Fin Acte 2 Tableau 2 Rhinocéros

d'expression les apparences de la réalité, ("apparences", car ce genre littéraire obéit à de  nombreuses conventions : cf. ci­dessous "décor", "aparté" ...).      Bien entendu, le texte théâtral n'est pas, comme le texte narratif ou poétique, une fin en soi. Il  n'est pas, par définition, ​ destiné ​ à être lu mais ​ à être joué, représenté​ . C'est pourquoi il faut lire  une œuvre dramatique en ne perdant pas de vue que son aboutissement est la représentation.    I COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE ​

mode d'expression les apparences de la réalité, ("apparences", car ce genre littéraire obéit à de nombreuses conventions : cf. ci-dessous "décor", "aparté" ...). Bien entendu, le texte théâtral n'est pas, comme le texte narratif ou poétique, une fin en soi. Il n'est pas, par définition, destiné à être lu mais à être joué, représenté. C'est pourquoi il faut lire une œuvre dramatique en ne perdant pas de vue que son aboutissement est la représentation. I COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE (lire

mode d'expression les apparences de la réalité, ("apparences", car ce genre littéraire obéit à de nombreuses conventions : cf. ci-dessous "décor", "aparté" ...). Bien entendu, le texte théâtral n'est pas, comme le texte narratif ou poétique, une fin en soi. Il n'est pas, par définition, destiné à être lu mais à être joué, représenté. C'est pourquoi il faut lire une œuvre dramatique en ne perdant pas de vue que son aboutissement est la représentation. I COMPOSITION DE L' OEUVRE DRAMATIQUE (lire

Après plusieurs voyages en Europe, il décide de vivre à Paris lors de la seconde guerre mondiale. Beckett participe activement à la résistance contre l’occupation nazie en France. Ses œuvres les plus célèbres sont En attendant Godot, paru en 1952, Fin de Partie, paru en 1957 et Oh les beaux Jours, 1963. Beckett reste associé au théâtre de l’absurde. Le déclic se fait en 1926, où il se fait poignardé sans raison par un clochard. Il retrouve son agresseur, arrêté, et lui demande pourquoi il l’a

(1945) I. COMPREHENSION 1. Relevez et analysez les images utilisées par le poète pour évoquer la femme. 2. Montrez, en vous appuyant sur le texte, que la femme noire est aussi une allégorie. 3. En quoi le registre de ce poème est-il lyrique? Repérez et analysez les marques de ce registre. II. INTERPRETATION 1. Etudiez et commentez l’évolution des sentiments du poète face à cette femme. 2. En quoi la forme de ce poème est-elle à la fois traditionnelle et moderne ? III. REFLEXION PERSONNELLE

qui se veut expérimentale, qui se propose d'enrichir la littérature par des procédés nouveaux, au nom d'une image authentique de la réalité. Traits particuliers de la littérature au XXe siècle : 1. Le rapport entre l’individu et le milieu. 2. Multitude des courants esthétiques- courants de courte durée- l’avant-gardisme (années 10 et 20), le dadaïsme (entre 1916-1925), le cubo-futurisme (a la veille de la 1GM). Ces esthétiques influencent les autres. 3. Echanges étroites entre les artistes

Méthodologie (plan, rédaction…) 2ème semestre  Thème « Ces objets qui nous envahissent » (Acheter chez Flammarion dans la collection « Etonnants classiques », Anthologie BTS 2015, « Ces objets qui nous envahissent » 4,50€. 3 fiches de lecture (2 livres et 1 film ou 1chanson) à choisir parmi : Au bonheur des dames, Zola La peau de chagrin, Balzac Madame Bovary, Flaubert Le Musée de l’innocence, Pamouk Des éclairs, Echnoz Autobiographie des objets, Bon Citizen Kane d’Orson Welles Playtime

fait à son plaisir? Par contre, celui à qui l'esturgeon donne des nausées n'y peut trouver aucun agrément. Une femme est laide à faire peur, mais son mari l'égale à Vénus; c'est tout comme si elle était parfaitement belle. Le possesseur d'un méchant tableau, barbouillé de cinabre et de safran3, le contemple et l'admire, convaincu qu'il est d'Apelle ou de Zeuxis4; n'est-il pas plus heureux que celui qui aura payé très cher une peinture de ces artistes et la regardera peut-être avec moins de plaisir? J'ai

aisément visible. Le lieu n'est pas le lieu Au théâtre, le lieu est illusion : le spectateur admet que la scène présente comme réel un lieu en réalité factice et que les deux cents mètres carrés de la scène représentent une forêt dans le deuxième acte de Dom Juan, un champ de bataille dans Cyrano de Bergerac. Un décor de carton Victor Hugo, dramaturge lui-même, explique très concrètement : « Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de

aisément visible. Le lieu n'est pas le lieu Au théâtre, le lieu est illusion : le spectateur admet que la scène présente comme réel un lieu en réalité factice et que les deux cents mètres carrés de la scène représentent une forêt dans le deuxième acte de Dom Juan, un champ de bataille dans Cyrano de Bergerac. Un décor de carton Victor Hugo, dramaturge lui-même, explique très concrètement : « Le théâtre n'est pas le pays du réel : il y a des arbres en carton, des palais de toile, un ciel de haillons