Financiarisation

ressources évoluent ( d’où maintien dans le temps. La GRH au carrefour plusieurs logiques : ➢ Entreprise : économique et financière L’entreprise crée des richesses général (résultat net/dividende) et des activités. A l’heure de la financiarisation de l’économie ( résultat par investissement ➢ Environnement De plus en plus complexe, les champs ont évolués (champ économique et social) . Plus grande difficulté du au fait de la mondialisation et de la concurrence (début année 90)

crise du mode de développement fordiste dans son ensemble. ? Crises et succession des modes de développement. ? Crise du fordisme et transition vers un nouveau mode de développement ? Accumulation : de la crise au renforcement et à la financiarisation 1-1) Essoufflement de l’accumulation intensive La crise du fordisme s’est amorcée avec l’essoufflement (plus ou moins brutal selon les pays) du mode d’accumulation intensif ; l’érosion des gains de productivité. ? L’impact « mécanique »

régies par règlement européen. Ce choix fait suite aussi à de nombreux scandales financiers (ENRON, WORLDCOM…..) et au fait que la comptabilité avait trop une vision statique, tournée vers le passé. Assurément nous assistons à une plus grande financiarisation du monde, les marchés financiers ont acquis une valeur prépondérante. Il en résulte que la comptabilité se doit de posséder certaines qualités que les marchés financiers requièrent à savoir : l’exactitude, la précision, la sincérité, la fiabilité

possible : I / La firme a été recomposée par les exigences nouvelles de la mondialisation à partir des années 1980. II / La firme internationale subit dès lors de nouvelles pressions dans la mesure où sont fonctionnement est ouvert et soumis à la financiarisation mondiale. III / Cependant la firme mondiale oriente nettement la mondialisation à son avantage et représente ainsi son moteur principal. PLAN DETAILLE I / La firme a été recomposée par les exigences nouvelles de la mondialisation à partir

économiste qui avait suggéré l’établissement d’une taxe d’un faible niveau sur les transactions financières afin de limiter la spéculation. Les sommes récoltées auraient alors pu permettre de venir en aide aux pays en développement. Attac dénonce la financiarisation des économies et réclame un contrôle des marchés financiers, l’annulation de la dette des pays en développement et la suppression des paradis fiscaux. D’une régulation de la mondialisation à une « démondialisation »  La gouvernance

qui se transforme vite en commerce puisque l’homme tente de tirer profit par l’échange de ces biens qu’il marchandise. L’environnement est donc intégré au commerce W°  La marchandisation de la nature, sa néolibéralisation et plus récemment sa financiarisation sont donc bien réel

pression croissante d'un marché instable, la montée des injustices sociales, il y a une vraie prise de conscience publique. Dans les journaux, dans les discours, partout s'affichent des formules anxiogènes sur le « réchauffement climatique », la « financiarisation de l'économie ». C’est donc dans ce contexte que les entreprises doivent s’adapter afin d’attiser les peurs et de s’inscrire ainsi dans une démarche de qualité qui concilie les trois piliers du développement durable Augmentation de la croissance

similitudes, chaque crise financière découlant à l’avance d’une expansion de crédit qui n’arrive pas à trouver de limite, celle-ci est endogène. Cependant de nos jours, la mondialisation est beaucoup plus développé qu’à l’époque, on assiste à une financiarisation mondiale du à l interdépendance des différents marchés financiers. Auparavant l’Europe était morcelé, on ne sort pas d’une guerre mondiale qui avait déséquilibré l’ensemble. L’économie est mondialisé, il y a des systèmes qui stabilise la population

publiques : - Une forte institutionnalisation du rapport salarial, - Une concurrence de moins en moins modérée : libre échange et ouverture des frontières - Un abandon du contrôle de la politique monétaire, libre circulation des capitaux et financiarisation de l’économie - L’Etat joue un rôle fort sur la demande globale par les dépenses publiques et garanti un haut niveau de prestations sociales par des services nationalisés (secteurs publiques) dans lesquels il se spécialise - Il joue également

le développement de la titrisation. Conclusion : Les institutions financières sont aujourd’hui des acteurs important des marchés financier, ce sont des acteurs majeurs qui permettent a la fois, le financement direct et indirect. La financiarisation de l’économie est une tendance lourde dont les conséquences sont importantes, (cf : subprimes).