Flagellation du Christ

toujours vivant, devint l'expression d'un coeur presque effrayé de son bonheur, en présence des splendeurs d'un périssable amour qui durait encore et venait l'agiter au delà de la tombe religieuse où s'ensevelissent les femmes pour renaître épouses du Christ. L'orgue est certes le plus grand, le plus audacieux, le plus magnifique de tous les instruments créés par le génie humain. Il est un orchestre entier, auquel une main habile peut tout demander, il peut tout exprimer. N'est−ce pas, en quelque sorte

toujours vivant, devint l'expression d'un cœur presque effrayé de son bonheur, en présence des splendeurs d'un périssable amour qui durait encore et venait l'agiter audelà de la tombe religieuse où s'ensevelissaient les femmes pour renaître épouses du Christ. L'orgue est certes le plus grand, le plus audacieux, le plus magnifique de tous les instruments créés par le génie humain. Il est un orchestre entier, auquel une main habile peut tout demander, il peut tout exprimer. N'est-ce pas, en quelque sorte

« Bouquins », 1990. Comparatismes -n° 1Février 2010 43 Les traductions dramatiques du Cantique des Cantiques : représentation moderne d’un poème biblique ? selon laquelle le Cantique est l’expression du dialogue amoureux de l’âme et du Christ. L’interprétation théâtrale, qui pourtant s’oppose plus ou moins nettement à la tradition exégétique du Cantique, se fonde sur les mêmes analyses, dans le sens où la justification du diagnostic générique repose essentiellement sur l’attribution des

états indépendant accrochés a leur liberté. Au XVIeme siècle, reforme protestante. Phénomène compliqué partant d’un moine catholique Martin Luther, moine très exigeant envers lui mm qui relis la bible et les évangiles en tentant de comparer ce que le christ a dis du pouvoir et ce que le pape applique. Le pape de son temps est jules II (qui commande les fresques de la chapelle à michael ange) et pour financer ces travaux il va faire commerces des reliques. Luther dénonce cela et sera excommunier en 1731

traditions et ceci même si auparavant le sujet ignorait tout des thèmes mythologiques correspondants. Je me réfère ici non seulement au symbolisme bien connu du processus de mort/ re-naissance propre à la tradition judéo-chrétienne — humiliation du Christ, mort sur la croix et résurrection — mais encore à des détails de la légende d’Isis et d’Osiris, aux mythes de Dionysos, d’Adonis, d’Attis, d’Orphée, de Mithra ou du dieu nordique Balder ainsi qu’à leurs contreparties mésoaméricaines méconnues. La

aucun sens tant que la personnalité reste construite avec des éléments qui sont en complète désharmonie avec la doctrine chré­ tienne . : c'est assurément commencer par le mauvais boutlf » ; et si les nègres sont imperméables à l'enseigne­ ment du Christ, ce n'est point parce qu'ils sont incapables de l'assimiler. Comprendre quelque chose de nouveau nous i8. Ou l'ethnologie retrouve l'unité de l'homme (Esprit, avril 1950). 19. Cité par Georges Balandier, ibià,, p. 610. Du prétendu complexe de

des Lumières, le régime est passé de la royauté à la monarchie. Une expression particulièment nette de la conception de la fonction monarchique fut donnée par Louis XV, devant le parlement de Paris, le 3 mars 1776, au cours de la « séance de la flagellation » : « C’est en ma personne seule que réside la puissance souveraine, dont le caractère propre est l’esprit de conseil, de justice et de raison. C’est de moi seul que mes cours tiennent leur existence et leur autorité

la patrie commune des gallo-romains. Le droit est Romain, la langue est le latin… cette influence Romaine est ressentie sur le plan politique et sur le plan administratif. - Politique : la république Romaine s’est effondrée en 27 avant Jésus Christ et a laissé la place à un Empire de pouvoir concentré dans les mains d’un homme. On assiste aussi à une divinisation de l’Empereur. On réclame un culte à l’Empereur. Il y a trois limites au pouvoir de l’Empereur. Il y a deux Empereurs car l’Empire

nation, garant des libertés à l'image du Parlement britannique. C'était abuser des mots et s'exagérer les similitudes. Quant à la position du roi, elle est clairement exprimée dans des paroles si dures que cette séance garda le nom de "séance des flagellations". "C'est en ma personne seule que réside l'autorité souveraine, ; c'est de moi seul que mes cours tiennent leur justice et leur autorité... C'est à moi seul qu'appartient le pouvoir législatif sans dépendance et sans partage. L'ordre public tout

christianisme L’organisation de la société de l’époque repose sur le principe de la chrétienté : c’est la foi dans un même Dieu qui crée la société, les autres, c’est-à-dire les non croyants, étant exclus. La société est comparée à un corps humain, celui du Christ. Le corps social est donc composé de plusieurs membres, comme tout corps humain. Cette métaphore a notamment pour objectif de faire accepter la diversité des situations sociales, économiques et culturelles (aspect de propagande). La tripartition