Fiction Témoignage Guerre

Les traumatismes de guerre. Peurs, anfoisses et souffrnces psychiques. Guerre et Psyché dans les films américains sur le conflit vietnamien La « deuxième guerre d'Indochine » opposa les forces américaines et sud-vietnamiennes aux armées du Nord et au Viet-Cong (Communistes vietnamiens).Ce conflit reposait sur les différentes doctrines militaires et politiques élaborées durant la Guerre Froide par les Etats-Unis dans sa lutte contre le communisme : Contaimnent (contenir le communisme) et « stratégie

Le cinéma et la guerre du Vietnam I le cinéma pendant la guerre Il y a eu pendant les 10 ans de guerre seulement deux films de fiction sur la guerre du Vietnam : le premier est devenu inconnu et a sombré dans l’oubli contrairement au second film que John Wayne a réalisé en 1968 : Les Bérets Verts. Les producteurs de Hollywood sont très prudent et ne finance aucun film pendant la guerre, John Wayne pourtant connu a ainsi dû trouver des fonds lui-même pour réaliser un film pourtant très patriote

de discours (descriptif, argumentatif, explicatif...) mêlées à la narration. En son sein, les différents genres vont s’enchevêtrer pour assurer l'originalité de ce genre littéraire. I-Roman et société Le roman, bien qu'il soit une œuvre de fiction, souvent considéré comme un divertissement dépaysant, entretient avec la réalité sociale un ensemble de relations complexes. Sur le plan artistique, il révèle les choix esthétiques de son époque. Sur le plan de « l'imitation du réel », il place ses

période qui va de l’après-guerre à la fin des années 1960 pendant laquelle une mémoire « résistancialiste » est dominante. Puis dans un second temps, du début des années 1970 jusqu’à 1995, un travail historique mène à une relecture des mémoires de la 2ème guerre mondiale. Et pour finir, nous verrons que cette mémoire est apaisée et plus consensuelle depuis 1995 Partie I a) Jusqu'à 1960, nous avions, en France, deux mémoires dominantes de la deuxième Guerre mondiale. L'une était une

des divers courants de la pragmatique : en plus des oeuvres romanesques de Balzac, de Proust, de Pinget ou de Sartre, ce sont des catégories comme l'essai, le discours du témoignage ou la lettre qui sont abordées. " (p . 6). Le volume contient quatre parties : la première traite de l'ancrage énonciatif des textes de fiction : " L'énonciation : dispositifs et enjeux " (Gilles Philippe et Ruth Amossy), la seconde s'intéresse à l'hétérogénéité discursive dans le discours rapporté et dans l'intertexte

Brésil récemment colonisés et récuse le terme de barbares employé pour les qualifier : « Nous les pouvons donc bien appeler barbares, eu égard aux règles de la raison, mais non pas eu égard à nous, qui les surpassons en toute sorte de barbarie. Leur guerre est toute noble et généreuse, et a autant d'excuse et de beauté que cette maladie humaine peut en recevoir ; elle n'a autre fondement parmi eux que la seule jalousie de la vertu ». De même, des auteurs comme La Bruyère, au xviie siècle, ou les philosophes

d'ailleurs la plupart du temps dramatique dans ces œuvres. Nous en voulons pour preuves ses ouvrages tels que la petite fille de monsieur linh , probablement durant la guerre du vietnam , ou encore les âmes grises durant la première guerre mondiale. Dans la rapport de Brodeck aussi on remarque un cadre historique bien réel ( l'après seconde guerre mondiale) même si ce conflit n'est pas clairement explicit dans l'histoire bien que l'ont remarque la présence importante des camps , la base de cette histoire

assez vite que deux textes indépendants l’un de l’autre semblent cohabiter, nous nous demandons ce qui peut bien les unir, aucun lien évident ne nous sautant aux yeux. Ainsi passe-t-on du premier au second sans transition ; celui en italique est une fiction, tout ce qu’il y a de classique en apparence, au cours de laquelle le narrateur nous maintient dans une sorte d’intrigue mystérieuse. Le deuxième récit est autobiographique. L’auteur tente à partir d’un bien piètre matériau, quelques photos jaunies

Quel est le rôle du romancier ? I- Le romancier, auteur d'une œuvre de fiction et d'imagination                A- Une histoire inventée * Le romancier écrit un roman > une histoire, un récit fictif. Imagination du romancier > celui qui est capable d'inventer de très nombreuses histoires. Cf. Balzac, Dumas…  * Le romancier n'est pas tenu par un souci de réalisme. Ex : donner un exemple tiré de votre corpus ou de vos lectures personnelles. Evoque le sujet qu'il souhaite… (Par exemple, est-ce qu'une

=> Un auteur dénonce les injustices dans une fiction grâce à un personnage fictif, il s’exprime à travers ce personnage, fait transparaitre ses sentiments et ses idées ceci est un des nombreux atouts de la fiction. Ex (Montaigne, Les Essais) Le récit de fiction amène le lecteur à s’interroger et à prendre position sur le sujet. Il l’amène également à réfléchir par lui-même et à avoir son propre avis. Cela permet à celui-ci de s’identifier au personnage et de se sentir impliqué dans la situation.