Fils de la Liberté

Le sujet à traiter concerne une lettre écrite par un parent d'élève au courrier parent du journal Métro et publiée dans celui-ci. Dans cette lettre, le parent fait une violente critique des méthodes pédagogiques utilisées par l'enseignante de son fils de CP. Il évoque notamment son désaccord avec la méthode de lecture choisie. On peut également remarquer dans ces propos que le parent est très nostalgique des anciennes méthodes telles que l'apprentissage par cœur, la copie, les récitations, etc.

défiant les normes de son époque en abusant de sa liberté, Jean Racine lui préfère écrire sur des personnages ayant les valeurs populaires du XVIIe siècle. L’une de ses œuvres littéraires s’intitule Phèdre. On y retrouve des personnages déchirés entre leur devoir à accomplir. D’eux d’entre eux sont Phèdre et Hippolyte. Dans un premier temps je vais analyser l’évolution du déchirement que ressent Phèdre à l’égard de l’amour qu’elle porte pour le fils de son époux. Ensuite, je vais analyser trois déchirements

pas des esclaves ; car les ordres des parents sont inspirés avant tout par l’intérêt des enfants. Il existe donc selon nous une grande différence entre un esclave, un fils, un sujet, et nous formulerons les définitions suivantes : l’esclave est obligé de se soumettre à des ordres fondés sur le seul intérêt de son maître ; le fils accomplit sur l’ordre de ses parents des actions qui sont dans son intérêt propre ; le sujet enfin accomplit sur l’ordre de la souveraine Puissance* des actions visant

Pantagruel, maitre de l’art dans la satire et la parodie. Texte épistolaire Plan commentaire : I) Lettre d’un père à son fils 1-Le genre épistolaire - Formule d’envoi avec repère spatiaux temporelle - Emetteur-récepteur -> intimité avec une relation filiale - Bienveillance paternelle et préoccupation de la réussite de Pantagruel 2-Un père exigeant - Impératif -> fils subit autorité - Accumulation demande …. 3-Un père tout puissant - Parallélisme de forme avec décalogue (10 commandements

souvenirs) sur fenêtre en plan moyen - Plan cut sur un plan large américain du père et du fils  ellipse - Plan cut moyen mère - Plan cut moyen père : on suit le personnage qui parle ! - Plan épaule fils : voit sa réaction et retour plan père fils large - Plan large de la fameuse porte de la maison : sépare la famille dans la vie comme dans la mort - Rotation gauche droite pour suivre le mouvement du fils et des policiers - Retour sur la famille plan large américain en cut : fin souvenir -

à la fin de la guerre de Troie . Il mettra 10 années pour rentrer chez lui à Ithaque car il s’est attiré la colère de Poséidon (dieu de la mer et des océans) en tuant son fils le cyclope. Cette période de sa vie se caractérise par l’errance et la souffrance . Ulysse essaye tant bien que mal de rejoindre son oikos , c’est-à-dire le foyer en grec. À chacune

Courcil, qui n’est point aimée ni par son mari ni par ses deux fils, trouve refuge dans les bras de M. de Bourneval, un ami de la famille. Les deux amants s’aiment en secret. René a 18 ans lorsque sa mère meurt. Celle-ci a laissé un testament chez le notaire. M. de Courcil, René, ses deux frères ainsi que M. de Bourneval se rendent chez lui. Lors de la lecture du testament, Mme de Courcil déclare ne rien laisser à son mari et à ses deux fils aînés car ils ne l’ont jamais aimée ; elle estime ne plus rien

dans ce discours politique sont ambigus et font allusion à l'amour qui pourrait les réunir : ainsi Hippolyte affirme avoir plaint la rigueur des lois qui entravaient la liberté d'Aricie (v. 475), et lui dit Je vous laisse aussi libre, et plus libre que moi (v. 480), suggérant ainsi un parallèle implicite entre la privation de liberté politique et celle due aux chaînes amoureuses. Il souligne enfin le côté chevaleresque de son action : Je pars, et vais, pour vous, / Réunir tous les voeux partagés entre

Antigone d'Anouilh A Le sujet Inspiré de la tragédie de Sophocle. La scène se passe à Thèbes. Les deux fils d'Œdipe, Étéocle et Polynice, se sont entre-tués sous les murs de la ville. Le roi Créon a ordonné de n'enterrer qu'Étéocle, laissant sans sépulture celui qu'il considère comme traître, Polynice (ce qui, selon les Anciens, condamne son âme à errer éternellement). Quiconque enfreindra la loi sera puni de mort. La sœur d'Étéocle et de Polynice, Antigone, ose braver l'interdit et défier Créon

l’intrigue. Le héro connait peu d’aventures (par rapport à Candide), il n’effectue qu’un déplacement depuis la Bretagne jusqu’à Versailles. Le héro se retrouve, à la moitié du récit, dépourvu de toute initiative. Ce n’est qu’à la fin, qu’il retrouve sa liberté de mouvement grâce à l’intervention de mademoiselle de Saint-Yves. Problématique : Histoire singulière de « l’ingénu », rencontre de deux cultures, car breton par ses parents et huron puisqu’élevé dans une tribu de Huronie (tribu d’indiens pacifiques