Finitude

symbolisent, pour lui, la décadence, l’éphémère, la pourriture. Ici, elles s’attaquent, comme dans un film de science-fiction, à la quatrième montre, en or, qui est la seule à être dure, pour définitivement anéantir le temps nous renvoyant ainsi à notre finitude, sujet d’obsession et de panique pour l’artiste. L’impact de l’œuvre est immédiat. A la dureté des rochers, Dali oppose la mollesse des montres nous plongeant dans une sorte de méditation étrange sur la fuite du temps. Cette opposition évoque la

conscience à laquelle rien ne manque, qui se suffit à elle même en se satisfaisant de ce qui est et de ce qu'elle est. (Transition) Cette perceptive nous amène à définir la conscience heureuse où le sujet n'éprouve aucun manque, s'accepte dans sa finitude et dans sa condition en choisissant de vivre au présent pour renoncer aux regrets du passé et aux espoirs de l'avenir qui lui apparaissent comme autant d’illusions ; c'est ce que nous définissons communément par le bonheur. Une telle attitude caractérise

d'ailleurs pour cette raison que la culture revêt une beauté singulière, car elle ne peut jamais être acquise dans tous les domaines, c’est pour cela qu'elle est fabuleuse. La culture n'est pas téléologique, c'est à dire que se cultiver n'admet pas de finitude possible; le but de la culture, c’est l'apprentissage permanent. Point de vue sur la citation : J’ai choisi cette citation car elle est en parfait accord avec ma manière de penser. Pour moi, il est important de lire, d’écouter de la musique

désir se nourrit moins de la satisfaction apaisante que du recommencement : c’est avant tout un désir de désirer quelque chose, car c’est cela qui nous donne des projets. - Enfin , le désir est souffrance parce qu’il montre à l’homme sa propre FINITUDE et son imperfection : PLaton, dans le Banquet, décrit les hommes comme des Dieux déchus, coupés en 2 et à la recherche de leur moitié (mythe de l’androgyne) 2) Mais le désir est aussi la source de notre plus grand contentement : il faut donc

liberté totale et entière de l'homme est une illusion Il y a donc des actes, des décisions qui peuvent nous échappés. a) Quelles sont les contraintes biologiques et naturelles qui s'imposent à l'homme ? la condition mortelle de l'homme = sa finitude A partir du moment on l'on pose l'homme en tant qu'être fini, sa liberté semble aussitôt relative. Limitation de mouvements le fait que l'homme est un être de besoins : manger, boire, se reproduire … Conséquence : Je ne suis pas totalement libre

la philo car vise un savoir englobant, total systématiquement. Cpdt plus la science moderne se spécialise, plus elle se divise en branches. La vision d’ensemble est difficile. => Présence d’une tension. Condition humaine est marquée par la finitude, tout savoir est impossible. Besoin de cette lucidité. Sciences occultes : peu de rapport au réel. On ne peut pas dire que cela nous conduit à la lucidité. Ce n’est pas un savoir, mais plus un savoir faire. (ne nécessite mm pas un paragraphe 

perdre, à me détruire en tant qu'être humain, parce que je n'existe comme tel que par mon effort, D'où un sentiment d'angoisse. e. L'aliénation. L'homme qui se perd est aliéné de lui-même; il n'a plus la maîtrise, ni la possession de soi. f. La finitude et l'urgence de la mort. Les philosophes existentialistes réagissent vivement contre notre tendance à nous dissimuler cette vérité primordiale que notre vie va la mort. g. La solitude et le secret. Tout être humain a tendance à se sentir solitaire

exploits qu’il réalisent, associés à des noms de lieu qui leur valent un surnom. Texte le rappelle. Lieu paradisiaque décrit par C ressemble à une métaphore de l’immortalité de la gloire. On peut =ment dire que le gloire éternelle permet d’échapper à la finitude de l’ho. Ainsi, l’ho qui se détache de la contingence humaine peut espérer accéder à un niveau suprême ds la mort. C nous amène donc à reconsidérer nos vies et nos ambitions. Lieu des ho bien- « beati » l.29- au ciel traduit leur supériorité absolue

produire tout ce que chacun de ses membres désire. Nous pourrions tous avoir dix ordinateurs, cinq maisons, douze voitures, trois bateaux, etc. Cependant, il n’existe qu’un certain nombre d’arbres, de ressources minières, de personnes. Cette finitude pose un problème économique à notre société et il nous faut donc rechercher les meilleurs moyens de mettre ces ressources à profit. Comme nous ne pouvons pas tout avoir, il nous faut faire des choix et des compromis. Comment mesurer alors si

l’ensemble des économies du monde à prendre en compte leurs émissions de gaz à effet de serre et à rechercher au maximum « une croissance propre ». Le développement de l’écologie politique dans les années 50-60, ainsi que la prise de conscience de la finitude des ressources naturelles, ont défini le mot « productivisme » d’un sens péjoratif car ils entrent en contradiction avec la logique productiviste de développement de la société . En effet, tant que le productivisme liera la quantité de production