Finitude

milliers d’années, les hommes essaient de s’expliquer la mort, de savoir ce qui se passera ensuite. C’est cette inquiétude face à la mort qui, selon Luc Ferry dans son livre «Apprendre à vivre», les différencie de l’animal. L’homme a conscience de sa finitude, l’animal non. C’est donc ainsi que les êtres humains peuvent tous arriver à des conclusions différentes. Par ailleurs, certains croient qu’en écrivant leurs mémoires, leurs âmes survivent à la mort. Pourquoi pas? L’homme reste d’une certaine façon

du vice... 3. Une allégorie du poète le 2e vers du 2e tercet introduit une nouvelle comparaison : le poète se compare aux aveugles : « je me traîne aussi » → recherche de la perfection, de l’illimité, qui se heurte à une incapacité, à la finitude, à la lâcheté, à l’horreur de soi-même, comme le suggère le comparatif « plus qu’eux », qui induit un jugement moral. → Allégorie du poète : soucieux de beauté, de perfection, d’infinitude, il se trouve confronté en permanence à sa propre « hébétude

syntaxique et sémantique comme la simple possibilité de construire un nombre infini de messages différents à partir d’un ensemble de signes, ou lexique, et à partir d’un ensemble de règles de combinaison des signes, ou grammaire, mais aussi comme une non-finitude de l’ensemble du lexique et de l’ensemble de la grammaire. En d’autres termes, une langue est un code sujet à des modifications et « nuancé » Comme tout code, une langue peut être étudiée sur le plan morphologique (formes), syntaxique (grammaire)

Positive (ou necessaire) négative (perte, dépossession de soi) b/ D'ou problème de changement physique, biologique, psychologique et de la permanence de l'être, de la conscience de soi => Le sujet existant dans le temps et dans l'histoire : finitude, mort. 4/ L'exigence de la quête de soi s'inscrit dans l'ordre social, dans le rapport avec autrui (cf. fiche « La conscience de soi ») D'ou mise a l'épreuve de la réalisation de la liberté : les deux formes de dépendance Forme positive

c’est apprendre à perdre. Mais il est très juste de dire que l’on ne peut pas apprendre à mourir, puisque nous n’avons aucun moyen de nous « exercer ». Apprendre à vivre et à aimer, c’est accepter ses limites, assumer son impuissance, accepter la finitude. Comme le disait Marc Aurèle, avoir le courage de se battre pour changer ce qui peut être changé, accepter ce que l’on ne peut pas changer, avoir la lucidité pour distinguer l’un et l’autre… La vie est cet apprentissage-là : l’acceptation de cette

Ne vous fatiguez pas, ne vous mettez pas en frais ; rien ne remplace le naturel et la spontanéité. P46 n Pourtant il y a dans le coeur de l’homme une ambition morale qui proteste follement, désespérement contre l’évidence de la faiblesse et de la finitude. Défiant toute vraisemblance, l’agent moral n’hésite pas à déclarer : vouloir c’est pouvoir. Est-ce un paradoxe, oul’attente d’un miracle qui possibilise l’impossible ? L’impératif du sacrifice infini et du désinterèssement absolu ne reconnait

troisième illusion dénoncée par Freud est celle des limites de l’homme. On croit que l’on va tout comprendre, tout connaître, on se croit capable des rapprochements les plus inouïs et l’esprit nous lâche en route. Cette frustration se résume en la finitude de notre esprit. A ces accusations Dieu répond : L’histoire va connaître de nombreuses pestes, qui sont provienne toutes de l’orgueil humain. D’après dieu il fût un temps ou l’orgueil humain se contentait de défier Dieu. Aujourd’hui il cherche

Nietzsche temps = flux d’instants liés (emboités)/ (orientés vers une fin) c’est “par” et “pour” la consceibnce que le devenir est abordé comme du temps vécu. Réfléchir sur notre existence impose de penser ses limtes. Experience du temps implique la finitude de notre existence. Saint-Augustin : “le temps n’est rien d’autre qu’une distention de l’âme” -> c’est elle qui fait trait d’union entre differents moments : c’est pour elle que le temps surgit. Instantanéité : temporalité car conscience n’est jms

que l’on fasse, on est tous promis à une fin prédéterminée ? Vouloir écrire l’avenir serait le maîtriser : cela pose alors la question de notre rapport avec la mort, avec le temps, au sens où on chercherait par là une forme de dépassement de notre finitude. La page blanche pose la question de la liberté, et corrélativement du fatalisme, du déterminisme, par opposition au hasard, à la contingence. Quel rapport à l’écriture cela suppose-t-il ? Si l’on considère les Saintes Écritures, ce qui est écrit

commun à tous, une leçon de sagesse. En s'inspirant du Naturae rerum de Lucrèce*, La Fontaine développe un discours sur la proximité de la mort qui peut surgir à tout instant de notre vie, que l'on soit jeune ou vieux, et qui nous révèle sans cesse la finitude et la fragilité de l'existence: «la mort ravit tout sans pudeur». L'art de vivre consiste à accepter notre destin mortel et à jouir de tous les bons moments de la vie comme d'un festin: «je voudrais qu'à cet âge, on sortît de la vie comme d'un banquet»