Film Comique

en réalité sur ce qu’est la Vie et dans tout le texte de Bergson, nous allons en effet retrouver ce qu’il a écrit auparavant sur le sens de l’élan vital, sur l’interprétation qu’il propose du phénomène vivant. Il écrit dès le début de la fantaisie comique que nous devoir voir « avant en elle quelque chose de vivant. Nous la traiterons, si légère soit-elle, avec le respect qu’on doit à la vie ». Dans la pensée contemporaine, il est souvent pratiqué une opposition : on dit que le vivant, c’est l’objet

35 : voc. péjoratif mais ton dédramatisant pour évoquer son suicide et la mutilation de son fils B) Le registre comique - scène de comédie bourgeoise dans la confrontation entre Antigone et Créon interrompant la conversation entre Oe. et sa mère : enfant capricieuse : anaphore (l.17), parallélismes (l.24)... - La réponse de Créon fait penser à un sous-titrage de film muet : « Nature ingrate » (l.19) - Cette scène annonce la force tragique de refus et d’amour que la jeune fille

source d’inspiration. Mais le degré d’inspiration varie suivant la volonté de l’écrivain de se détacher complètement de l’œuvre première ou bien d’y rester relativement fidèle. Il s’agira alors plutôt d’une adaptation, vers un genre différent. Dans le film Orphée, tourné en 1950, Jean Cocteau réalise une adaptation surréaliste du mythe d’Orphée. Cocteau réutilise les éléments et idéaux de son époque, tel que le surréalisme, pour adapter le mythe au XXe siècle. Et la révolution de cette fin de deuxième

paroles dans les films. C’est ainsi que sont apparu les films dit de comédie. Ces films qui mettent en scène les situations les plus banals de la vie mais où la part du comique est tellement forte et bien misent en scènes que la seule solution est le rire. Comme par exemple Bienvenue chez les Ch’tis réalisé par Dany Boon, un film comique où l’histoire est simple mais grâce au jeu des acteurs devient vite un pur divertissement au travers du rire. Transition : Si le rire est souvent employé pour divertir

des Etats-Unis. Tout au long de son histoire, les grandes vagues du cinéma de fantastique américain (film d’horreur des années 30, science-fiction pendant les années 50, filmcatastrophe dans les années 70 et plus récemment le film de catastrophe écologique) dévoilent toujours la même volonté : dévier les difficultés sociales, politiques et économiques en les transférant sur le plan imaginaire. Le film d’horreur devient ainsi, avec ses fantasmes et ses « génies fous », une métaphore, un étonnant kaléidoscope

prix Jean Vigo en 1989. Balzac et la petite tailleuse chinoise est son premier roman rédigé en français et fut un succès puisqu’il a été traduit en 17 langues et s’est vendu en France à plus de 250 000 exemplaires. De ce roman, Dai Sijie a tiré un film du même nom qu’il a lui-même réalisé et qui fut présenté à Cannes dans la sélection « Un certain regard ». L’histoire se passe au début des années 70 alors que la Révolution culturelle lancée par Mao en 1966 pour reconquérir le pouvoir bat son

de toute sorte : cet aspect critique du rire est particulièrement mis en valeur par l’affiche du Dictateur, qui semble faire voler en éclat… de rire tout le mythe nazi. Tourné en 1940 dans une période dramatique de notre histoire, ce film transforme en effet le comique clownesque en véhémente satire sociale et politique contre la dictature, mais aussi en vibrant plaidoyer humaniste. De même que Rabelais nous prévient que Socrate, laid extérieurement, était plein de sagesse divine, et nous invite

sujet. Le rire, qui comme nous venons de le voir est un moyen d’expression autorisé par la loi, permet de dénoncer, de critiquer divers sujets. Le rire permet de critiquer la politique .Charly Chaplin, dénonçant le Nazisme, a réalisé un film, « Le Dictateur » film réalisé en 1940 où il s’agit d’une parodie d’Hitler, notamment lors de la scène où Chaplin danse avec le globe terrestre. Le rire permet également de critiquer la société. En effet, dans le livre « Modeste proposition pour empêcher les enfants

Les Registres Le registre comique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 2 Les registres tragique et pathétique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 5 Le registre lyrique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . p. 8 Le registre épique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

». Multiplication des coups de théâtre avec l’apparition du spectre et de la statue. souvenez-vous des différentes mises 2) Spectaculaire grâce à l’intervention du merveilleux : en scène : (triomphe de l'esthétique baroque : intervention du dans le film de Marcel Bluwal en surnaturel, (le spectre, la statue...) et utilisation de noir et blanc : immense statue qui machines spectaculaires, ancêtres de nos "effets remue la tête, sorte de « vertige » de Dom Juan qui tombe dans une spirale spéciaux".)