Fièvre puerpérale

bord des lèvres. En 1863, il commença à publier des poèmes dans ‘’La revue du progrès moral’’. Il rencontra Banville, Heredia, Coppée. Contribuèrent à le désaxer la mort de son père en 1865, puis celle d'Élisa qui, en 1867, fut victime d’une fièvre puerpérale. Mais elle avait payé l’édition de son premier recueil : _________________________________________________________________________________ “Poèmes saturniens” (1866) Recueil de poèmes -------------------------------------------------------

MÉDICAMENTEUSES – Effets du médicament sur le style de vie et MODE D’ACTION ET PHARMACOLOGIE CLINIQUE – Pharmacocinétique, Absorption). Patientes fiévreuses : En théorie, les concentrations sériques de l’estradiol pourraient augmenter en présence de fièvre. On ne sait pas à l’heure actuelle si une augmentation de la température corporelle entraîne des conséquences cliniques. Sources externes de chaleur : Étant donné le risque théorique d’exposition accrue à l’éthinylestradiol, on devrait informer

surtout dans les campagnes - l’affaire de matrones, au savoir empirique, désarmées en cas de complication. Les chiffres : Importante mortalité infantile endogène : 45%o vers 1880 Forte mortalité des femmes en couche ( hémorragies, fièvre puerpérale) Début 20ème : 90% des accouchements se font encore au domicile ( mais intervention plus fréquente des médecins ) En 1909, à Paris, 90% des femmes pauvres ou des filles mères accouchent dans des « maternité hospitalières » Le bébé

pathologique sous-jacent aux symptômes. - Une clinique du signe et du symptôme : Avec l’avènement de la médecine anatomoclinique, le signe prend le pas sur le symptôme qui désigne les troubles observables (la toux, la fièvre). Le signe résulte du regroupement des symptômes (la toux + la fièvre = tel type de maladie). Il permet de désigner la maladie. Il n’est pas donné d’emblée et se déduit de l’observation des différents symptômes. Ainsi est apparue une procédure d’identification des maladies, une procédure

amibes Amidon Amnios Amour sexuel, sexualité Ampoule, ampoule de Vater Amygdale, en anatomie, relatif aux organes lymphoïdes de la gorge parapali-, palinintrasemi apotransper-, parstéréoabdomin(o)lapar(o)api-ectomie -atrésie nullipuerpér(o)-, -puerpéral partum toc(o)cét(o)uric(o)ox-, oxy-, oxydacid(o)-drasie -praxie -consultation -infusion -compresseur, compression erg(o)-, -ergie, -ergique sinapis, sinapisé dispensation thym(o)trop(o)-, -trope, -tropie, tropisme -agression, -agressine acu-, acumin(o)-

20 ans ; Mendel réfugié au fond de son monastère ; Boltzmann suicidé à Trieste ; Semmelweis moqué et condamné pour avoir envoyé les médecins accoucheurs de la maternité se laver les mains, sauvant pourtant de la sorte les parturientes de la fièvre puerpérale… Ces savants-fils incarnent l’aventure de la connaissance, l’intuition, l’errance héroïque, la vie qui va, inventive, tel Pôros dans le Banquet, l’amour plein de ressources, trouvant toujours l’issue. Mais aussi, peut-être mieux que quiconque

avec le Quai d'Orsay. NARCISSE Si l'on veut. PHILOMÈNE C'est vous-même... NARCISSE Oui, j'ai quelques entrées. DOROTHÉE Cette fureur, ces cris, ces bombes colorées, Ces hommes résolus et fiers, cet archevêque, Ces pavés palpitants d'une fièvre intrinsèque, Ce mouvement qui prend une telle amplitude Du « grand soir » annoncé ne sont-ce le prélude ? NARCISSE Prenons garde à ne pas réduire au seul schéma Le perdure et l'élan – même au point maxima! DOROTHÉE Je m'en garderai bien ! NARCISSE

qui avait été sa fille pendant quarante ans : « Va, je sais bien que tu ne m’as jamais aimé ! » Deux ans avant la mort de son père, le frère de Sempronie était revenu d’Amérique. Il en ramenait une femme de couleur qui l’avait soigné et sauvé de la fièvre jaune, et deux filles déjà grandes qu’il avait eues de cette femme avant de l’épouser. Tout en ayant les idées de l’ancien régime sur les noirs, et quoiqu’elle regardât cette femme de couleur sans instruction, avec son parler nègre, ses rires de bête

qui avait été sa fille pendant quarante ans : « Va, je sais bien que tu ne m’as jamais aimé ! » Deux ans avant la mort de son père, le frère de Sempronie était revenu d’Amérique. Il en ramenait une femme de couleur qui l’avait soigné et sauvé de la fièvre jaune, et deux filles déjà grandes qu’il avait eues de cette femme avant de l’épouser. Tout en ayant les idées de l’ancien régime sur les noirs, et quoiqu’elle regardât cette femme de couleur sans instruction, avec son parler nègre, ses rires de bête

Germinie Lacerteux pendant quarante ans : "Va, je sais bien que tu ne m'as jamais aimé !" Deux ans avant la mort de son père, le frère de Sempronie était revenu d'Amérique. Il en ramenait une femme de couleur qui l'avait soigné et sauvé de la fièvre jaune, et deux filles déjà grandes qu'il avait eues de cette femme avant de l'épouser. Tout en ayant les idées de l'ancien régime sur les noirs, et quoiqu'elle regardât cette femme de couleur sans instruction, avec son parler nègre, ses rires de bête