Film étirable

En l’espace d’une seconde je vis des éclats voler, des bras, des jambes, des morceaux de torses, des morceaux d’hommes, oui des hommes déchiquetés par cette bombe qui venait d’exploser tout près de nous. J’avais l’impression d’être spectateur d’un film d’horreur, la détonation m’avait fait perdre une bonne partie de mon ouïe, je percevais par saccades des cris, des pleurs, des hurlements. J’y étais jusqu’au coup dans l’horreur de cette fichue guerre, j’aurais donné n’importe quoi pour fuir cette

Trier Dancer in the dark est un film réalisé et scénarisé par Lars Von Trier sorti en 2000. Lars Von Trier est le scénariste de la plus part de ses films. Pour Dancer in the dark, il est également le parolier des chansons qui ponctuent le film. Le film appartient au genre de la comédie musicale, la musique, les chansons et la danse y tiennent donc une place importante. La musique est composée par Björk, chanteuse islandaise, qui interprète également l'héroïne du film. Selma, émigrée tchèque et mère

ce qu’on vit, et à cause de cette comparaison, les couples se trouvent avec des problèmes conjugales et des divorces, car la réalité que la pornographie a montré était fausse, leur conjointe ne ressemble pas à celle qui est dans la photo ou dans le film. Ces relations sexuelles pornographiques ne dévoilent aucun message et ne représentent aucun sentiment, au lieu qu’elles ne soient le fruit d’un amour, elles montrent un besoin animal couronnées par hurlements et des gémissements. Tout au début

célèbre l’art martial et son cinéma. En effet le cinéma d’arts martiaux existait bien avant le petit dragon : Bruce Lee (1940-1973), avec par exemple les films de chambara (de sabre) au Japon, ou encore le genre Wu Xia Pian à Hong-Kong. Le premier film Chinois remonte même à 1905, il est tourné à Pékin et s’appelle Dingjun Shan, la première compagnie de production Chinoise est fondée en 1923, la Mingxing, quelques années plus tard c’est Hong-Kong qui perpétuera le cinéma d’arts martiaux Chinois.

auront peut-être fait le rapprochement en entendant son nom à la télévision. Le réalisateur Alain Corneau (1943-2010), dont le dernier film, Crime d'amour, est encore sur les écrans, est décédé le 30 août, alors même que les bacheliers littéraires s'apprêtent à plancher sur son film Tous les matins du monde (et le roman du même nom de Pascal Quignard). Sorti en , le film constitue paradoxalement (au vu du sujet et de l'austérité du traitement) le plus grand succès (7 Césars, 2 millions d'entrées) d'une

I/ Avec cet excellent film Post-Apocalyptique, le réalisateur Francis Lawrence nous plonge dans une ambiance oppressante et sombre avec une vue de New York Vidée incroyable à l'écran. L'acteur principal Will Smith est époustouflant en nous faisant passer par toutes les émotions et qui tient ici un de ses meilleurs rôles de sa carrière en interprétant le dernier homme sur terre. L'alchimie entre le personnage de Will Smith et sa chienne fonctionne à merveille avec plein d'humour et d'émotion, concernant

de grand divertissement. 1/ Horreur, Thriller, films sociaux Le film d'horreur, l'épouvante ou le thriller sont des genres qui utilisent des moyens bien entendus, pour mettre en place le système d'émotions et la narration. Parmi ces moyens, on retrouve très régulièrement celui qui consiste à placer la diégèse dans un contexte domestique, ou scolaire par exemple, des lieux fréquentés par tous quotidiennement. Plus un film fait référence à des choses de notre quotidien, plus il nous attire et

sur des éléments réels qui font peur comme le sang, les meurtres, tortures … Le film d’horreur cherche à jouer avec les peurs du spectateur soit en passant des scènes gore, soit seulement sur l’imagination du spectateur. Il joue aussi avec la musique, qui peux être angoissante. L’horreur crée un sentiment d’angoisse, de dégout, de répulsion en jouant sur des phénomènes essentiellement visuels et de peur comme le film « Saw », « Massacre à la tronçonneuse » ou « Rec ». Le fantastique, lui, se base

de participer à l’effort de guerre. De plus, Hollywood évite toute controverse politique suite au film Les bérets verts (The Green Berets, J. Wayne, 1968), l’un des plus décriés de la seconde moitié du XXe siècle. Wayne dresse dans cette fiction l’apologie de l’intervention américaine au Vietnam et engendre une polémique mondiale. Cet extrait caractérise parfaitement le style de critiques que le film a pu recevoir lors de sa sortie à Paris : « Nullité programmée au mois d’août par les courageux frères

Film cultissime, sorti en 1998, The Big Lebowski, est juste excellent avec des phrases cultes, de l’humour, de très bon jeux d’acteur, une bonne réalisation, et surtout une B.O fabuleuse. Critique de Film : The Big Lebowski Los Angeles, années 50-60, Jeffrey Lebowski, surnommé Le Duc, passe sa vie à fumer des joints, à boire des bières avec ses amis et à jouer au bowling jusqu’au jour où des inconnus le prenant pour un autre Lebowski- qui lui est riche - urinent sur son tapis « qui fait bien dans