En matière de responsabilité délictuelle, il est admis que la loi applicable est celle du lieu du délit ou bien celle du lieu où le dommage a été subi (CC° 25 mai 1948, arrêt Lautour) En matière de responsabilité contractuelle, c'est la loi choisie par les parties au moment de la conclusion du contrat (= "loi d'autonomie"), d'après la Convention des lois relatives aux obligations contractuelles. II. La

sergents et huissiers. Par ailleurs, c’est à cette période, que le droit coutumier qui auparavant se transmettait oralement, a été écrit et rassemblé par les gens d’église. Au XIVème siècle, l’huissier est celui qui est préposé au service de certaines assemblées comme l’huissier du Parlement (1320) et, dès 1538, il est un Officier ministériel chargé de signifier les actes de procédures. Progressivement, les huissiers devinrent les officiers des juridictions importantes. Leurs compétences s'élargirent

enchères inversées de prestations de services ou encore la revente de service dans le cadre du contrat de coopération commerciale. La jurisprudence cède aussi parfois à la tentation de généraliser à l’excès certaines règles qui devraient être propres à la vente comme par exemple celles relatives à la détermination du prix avant le revirement de l’assemblée plénière du 1er décembre 1995. La vente peut être définie comme un contrat organisant le transfert de la propriété d’un bien en contrepartie d’une

administratif ; éd. Armand Colin Dalloz. G. Dumond et M. Lombard, Droit administratif ; Hypercours, éd. Dalloz. P.-L. Frier et J. Petit, Droit administratif ; éd. Montchrestien. Code de l’administration ; éd. Litec. Les Grands arrêts de la jurisprudence administrative ; éd. Dalloz. Revue française de droit administratif. AJDA. Mestre, Introduction historique au droit administratif. En 1887, Edouard Laferrière écrivait : « Le droit administratif répond à deux idées : l’idée d’administration

droit Idée de soumettre de plus en plus l’administration au droit, on retrouve les 2 acteurs, le juge et la doctrine. Pour le juge il va y avoir des arrêts fondateurs, la jurisprudence. La belle époque du DA (se termine en 1921), l’arrêt Blanco (TC, 8 février 1873). La belle époque car il y a eu la création du CE par la loi du 24 mai 1872, créée aussi le tribunal des conflits, avant même les lois constitutionnelles de la IIIème il y a un appareil juridictionnel pour limité l’administration, la soumettre

Cassation avait admis que le juge judiciaire pouvait faire application des règles de droit public pour apprécier, à l'égard d'un collaborateur du service public, la responsabilité de l'Etat du fait d'une activité de nature judiciaire ; mais cette jurisprudence ne réglait pas le cas de l'usager du service de la justice qui ne pouvait invoquer, comme le collaborateur, les règles de la responsabilité sans faute." Dans le cadre du cours, ce qui était immédiatement intéressant était de constater que l'arrêt

côté les questions purement théoriques sans application concrète. Ce qu’il faut préciser à ce sujet c’est que vu la rareté des décisions judiciaires à l’encontre des commissaires aux comptes au Maroc, nous nous sommes basés essentiellement sur la jurisprudence française, abondante dans ce domaine, en précisant à chaque fois les similitudes entre les deux réglementations et en écartant les différences. Les commentaires qui vont suivre concernent la responsabilité des commissaires aux comptes dans les