Figaro Acte 4 Scène 9

Le Mariage de FIGARO J'espère avoir suffisamment insisté mais 7e siècle le mariage c'est l'enjeu de la comédie en plus là les gens sont d'accord c'est intéressant ça parce que vous voyez déjà l'évolution de la société ok une opposition pour le pour le mariage d'autres raisons alors le sous-titre c'est où la folle journée c'est une pièce qui va extrêmement vite extrêmement vite tout doit se faire vite en j'explique précisément OA aidé le contre le maïva à épouser celle qu'il aimait voilà donc

.................................... 8 Vers la scène… ............................................................................................... 10 Les métamorphoses de Cendrillon................................................................................... 10 La mise en œuvre lyrique ................................................................................................. 13 Questionner l’esthétique de la mise en scène .............................................. 16

éter nelles » à « épous se ter », conserve la complexité et les impli ca tions sym bo liques du maté riau antique. Autour de la fi gure, une réfl exion se noue sur les rap ports entre la péren nité mythique et l’actua lité : la mise en scène de la vérité, de la jus tice et de la pas sion est pla cée dans le contexte contem po rain de l’ambi guïté des valeurs et des para doxes de compor te ments – aucun des per son nages n’est inté gra le ment posi tif ou néga tif –

genres littéraires, le plus conventionnel. Après avoir précisé quelles sont les conventions essentielles que le théâtre impose, vous chercherez les raisons pour lesquelles, selon vous, le spectateur se soumet volontiers à ces conventions et accepte sur scène les fantaisies les plus débridées qu’il refuserait dans la vie réelle. Ouvrages consultés : Diderot, Paradoxe sur le comédien P. Larthomas, Le langage dramatique PUF M.C. Hubert, Le théâtre Armand Collin M. Lioure, Lire le théâtre moderne Dunod

« Mozart n’a, je crois, été gai que deux fois dans sa vie ; c’est dans Don Juan, lorsque Leporello engage à souper la statue du commandeur, et dans Cosi fan tutte ; c’est justement aussi souvent que Rossini a été mélancolique »4. Or Mozart, en démontrant, par ses Noces de Figaro, la possibilité de sortir des formules rigides que l’opéra italien avait continué à imposer, est bien en partie à l’origine du changement qu’a engagé Rossini. En effet, et nous le verrons lors d’une analyse plus précise du

| |J.-P. Sartre, Les mots, 1964 | |Le mythe de la transparence |4 –Livre II : « On la fit venir [...] pire que moi ! » | | |La tentation du romanesque |

La mythification du moi 1 – Le Préambule : « Je forme une entreprise [...] cet homme-là. » 2 – Livre I : « Près de trente ans [...] prolonger mon plaisir. » 3 – Livre II : « Craignant donc [...] j’irai causer avec vous. » 4 –Livre II : « On la fit venir [...] pire que moi ! » Textes complémentaires : Extraits de : Lettre à M. de Malesherbes 1762 Le Préambule de Neufchâtel 1764e N Rêveries du promeneur solitaire, 1776-1778fchâtel, Œuvres intégrales :

322453081470500Sommaire Page 2 à 4 : Candide de VOLTAIRE. Page 5 à 6 : Zadig de VOLTAIRE. Page 7 et 8 : le misanthrope de MOLIERE. Page 9 et 10 : le jeu de l’amour et du hasard de MARIVAUX. Page 11 et 12 : le mariage de Figaro de BEAUM- ARCHAIS Page 13 : Rhinocéros d’Eugène IONESCO Page 14 : La leçon d’Eugène IONESCO Page 15 à 17 : Pierre et Jean de MAUPASSANT Page 18 à 24: La bête humaine de ZOLA Page 25 et 26 : Claude gueux d’HUGO Page 27 et 28 : Un sac de bille

d’idées du XVIe au XVIIIe siècle Séquence n°1 : Rire et savoir (GT) Séquence n°2 : Gargantua (1534) de François Rabelais ● Le théâtre du XVIIe à nos jours Séquence n°3 : Le Malade imaginaire (1673) de Molière Séquence n°4 : Travestissement et comédie (GT) ● Le récit et le roman du Moyen Âge à nos jours Séquence n°5 : La Peau de chagrin (1831) d’Honoré de Balzac Séquence n°6 : Héros sans énergie : des anti-héros ? (GT) ● La poésie du XIXe siècle à

Commentaire du texte : « Europe, unis-toi ! », d’André François-Poncet, Le Figaro, 18 juin 1947 sur le Plan Marshall. Au début de l'année 1947, la Guerre froide conduit les dirigeants des États-Unis à redéfinir la politique étrangère de leur pays. Alors que le président Truman, le 12 mars 1947, devant le Congrès, expose la politique d'endiguement, qui conduira les États-Unis à prendre en main la défense de l'Europe occidentale en créant l'OTAN, c'est le général Marshall qui est chargé de proposer