Film étirable

521 Si je reste – LA CRITIQUE De nos jours, l’amour au cinéma est tellement prévisible que lorsque nous visionnons un film romantique, nous savons à peu près comment ce dernier se terminera. L’œuvre cinématographique «Si je reste» contre-t-elle cette idéologie préconçue? Contre toute attente, ce long métrage a outré tous les clichés romantiques auxquels nous sommes fréquemment

cinématographiques : la comédie (Docteur Folamour), la comédie dramatique (L’Ultime Razzia, Lolita), le drame psychologique (Orange Mécanique, Barry Lyndon, Eyes Wide Shut), le film historique (Barry Lyndon), le film de guerre (Full Metal Jacket, les Sentiers de la Gloire, Docteur Folamour), le péplum (Spartacus), le film policier (L’Ultime Razzia, Le Baiser du Tueur), la science-fiction (2001 : L’Odyssée de l’Espace). Kubrick possède un style bien particulier : vous verrez qu’il utilise des plans

Ségolène Le Dain Groupe A Analyse filmique Planète terreur par Robert Rodriguez. La séquence que j’ai choisi provient du film Planète terreur (Planet Terror) réalisé par Robert Rodriguez. Ce film américain qui est sorti en 2007 est la conclusion d’un dyptique engrangé par le célèbre Quentin Tarantino avec son Boulevard de la mort (Death Proof) dont le but a été de faire revivre le cinéma Grindhouse des années 70, typique d’un cinéma américain plutôt underground et décadent mêlant des scènes

début de carrière et joue chez des cinéastes tels que Roger Vadim, Edouard Molinaro. Mais sa carrière ne sera pas celle de sa sœur : elle décède en 1967 à l’âge de 25 ans dans un accident de voiture. Les Demoiselles de Rochefort sera son avant-dernier film. JACQUES DEMY Jacques Demy (1931-1990) grandit à Nantes, qui imprègne son imaginaire au point que presque tous ses films se situent dans des villes portuaires (Nantes, Cherbourg, Rochefort). Ses personnages sont toujours sur le départ : dans Les

son, implicite ou explicite, dans le cinéma muet, à travers l’analyse du son dans la salle et dans l’image, ainsi que par la relation entre musique et bruit. I. Le son s’entend et se voit… La plupart de nos contemporains n’apprécient pas un film muet à cause de l’absence de son. Pour eux, des images qui défilent sans que nous puissions entendre les dialogues, les bruits de pas, d’objets qui tombent ou de voitures, est très ennuyeux. Or, une étude récente faite par Isabelle Raynauld, professeure

Le surréalisme c’est un mouvement artistique par lequel on se propose d’exprimer le fonctionnement réel de la pensée Mulholand Drive présente de nombreuses caractéristiques surréalistes. Premièrement, la structure de ce film échappe à toute logique narrative, l’intérêt du film ne repose pas sur l’histoire mais sur l’émotion qui est transmise au spectateur. De plus, Lynch fait appel au rêve, pour représenter le fonctionnement de la pensée de Betty. En effet le rêve de Betty est en quelque sorte

avocat de France en 1919. Carrière AuCinéma C'est aux côtés de Jean Renoir, ami de longue date, que Maurice Jaubert fait ses débuts au cinéma. Il réalise notamment la sélection musicale accompagnant le film Nana en 1926. Il crée ensuite en 1929 sa première partition musicale pour le film de Hanns Schwartz, Le mensonge de Nina Petrovna. En 1931, il entre chez Pathé-Natan et compose la musique de grands films de l'époque : Quatorze juillet (1932) de René Clair, Zéro de conduite (1933) de Jean

Sin City ou la modernité du film noir Historique du film noir: Au début des années 40, avec son premier film Le faucon Maltais, John Huston popularise un genre nouveau, hérité des œuvres littéraires de Dashiell Hammett et Raymond Chandler. Ce genre sera plus tard identifié comme «le film noir », offrant des œuvres ayant pour cadre un milieu urbain cloisonné, décrivant des personnages évoluant en marge de toute justice et une inévitable femme fatale prétexte à toutes les passions. Durant

la pellicule couleur Kodachrome et 1936, celle de la pellicule Agfacolor. Toutes deux permettant d’obtenir des diapositives, elles ont marqué le début de la grande renommée des pellicules couleurs. 1990 Naissance du premier appareil numérique sans film. LE PRINCIPE DE LA CHAMBRE NOIRE * Le principe de base est très simple : comme la lumière est réfléchie par les objets dans toutes les directions suivant leurs qualités propres d'absorption, de réflexion, de diffusion, chaque point de la surface

photos qu’il produit. Il s’intéresse autant aux scènes de crime que de pauvreté… Le film noir. C’est la version hollywoodienne du cinéma 30 et 40. On est dans le cinéma commandé par les studios hollywoodien, le cinéma est le lieu de la convention ou des règles de construction narrative… font le cinéma de l’époque. Personnage pris dans un destin extrêmement sombre et compliqué. Suite à ça suit le fatalisme… Le film noir se finit quasiment toujours mal, et est fondé sur des stéréotypes, des archétypes