Filière Textile Mondialisation

des pays qui stagnent ou dont la situation s’améliore ou se détériore peu. Ils ne sont pas bien intégrés à la mondialisation et il y manque une véritable dynamique (Algérie, Pérou, Bolivie, Kazakhstan). 6) Les pays les moins avancés (PMA) Ils sont une cinquantaine dont la majorité en Afrique subsaharienne. Ils s’enfoncent dans le sous-développement et restent en marge de la mondialisation. Le nombre de PMA a tendance à augmenter. Les états y sont faibles, la corruption y est forte et l’instabilité

Réaliser par : Encadrer par : Membres de jury Président: Suffragant : Année universitaire: 2012-2013 Le rôle de la gouvernance d’entreprise dans l’amélioration de la performance des entreprises exportatrices Marocaines : cas du secteur textile-habillement Remerciements Tout d’abord, je remercier DIEU tout puissant qui ma donné la foi, la volonté, le courage et la persévérance. Je tiens à redresser mes sincères sentiments de reconnaissance à Mr., qui fut mon encadrant pour la réalisation

emploient 12 000 personnes sur un espace de 30 km2. La ville de Carpi (60 000 habitants) près de Modène concentre sur 30 km2 2 000 entreprises dans le textile-habillement. En France, dans le Choletais 200 entreprises dans la chaussure dans un rayon de 30 km. Enfin, on peut citer la plus grande concentration mondiale dans le domaine du textile : le système de Prato où 30 000 personnes vivent dans dix communes sur un espace très restreint et qui emploie 60000 personnes. - Un tissu de petites et

cédés. Section 2 : la compétitivité de l’entreprise marocaine dans le cadre des Accords de libre échange. Le Maroc a opté pour l’ouverture de son économie au marché mondial pour s’inscrire dans le processus de la mondialisation des relations économiques internationales. Cette option qui s’est caractérisée par la signature de nombreux accords internationaux impliquant un processus de démantèlement tarifaire, présentant des opportunités et des défis considérables aux industriels

paysages industriels anciens ont dans l’ensemble disparu, à l’image des cheminées d’usines. Ainsi des pans entiers de l’industrie ont pratiquement disparu du territoire français (chaussure ou cuir en général) ou ont été considérablement réduits (textile). De façon générale, un très grand nombre d’industrie de main d’œuvre cessent leur activité en France, sinistrant ainsi des villes et des régions entières. On peut citer plusieurs exemples de secteurs en crise : - la sidérurgie : son maintien

Le commerce équitable étant perçu de plus en plus comme une démarche de développement durable, de nombreuses organisations de commerce équitable se créent. Deux tendances apparaissent : des organisations intégrées qui oeuvrent sur l'ensemble de la filière (Aspal, Andines, Equiterre, Sel Artisanal…), et des organisations de certification de produits. Le principal représentant de cette seconde tendance est Max Havelaar qui - depuis 1992 en France - a pour mission de gérer le label Max Havelaar certifiant

SOMMAIRE Introduction…………………………………………………………………………………….2 • Après la 2ème Guerre Mondiale • Mondialisation Partie I : Emergence de la délocalisation……………………………………………………....3 1. Premières délocalisations : les maquiladoras………………………………………4 2. En France : le secteur du textile et de l’habillement.……………………………...6 Partie II : La délocalisation s’affirme et se généralise (fin 1970- milieu 1990)……………….8 2.1. Modification du contexte économique……………………………………………..9 2.1

DOSSIER Industrie : le positionnement stratégique du Royaume Longtemps dominé par les industries du textile & cuir et de l’agroalimentaire, le secteur industriel marocain s’est fortement diversifié intégrant aujourd’hui les nouvelles technologies et les industries de pointe. Dossier réalisé par Rachid Alaoui conjoncture@cfcim.org Maroc : quelle politique industrielle ? Interview avec Abdellah Amallah, professeur à l’ISCAE Emploi : la chasse aux profils qualifiés Des incitations pour stimuler

- un marché intérieur insuffisant avec des populations très pauvres - l’absence d’un effet d’entraînement Ce modèle de développement s’explique par une certaine méfiance à l’égard des exportations (et dans une certaine mesure à l’égard de la mondialisation) soit pour des raisons historiques (situation de colonies spécialisées dans une exportation au profit de la métropole), soit pour des raisons économiques avec une dégradation des termes de l’échange. ◼︎ L’industrialisation par les industries-industrialisantes

sino-africain un modèle traditionnel qui voit l’Afrique exporter de l’énergie et des matières premières (minerais, pierres précieuses, bois, coton, produits de la pêche) et importer des produits de consommation, des machines-outils et des produits textiles. En revanche, alors que les importations pétrolières chinoises ont beaucoup augmenté depuis le début des années 2000, les échanges sont, à l’échelle du continent africain, équilibrés, ce qui n’était pas le cas auparavant. En 2005, les exportations