Fin de ligne

dimension d'un mythe. Notre extrait se situe à la fin du roman. Des Grieux et Manon se sont enfuis et sont dans le désert, lorsque la jeune femme lasse et épuisée finit par mourir. Cette mort racontée par Des Grieux lui-même, vous propose une nouvelle image de l’héroïne. + LECTURE + RAPPEL DE LA QUESTION + PLAN Cours : Manon Lescaut I- Une mort pathétique A) Un couple uni On observe l'emploi du pronom personnel « nous » ligne 1, qui montre qu'ils sont ensemble à ce moment là

risquez beaucoup” ligne 31 et 32, Trivelin ne croit pas le Chevalier car il connaît la véritable identité de celui-ci. Par ailleurs à la réplique suivante Trivelin nous dit qu’il n'a qu' un écu à perdre , alors que le Chevalier lui, a beaucoup plus à

sont importantes. On peut lire d'abord « à ce moment on entend (ligne 31) » puis « les bruits sont devenus très forts ; jean et criant presque pour se faire entendre » « les bruits sont devenus énormes » Malgré le bruit, le dialogue continue. La seule réaction de Jean est de forcer la voix (il crie presque à la ligne 38), au sens propre, les deux personnages n'entendent pas ce qu'il se passe dans le monde autour d'eux. (ligne 32 Bérenger indolent n'entend rien). Jean est le premier à remarquer

transforme en un air d’égoïsme et de brutalité. Il y a un changement total. Je trouve que la fin vire un peu trop au drame, mais cela est conforme au titre donné à la pièce. Michel J’ai séparé le comportement de Michel en plusieurs parties : 1) P. 9 ligne 1  P. 31 ligne 523 : Michel est calme 2) P. 31 ligne 524  P. 49 ligne 966 : Michel devient nerveux 3) P. 49 ligne 967  P. 78 ligne 1662 : Michel pète un plomb Partie 1 : Michel est calme Michel est calme, généralement tout

-avant :chap.15 : annonce des fiançailles , et jusqu’au chap. 22 , dédié au mariage -après : Chloé commence à tousser , signe qu’elle tombe malade , le conte de fée se finit et tout vas de plus en plus mal Division de l’extrait : Lignes : -1 à10 : la fin de la cérémonie-carnaval : les gens sont contents, ils écoutent la musique - l.5 : Le Chuiche et le Bedon , cabriolant dans leur beaux habits , l.9 : le bruit des chaises sur les dalles était très harmonieux , ce qui fait penser à une fête foraine

la première ligne le vocabulaire de la torture" la torture" (ligne 1, Texte B), "à la grande et à la petite torture" (ligne 9, Texte B) " la question à personne ?" (ligne 22, Texte B). Il utilise peu de temps après le champ lexical du plaisir " plaisir " (ligne 8, Texte B), " pris goût " (ligne 18, Texte B), l'auteur dénonce la cruauté que des hommes prennent plaisir à torturer autrui. Camus aussi utilise le vocabulaire de la torture dès les premières lignes, "pratique de torture" (ligne 1, Texte C)

est la fuite du temps. Le début de son poème décrit une fin de journée ( «  Quel couchant douloureux nous avons eu ce soir » Ligne 1) comme une fin de vie marquée par l’adjectif «  douloureux ». Il nous fait aussi ressentir les saisons en commençant par l’hiver, une période froide, déprimante dans laquelle il se trouve ( «un vent de désespoir » ligne 2) , évoquant la mort avant la renaissance du printemps ( «  abattant du bois mort » Ligne 3 , «  le lacis des branches dépouillées ») Puis évoque

Marcel Proust (1927) Marcel Proust (1871-1922) est le premier auteur à avoir rompu avec la notion d’intrigue et à s’être concentré sur les pensées de personnages et la vérité de l’âme . Il a écrit l’oeuvre A la recherche de temps perdu vers la fin de sa vie et trois tomes ont été édités à titre posthume. Dans l’extrait étudié, Marcel Proust se concentre sur le rapport de ses personnages avec la mort, il décrit ce rapport pour le Duc de Guermantes et sa maîtresse. Alors que le narrateur est a

Juste La Fin Du Monde LOUIS. – Plus tard‚ l’année d’après – j’allais mourir à mon tour – j’ai près de trente-quatre ans maintenant et c’est à cet âge que je mourrai‚ l’année d’après‚ de nombreux mois déjà que j’attendais à ne rien faire‚ à tricher‚ à ne plus savoir‚ de nombreux mois que j’attendais d’en avoir fini‚ l’année d’après‚ comme on ose bouger parfois‚ à peine‚ devant un danger extrême‚ imperceptiblement‚ sans vouloir faire de bruit ou commettre un geste trop violent qui réveillerait

tenez, ainsi, vous voyez… » (Ligne 11 à 12). Lors de cette réplique, le professeur parle fort et illustre le mouvement que les sons doivent prendre lorsqu’une personne parle : « Les sons, Mademoiselle, doivent être saisis au vol par les ailes pour qu’ils ne tombent pas dans les oreilles des sourds. ». Dans un deuxième temps, le lecteur peut apercevoir le comique de mot. Le professeur utilise des jeux de mots et des clichés : « tomber dans les oreilles des sourds » (Ligne 10), mais aussi beaucoup