Finitude

élargissement… L'opium agrandit ce qui n'a pas de bornes,  Allonge l'illimité, Approfondit le temps, creuse la volupté,  L’opium donne à l’homme l’illusion qu’il est libéré de tout le poids de sa condition humaine : de sa finitude puisqu’il « approfondit le temps » , de sa solitude puisqu’il « creuse la volupté »… Il permet des perceptions synesthésiques, qui créent un accroissement monstrueux du temps et de l’espace ,

Aloysius Bertrand dans le groupement de textes donné en poésie). Baudelaire affiche une curiosité pour la mort, voire une obsession : il lui arrive de l'implorer pour lui également afin de faire cesser ses tourments et son Spleen.Evoque la FATALITE, la FINITUDE humaine mais le déterminant « de », introducteur d'un complément du nom, précise la réalité humaine et sociale sur laquelle s'abat cette fatalité : « les pauvres » : connote une réalité particulière, celle de l'indigence matérielle, de la misère

d’Hugo, mélancolie jouissive chez Verlaine, sarcasme chez Laforgue. Présence rendue sensible à travers la coloration spécifique que prend chaque coucher de soleil : grandeur immortelle du paysage chez Hugo comme contrepoint de la petitesse et de la finitude humaine, imbrication entre paysage réelle et paysage mental chez Verlaine, regard caustique de Laforgue qui ruine le mythe de l’Orient. Ecriture 1. Invention : Le libellé imposait : Un système d’énonciation Un contenu Pour le système d’énonciation

en effet seul face à lui-même pour décider du sens qu’il donnera à sa vie. Mais selon Heidegger, l’angoisse est indépassable. Face à elle, l’homme est privé de tout recours. C’est pour cela qu’il doit penser son existence en prenant en compte sa finitude. Or, si l’homme sait qu’il va mourir, comment peut-il donner un sens à sa vie, une vie dont la finalité est d’être réduite au néant ? Il devrait tenter de dépasser son angoisse, qui selon Freud, « en face des dangers de la vie s’apaise à la pensée

Antoine explique à Louis qu’il ne veut plus se sentir « noyé » dans les malheurs de son frère, qu’il ne veut pas savoir pourquoi il est là « Pourquoi tu es là je ne veux pas le savoir. Je ne veux pas. J’ai peur ». Peur de la mort, de sa propre finitude ? La colère cacherait une souffrance profonde. Paradoxe dans la tirade d’Antoine sc 3 « malgré toute cette colère, (ressentiment), j’espère qu’il ne t’arrivera rien de mal » (ironie tragique), finit par reconnaître que le ressentiment est plus

l’ordre du monde. » B- Un pouvoir de réflexion La conscience est comme un miroir me renvoyant simultanément mon image et celle du monde. Elle ouvre sur une vie extérieur mais me révèle la fragilité de l’existence (conscience de notre propre finitude : la mort). En nous détachant du monde la conscience nous en dégage et me soumet partiellement à notre emprise, par conséquent il devient notre monde.

Dissertation : la poésie (introduction) Selon Du Bellay, la poésie a le pouvoir « d’enchanter son mal » c’est-à-dire de sublimer la souffrance en oeuvre artistique. Or l’un des sujets récurrents de la poésie est la condition de l’homme face à sa finitude, l’individu confronté à cette question existentielle est habité par un mal indicible, qui le dépasse. Aussi nous demanderons-nous par quels moyens la poésie peut-elle conjurer l’angoisse du temps qui passe ? Le lyrisme par définition vise à exprimer

possible et nécessaire c’est une perpétuelle et fondamentale situation de rareté : en face d’une nature qui par elle-même est inerte, et sauf pour une part minuscule, stérile, l’homme risque sa vie. » En un sens le travail « naturel » touche aussi à la finitude humaine puisqu’il implique manque ontologique et mortalité. Le travail est le déjà-là de la mort. D’ailleurs, si l’homme avait été un Dieu, il aurait été immortel et en conséquence il n’aurait pas eu à travailler. Or la «  loi » de l’humain est

selectionner une image pour le sujet : LE DESIR (cours de philosophie) Extensions autorisées ".jpg, .png, .gif" Taille 100 Pixel de large minimum et 1000 Pixel de large maximum Bas du formulaire Le désir est le propre de l'homme et la marque de sa finitude : l'animal n'a que des besoins, aisément satisfaits ; un être parfait n'aurait rien à désirer ; l'homme tend toujours vers quelque chose qu'il ressent comme un manque (cf. Pradines: «L'amour est cette force qui nous pousse hors de nous vers nous

peut-être pas si misérable. En effet, l’homme porte en lui le péché. C’est un être passager, en proie au doute et aux questionnements. Ce fragment nous donne une vision tragique de l’homme qui est confronté à une force transcendante qui le dépasse. La finitude et la fatalité de l’homme sont donc mises en avant par l’auteur. De plus ce qui est tragique dans la chute de l’homme c’est qu’elle est irréversible, le péché originel faisant de lui cet être déchu. A travers le fragment 109 nous voyons un tableau