Financement Des Pme Au Sénégal

développement…...........155 SECTION 2 : LES ECHANGES INTRA-MAGHREBINS ELEMENT CLE POUR LA REALISATION DU BLOC MAGHREBIN…………………………………166 1. Les échanges intra-maghrébin / analyse et développement……………………………...166 2. les PME vecteur d’intégration Maghrébine…………………………………………........181 3. Les grappes des PME maghrébines : stratégie de réaliser le bloc régionale………….196 CONCLUSION DU CHAPITRE III……………………………………………………..200 CONCLUSION GENERALE…………………………………………………………….202 BIBLIOGRAPHIE…………………………………………………………………………207 ANNEXES…………………………………………………………………………………

migrants apparaît comme un facteur limitant la hausse des flux. Ainsi, la diaspora ivoirienne est relativement faible tant par le nombre que par ses activités de développement comparativement à d’autres pays de la sous-région comme le Mali ou le Sénégal. Malgré la crise, le niveau de vie de la population ivoirienne demeure encore largement supérieur à celui de ses voisins. L’avantage comparatif de la migration, surtout clandestine, devient alors plus faible. A titre d’exemple, lors de l’opération

des clients ayant un compte salarié que nous avons limité au nombre de cinquante(50) personnes. II.2- LA RECHERCHE DOCUMENTAIRE 1- Mémoires et rapport de stage Rapport de stage de Traoré D.Denis : la gestion des crédits de fonctionnement aux PME/PMI à UBA, mémoire de licence, UCAO/UUB ,41p ; Rapport de stage de NELAMBA Naomie : la pratique du Lean management cas de la UBA, mémoire de licence, UCAO/UUB ,35p ; 2- Sites internet WWW.memoireonline.com : consulté le 03 février 2014 WWW.wikipedia

PROJET 3. ETUDE TECHNIQUE • ANALYSE DU PROCESSUS DES PRESTATIONS • EVALUATION DES INVESTISSEMENTS • EVALUATION DU BFR (Besoin en Fonds de Roulement) 4. ETUDE FINANCIERE • • • • • • • Etude du Coût Total(CT) do Projet Etablissement des modalités de Financement du Projet Etablissement du Compte d'Exploitation Prévisionnel Détermination du Seuil de Rentabilité (SR) Mise en Place du Tableau des Ressources et Emplois de Fonds Détermination du Plan de Trésorerie Analyse de la Rentabilité 5. ANALYSE ECONOMIQUE

public ou ministère des crédits ouverts par la loi de finances 2010 et ceux prévus dans la loi de finances 2009.  Situation d’exécution gestion 2008 et gestion 2009.  Comparaison par secteur et par source de financement des autorisations de programme et des crédits de paiements des financements acquis et des prévisions de tirage de 2003 à 2010 IV – Observations générales sur l’évolution des dépenses V – Comptes spéciaux du Trésor VI – Déficit budgétaire global A- PROJET DE LOI Projet de loi Annexes

8/18: 9/18: 10/18: 11/18: 12/18: 13/18: 14/18: 15/18: 16/18: 17/18: 18/18: Rapport global (synthèse en anglais) Rapport global (synthèse en français) Bénin Botswana Burkina Faso Cameroun Côte d’Ivoire Ghana Kenya Malawi Mali Mauritanie Mozambique Sénégal Tunisie Ouganda République Unie de Tanzanie Zambie Le rapport final de JITAP n’a fait l’objet d’aucune modification par le CCI, la CNUCED et l’OMC. Son contenu reflète les opinions des auteurs qui ne sont pas nécessairement celles des Agences ou

02/12/2010 N° 2857 annexe 33 - Rapport de M. Jean-Pierre Gorges sur le projet de loi de finances pour 2011 (n°2... Page 2 sur 56 3.– La répartition des financements et la cohérence entre eux 15 D.– LA SITUATION DE L’EMPLOI EN 2011 ET LES MESURES RELATIVES AUX CARRIÈRES 16 II.– L’APPORT DU GRAND EMPRUNT AU FINANCEMENT DE LA RECHERCHE 18 A.– LES FINANCEMENTS OUVERTS POUR LA RECHERCHE 18 B.– LE RÔLE DE L’AGENCE NATIONALE DE LA RECHERCHE 19 III.– LE SOUTIEN À LA RECHERCHE PRIVÉE : LA PROGRESSION DU CRÉDIT

D’énormes changements s’imposent dans les politiques sociales de la plupart des pays d’Afrique. Toutefois, en raison des pressions intérieures et internationales, les pays mettent à l’essai des approches politiques visant à modifier la conception, le financement et la prestation de leurs politiques sociales ainsi que leurs pratiques fondamentales en ce qui concerne les programmes de soins de santé et d’éducation, de sécurité et d’aide sociale et de réduction de la pauvreté. Leurs efforts sont soutenus tant

juridique applicable aux établissements de crédit qui comprennent désormais les banques et les sociétés de financement. Les banques sont habilitées à effectuer les principales opérations suivantes : - La réception de fonds public, quelle que soit leur forme ; - La distribution de crédits ; - La mise à disposition de la clientèle de tous les moyens de paiement ou leur gestion. Les sociétes de financement, quant à elles, ne peuvent effectuer, parmi ces opérations citées ci-dessus, que celles précisées

durable, plutôt que de laisser s’accroître l’endettement. devra verser jusqu’à ce que tous les bénéficiaires du programme aient atteint l’âge de soixante ans (1,6 % du PIB en tout). A priori, et sur une base actuarielle, le programme comme son financement témoignent donc d’une bonne gestion des finances publiques qui, in fine, devrait donner aux pouvoirs publics des marges de manœuvre supplémentaires. Satisfait des résultats obtenus, le gouvernement a d’ailleurs décidé de proposer un dispositif équivalent