Figure Du Tyran

renforcé par la personnalité complexe du nouvel empereur. Une personnalité complexe La véritable personnalité de Caligula est assez difficile à déterminer en raison des auteurs antiques qui se sont appliqués avant tout à le faire passer pour un tyran et un véritable fou. En effet Suétone dans « La vie des 12 Césars » le qualifie de monstre et nous explique même dans notre extrait aux lignes 22 et 23 que « Ses vêtements, sa chaussure et sa tenue en général ne furent jamais dignes d’un Romain, ni

toujours avant notre ère. Mais ce dont on peut être sûr, à l'inverse, c'est la façon dont le peuple athénien a su penser un régime politique mettant, au cœur de sa réflexion, le peuple. Cependant, cela serait réducteur de penser Athènes comme étant la figure mère de la démocratie sans préciser le long processus par lequel elle a dû passer pour aboutir à ce résultat, aujourd'hui admiré et inspirateur. C'est plus précisément au Xème siècle av. J.-C., que la fondation d'Athènes (en même temps que celle de

patricien florentin Lorenzino de Médicis, âgé de dix-neuf ans, jeune homme studieux, admirateur des héros de l'Antiquité latine et grecque, se voue à la restauration de la République. Cependant, son cousin Alexandre de Médicis règne sur Florence en tyran sur l’appui de l’empereur d’Allemagne et du pape. Lorenzo devient alors le serviteur du duc pour tenter de mettre fin à cette tyrannie. Il va de manière stratégique organisé le meurtre du duc. Mais, après la mort du duc les républicains ne parviendront

impérative, on trouve aussi l’adverbe toujours : il ne laisse au lecteur aucune alternative comme le montre la construction symétrique des lignes 7, 8 et 9 : « ou », « ou ». Cette différenciation est développée dans la suite du texte, on a trois cas de figure : ➢ Une relation dominant-dominé qui peut s’inverser, c’est l’objet du paragraphe deux. La domination est imposée d’un côté et subie de l’autre. On a une série de termes opposés comme « commande » ≠ « obéissent ». Ce type de pouvoir est qualifié

 dont la pièce de théâtre intitulé  "Caligula" écrite en 1944. Dans cette pièce, Camus met en scène un jeune empereur du  même nom que l'oeuvre, se transformant après la mort de sa soeur Drasilla, car il a pris  conscience de l'absurdité du monde, en un tyran cruel et meurtrier sur son royaume, ce  personnage est inspiré de l'empereur romain Caligula (37 à 41). Dans la scène 5 de l'acte II  de cette oeuvre que nous allons analyser, on assiste au dialogue entre Lepidus, Cherea,  Mucius (les invités) et Caligula lui­même à table

La Boétie Discours de la servitude volontaire Pour être esclave, il faut que quelqu'un désire dominer et... qu'un autre accepte de servir. Il y a trois sortes de tyrans. Les uns règnent par l'élection du peuple, les autres par la force des armes, les derniers par succession de race. De qui est ce constat, si lucide qu'il place la tyrannie de la démocratie avant celle de la dictature et celle de la monarchie ; tellement clairvoyant même qu'on le dirait digne d'un camarade anar ? De Étienne

auteur comique anglais ayant travaillé a Hollywood. Dans ces nombreux films, il a créé un personnage: Charlot. C'est une grande figure du cinéma muet. -Ce film relate l'histoire d 'un barbier juif amnésique, après 20 ans d'absence il revient dans son pays, la Tomanie, qui est devenu entre temps une dictature ayant perdu une guerre en 1918 avec à sa tête Hynkel , un tyran qui rêve de dominer le monde. Comme le barbier ressemble fortement à Hynkel il est confondu avec le dictateur et doit prononcer

y compris si cela implique de commettre l’injustice (le principal étant de demeurer impuni). La rhétorique est une technique au service d’une existence conçue sur le modèle de celle de l’ignoble tyran Archélaos (p. 178). Le pouvoir de l’orateur sur son auditoire est sans cesse comparé au pouvoir du tyran sur son peuple, c'est-à-dire à un rapport de maître à esclaves. Mais Polos reste un orateur très soucieux de plaire à son auditoire (ce qu’il fut effectivement, semble-t-il). Aussi concède-t-il

personnage bouffon et de lâche, Lorenzaccio médite en secret l'assassinat d'Alexandre, qui doit libérer sa patrie et porter au pouvoir les républicains. Pour ce faire, il renonce à son honneur et à sa réputation il s'insinue dans les bonnes grâces du tyran et se met au service de ses caprices. Mais le geste de Lorenzaccio, dérisoire, n'aura pas d'autre effet que de faire basculer le pouvoir aux mains d'un autre clan, et n'entraîne aucun changement politique radical. Honni, calomnié, le jeune homme voit

Le Bourgeois gentilhomme est une comédie-ballet : on y chante et on y danse. Mais ce qui était un amusement au XVIIe siècle n’en est plus vraiment un ! Prend-on encore du plaisir à regarder ces figures "se tourner, s’escarter, se mesler à l’entour" ? Je ne crois pas. Et cependant, régulièrement, Le Bourgeois gentilhomme est remis en scène. C’est pour les collégiens auxquels on fait étudier la pièce, me dira-t-on, ces pauvres collégiens à qui l’on explique que monsieur Jourdain est un bourgeois ridicule