Figure Du Tyran

Question sur corpus Quelles figures de roi ces quatre textes proposent-ils ? Ce corpus nous propose quatre figures de roi. Le premier roi est tyrannique, le second est vulgaire, le troisième est pervers, et le dernier est atypique. D’abord, le texte d’Alfred Jarry qui est une pièce de théâtre intitulée Ubu Roi (1888) nous présente un roi tyrannique et cruel. Effectivement, de nombreux passages du texte renvoient à des violences ou à des crimes : « ces messieurs te couperont les oneilles », « tu

Arthur : roi du royaume de Logres. Sa cour est le centre d’où partent et arrivent toutes les aventures. Bademagu/Baudemagu : roi du royaume de Gorre et père de Méléagant dont il est l’antithèse (explication). Il est courtois et preux et incarne la figure paternelle positive. Il traite bien la reine Guenièvre, que son fils a fait prisonnière. 2) Chevaliers  Keu : le sénéchal n’est pas un très bon chevalier de la cour du roi Arthur et est présomptueux (arrogant). Son intervention au début du roman

Clisthène est un personnage bien réel, pourtant sur lui il y a beaucoup moins de sources. Seulement deux auteurs anciens parlent de la figure de Clisthène, Hérodote et Aristote, mais aucun des deux n’est contemporain des événements et les deux entrent souvent en contradiction. Clisthène était de part de sa mère Agaristè le petit fils de Clisthène, tyran de Sicyone, mais plus important il faisait partie de la famille des Alcméonides. Les Alcméonides était une importante famille Eupatride

peuples qui relateraient de l’autodétermination et donc d’un possible bien commun contre « les lois portées par des tyrans », « (en admettant qu’il en soit) », relève une certaine illégitimité ainsi qu’une certaine illégalité se transformant paradoxalement en lois légales. Car comme nous le savon, elles sont censées proposer un idéal guidant l’homme par sa conscience. De plus un tyran s’impose par la force et a un pouvoir suprême oppressif. Alors dans cet exemple, ce qui est injuste devient légal,

utilise des anaphores : elle répète à quatre reprises l’expression « de ce que je » : « de ce que je me suis abaissée (…( » (l.12), « de ce que j’ai lâchement gardé dans mon cœur (…( » (l.13), « de ce que j’ai profané la vertu (…( » (l.15). Cette figure de style insiste non seulement sur l’intensité des reproches qu’elle lui fait mais surtout sur l’infinité de reproches qu’elle pourrait encore lui faire. Roxane profite également de cette distance pour lui faire des aveux. Elle lui révèle

L'Oedipe roi de Sophocle. Tyran mettait trop l'accent sur le côté méchant, du coup on l'a appelé « roi ». JP Vernant voit mot-valise (exemple : professeur c'est un profiteur de fessées). Vernant dit dans Oedipus on peut voit la contraction de deux autres mots grecs : Dipous : Celui qui a deux pieds, deux jambes. Serait à prendre ironiquement. Bipède qui ne va pas le rester. a) Le théâtre grec. 5ème siècle c'est la période de l'histoire d'Athènes, on l'appelle d'ailleurs siècle de Périclès

Hippias a été contraint de fuir en Perse en 510 av J.-C. par Sparte, allié des Alcménoides, dynastie ennemie des Pisistratides. C’est pourquoi, il se range aux côtés des perses contre Athènes espérant ainsi être rétabli à la tête d’Athènes en tant que tyran. B – Symbole des Tyrannoctones Hérodote mentionne les noms d’Harmodios et d’ Aristogiton. Nous pouvons les observer aux lignes ou de lui conserver sa liberté et, ce faisant, de laisser de toi un souvenir qu’on ne pourra pas comparer même à celui

invraisemblable et de plus absurde en effet que ce vestibule, ce péristyle[1], cette antichambre[2], lieu banal où nos tragédies ont la complaisance de venir se dérouler, où arrivent, on ne sait comment, les conspirateurs[3] pour déclamer contre le tyran, le tyran pour déclamer contre les conspirateurs, chacun à leur tour, comme s'ils s'étaient dit bucoliquement : Alternis cantemus ; amant alterna Camenae[4]. Où a-t-on vu vestibule ou péristyle de cette sorte ? Quoi de plus contraire, nous ne dirons

II) Un avenir radieux * Crimes et châtiments ne sont que veine puisque l’ordre du monde va changer v6 pour « un avenir radieux ». Tant au niveau des êtres dont le futur est évoqué est au-delà de l’histoire v2 qui inspire un temps cyclique figuré par l’image du feu. « Reflux » Alexandrin binaire avec coupe hémistiche et enjambement dépassement de la mort les hommes vivront et les morts reviendront = vision très chrétienne. * Distinction spatiale qui auront disparue car il n’y a plus

le célèbre Don Giovanni. Le 19ème siècle européen et romantique trouve ensuite dans Don Juan une figure privilégiée de la révolte et de l'échec à travers divers genres poétiques, narratifs et dramatiques chez l'Anglais Byron avec Don Juan en 1824 puis avec les Allemands Hoffmann en 1813 et Lenau en 1844 et enfin avec le Russe Pouchkine avec L'Invité de pierre en 1830. Le 20ème siècle reprend cette figure et la tourne parfois en dérision, Cyrano de Bergerac plonge le personnage aux enfers dans la Dernière