Fin de ligne

obtint le prix Nobel en 1957. L’œuvre est sépare en 5 parties, tel une pièce de théâtre tragique, séparé en 5 actes. L’histoire se déroule à Oran, en 1940, en Algérie française. L’histoire est racontée par un narrateur interne, qui se dévoile à la fin de l’histoire. La peste n’est pas une œuvre qui parle essentiellement de la peste, en tant que maladie, avec la personnification de la peste Camus veut nous faire réfléchir sur la condition de l’homme, et nous montre les différents comportements face

monde des émotions () [...] L’imparfait, quant à lui, souligne les impressions intimes. Anna Damby revit ses moments dans leur intensité et essaie d’analyser avec justesse les sensations qui l’envahissent : Cette voix disait des vers mélodieux (ligne ce n’était plus la même voix, ce n’était plus le même amour, ce n’était plus le même homme (groupe ternaire édifiant des lignes 26- 27). Cette alternance de temps verbaux donne au récit une diversité de tons et de rythmes. Une scène à deux voix La

charmant » (P.H, ligne 1) comparativement à la vie rural qui en est le contraire : « Ce lieu charmant ne pouvait manquer d’attirer l’attention des amateurs de la belle nature; aussi, chaque année, pendant la chaude saison, est-il le rendez-vous d’un grand nombre d’habitants de Montréal qui viennent s’y délasser, pendant quelques heures, des fatigues de la semaine, et échanger l’atmosphère lourde et brûlante de la ville contre l’air pur et frais qu’on y respire. » (P.L, ligne 1 à 8) Dans l’extrait

narrateur est très importante, puisque le rôle de celui-ci est triple. C’est le narrateur qui cherche une explication naturelle aux situations troubles dont il est témoin, c’est lui qui crée la tension en montrant que son inquiétude croît du début à la fin et c’est encore lui qui raconte l’irruption de ce qu’il considère comme inadmissible et ceci décrit dans les extraits intitulés « Le Revenant » et « Des pas lourds dans l’escalier ». Dans l’extrait « Le Revenant », l’auteur cherche une explication

le lecteur pourrait se demander en quoi ce discours pathétique révèle l'impuissance paradoxale de Frollo. Par conséquent, de " Oh ! " jusqu'à "dégoût " ( ligne 1 à 7), la déploration etl'aveu d'impuissance de l'antagoniste sont l'aveu d'impuissance de l'antagoniste sont perceptibles. Ensuite, de " Être présent jusqu'à " quatre chevaux " ( ligne 7 à 14 nous assistons à la jalousie et audésir destructeur habitant Frollo. Enfin, de Sais-tu " à " Aie pitié de moi " ( ligne14 à 20 ), on note la recherche

de lieux : quelle est leur fonction dans cette première page ? - Quelles sont les différentes étapes du "voyage" ? qu'est-ce que les différents lieux symbolisent ? 2) ENONCIATION - Quelle est la valeur de "on" (lignes 1, 3, 4; puis ligne 14 ; puis ligne 18) ? -Qui perçoit les personnages, le paysage ? 3) PERSONNAGES - Quel commentaire faites-vous du prénom et du nom du personnage féminin Pétronille Dufour ? -Les autres personnages sont-ils nommés ? Pourquoi ou pourquoi pas ?

extrait du chapitre 10 de La Bête Humaine d’Emile Zola, publié en 1890, ayant comme personnage principal Jacques Lantier. Cet extrait se passe juste après que Flore ait appris que Jacques avait une liaison avec Séverine. Elle décide donc de mettre fin à ses jours en se confrontant à la Lison (la locomotive de Jacques, à laquelle il est très attaché) créant ainsi un accident qui ferrait périr Jacques, Séverine et la locomotive). Nous allons donc chercher à expliquer en quoi le choc entre la Lison

d'autrui est marquée par l'expression " nous avons respecté l'image qui est en toi " et aussi par les questions rhétoriques des lignes 31 à 35. • Un monde où la vie est simple : Diderot insiste fortement sur l'absence de superflu à la fin de cet extrait : " Tout ce qui est (…) possédons ", " lorsque nous avons faim (…) vêtir " (l.38). Ils revendiquent un minimum qui rend la vie facile : le bien être et le repos sont mis en éloge : " laisse nous nous reposer ". C) La force oratoire

direction du Maroc se fasse sous ses ordres. A la ligne 5, il précise que « les commandants de Région recevront chaque fois qu’il y aura lieu les directives du Résident général ». Tout le reste du texte décrit ces directives, en premier lieu la sécurité qui doit être assurée. A la ligne 8, Lyautey dit que la sécurité militaire doit être assuré aux abords des places. Il ne veut ni attaque ennemie, ni révolte indigène. Il précise d’ailleurs à la ligne 11 vouloir faire appel à la coopération des autorités

commentaire INCIPIT DE BEL AMI de Guy de MAUPASSANT Guy de Maupassant, romancier de la fin du XIXème siècle incarne à travers ses oeuvres le réalisme. Dans cet extrait qui constitue l'ouverture du roman réaliste Bel Ami, l'auteur nous fournit tout ce qui est utile à la mise en place de l'intrigue : le lieu, le temps et le personnage. Comment le personnage du roman est-il présenté dans cet incipit? C'est dans un cadre spatio temporel qui donne l'illusion du réel que l'auteur présente d'une