Fils De Pute

Itaïtuba libre et heureuse. Sans la peur de parler. Nous irons chez lui ce soir. Les policiers le surveillent en permanence. Fusils et pistolets-mitrailleurs. Il aimerait parler encore. José ne dort plus beaucoup. Il est séparé de sa femme, de son fils. Il les cache dans une autre ville pour qu’on ne leur fasse pas de mal. Il pleure. dans la rue il y a un homme qui s’appelle Manuel Isquierdo. C’est lui le distributeur de cocaïne. José ne dort plus chez lui, mais chez les policiers, dans un hamac

grande. Elle avait des cheveux longs, portait un jean taille basse, une veste en duvet cintrée ainsi que des lunettes de soleil griffées à large monture qui, tel un masque, cachaient une partie de son visage. Jonathan agita un bras en direction de son fils qui lui rendit timidement son salut. – Envoie-moi Charly et casse-toi ! ordonna-t-il, à cran. Chaque fois qu’il apercevait son ex-femme, une colère mêlée de douleur l’envahissait. Un sentiment puissant qu’il ne contrôlait pas et qui le rendait à la

répondre à leurs questions et le type était trop ivre pour donner une explication sensée de ce qu'ils étaient en train de traficoter. D'UN POINT D E V U E PUREMENT INTELLECTUEL, 43 Pour maître Bjurman, la conclusion s'imposait : Lisbeth était une pute de bas étage. Elle était en son pouvoir. Il n'y avait aucun risque. Même si elle protestait auprès de la commission des Tutelles, il pourrait s'appuyer sur sa propre crédibilité et ses mérites pour l'expédier comme menteuse éhontée. Elle était le jouet

Brandon : Hey Aurélie ! T'es très jolie.Aurélie : (gênée) Mer ... merci.Alice : Vous vous connaissez ?Brandon : Oui on est dans la même classe !Mélissa : (avec un œil sévère à son fils cadet) Tu t'es bien gardé de m'en parler !Simon : Je ne voyais pas l'intérêt ...Mélissa : (frappe son fils à l'épaule) Simon ! Excuse mon fils Aurélie il est ... spécial.Simon : C'est moi qui suis spécial ? Parles pour l'autre !Raphaël : C'est de moi que tu parles Simon ? ♥ Charles : Raphaël, arrêtes de faire l'idiot

l’épaule. La veuve l’esquiva avec dégoût. — Ne me touche pas. Je ne veux pas de ta pitié. Elle n’a jamais nourri personne, la pitié. Je n’ai plus besoin de personne. Maintenant que mon fils n’est plus là, je peux m’en aller, moi aussi. Ça fait des années que je songe à en finir avec ma chienne de vie. Mais mon fils n’avait pas toute sa tête. Je le voyais mal me survivre au milieu de gens pires que des loups… J’ai hâte d’aller dire deux mots à Celui qui m’a créée juste pour m’en faire baver. — Que

ces années que j'ai commencé à me poser des questions sur la thérapeutique enseignée à la Faculté, où l'homme est découpé en appareils, fonctions, organes. C'est à cette période également que j'ai eu mon premier contact avec l' Homéopathie. Mon fils a débuté à partir de 6 mois des épisodes de rhinopharyngites à répétition compliqués d'otites et de bronchites. J'avais un camarade de travail dont la belle mère soignait des malades par Homéopathie en se servant de la radiesthésie pour le choix des

comédies musicales. Pour moi les films c’est pire que la peste mais j’adore imiter les acteurs. Le gars Stradlater, il me regardait dans la glace tout en se rasant. Et moi j’ai besoin d’un public. Je suis un exhibitionniste. J’ai dit « C’est moi le fils du Gouverneur ». Je me défonçais. Claquettes tous azimuts. «Le Gouverneur, il veut pas que je devienne un danseur de claquettes. Il veut m’envoyer à Oxford. Mais les claquettes j’ai ça dans le sang. » Il a ri. Le Stradlater. Il avait pas mal le sens

comédies musicales. Pour moi les films c’est pire que la peste mais j’adore imiter les acteurs. Le gars Stradlater, il me regardait dans la glace tout en se rasant. Et moi j’ai besoin d’un public. Je suis un exhibitionniste. J’ai dit « C’est moi le fils du Gouverneur ». Je me défonçais. Claquettes tous azimuts. «Le Gouverneur, il veut pas que je devienne un danseur de claquettes. Il veut m’envoyer à Oxford. Mais les claquettes j’ai ça dans le sang. » Il a ri. Le Stradlater. Il avait pas mal le sens

aurait beau aérer très longuement l’appartement à fond, l’odeur mettrait des heures à s’évaporer, d’ailleurs elle ne s’en irait jamais vraiment. D’ailleurs elle serait si puissante qu’il suffirait que Bérangère appelle pour que, véhiculée par les seuls fils du téléphone, elle envahisse à nouveau l’appartement. Avant de connaître Bérangère Eisenmann, Ferrer ignorait l’existence d’Extatics Elixir. Maintenant, il le respire encore pendant qu’il se dirige vers l’ascenseur sur la pointe des pieds : le parfum

quatre-vingt-sept jours sans un poisson, et qu’ensuite on avait attrapé tous ces gros, un par jour pendant trois semaines ? – Je me souviens, dit le vieil homme. Et que tu ne m’as pas quitté parce que tu aurais douté. – C’est mon père qui m’a forcé, je suis son fils, je dois lui obéir. – Je sais, dit le vieil homme. Et c’est normal. – Il n’a pas assez confiance. – Non, dit le vieil homme. Mais nous on a confiance. Hein ? – Oui, dit le garçon. Si tu veux on prend une bière à la Terrace, et ensuite on porte