Flamme

des amants, le duo d'amour. - dans la mort, le poète conserve des sens et ses sensations alors que le corps est absent - idée de retour à la vie : "fidèle et joyeux" (dernier tercet), "plus tard" ' perception de futur et de certitude "ranimer les flammes mortes" - quelques indices montrent la différence de l'univers de la mort "étranges", et sa supériorité "des cieux plus beaux" Le passage à la mort est paradoxalement un retour à la vie, qui en plus est meilleur et plus beau que la vie… Mais

dors toujours dans la chambre de mes parents.Elle aussi,elle n’émet aucun bruit...Tout est calme,nuit et jour se confondent et font apparaître apocalypse de ma famille a petit feu.Je me suis allongée entre mes parents puis j'ai fermé les yeux.Les flammes m'ont envahi a mon tour,brûlant mes jambes,mon ventre,mes bras,mes pieds et même mon esprit.Je sentirai a jamais l'odeur du brûle même dans les x.Peureuse,j'ai posé délicatement ma main sur leurs cœurs,rien pas un battement,ni rien.Les larmes ne coulèrent

si mal » aux vers 17, 19 et 20. - répétitions en fin de vers : « que je meure » aux vers 17 et 18 - répétitions en début de chaque hémistiche : au vers 23 « Va-t-en Lore en folie va Lore aux yeux tremblants » - répétition du même mot : « flammes » aux vers 9, 10 et 11 ; « Jetez jetez » au vers 10 ; « Loreley Loreley » au vers 32 L’oralité du conte se retrouve dans le traitement particulier des rimes et des vers : en effet les rimes sont souvent des rimes pour l’oreille et non

(en criant Amsa Kroutcha), le soufre, le sang de poule noire, le champignon, les 50 crottes de pigeon, et le salpêtre. Au début, les 2 garçons croient que ça ne marche pas, mais tout à coup il y a une flamme verte. Alors Théophile jette la bague avec le pépin d'orange dans la flamme et la flamme s'éteint. Dans le pot, Théophile récupère la bague : le pépin d'orange s'est transformé en diamant orange. Théophile met la bague à son majeur de la main droite, il tourne le diamant vers la paume de sa

la vanité Les objets du tableau de la vanité : "fleurs", "flammes" Signe de la vieillesse, du temps qui passe "lion qui ne rugit plus" Métaphore de l’eau, du ciel Symbole de l'éphémère, du vide Mortalité du règne animal La vanité est portée à son comble (mise en abîme) : Le tableau sensé montrer la vanité est lui-même une vanité 3) Une attention portée à l'esthétique Démonstratifs Phénomènes sonores [f] "flamme" Harmonie au niveau des rimes en [e] Grande variété de

du pouvoir de manipulation de l'État. Dans la presse nous pouvons écouter ou lire des phrases comme: Un incendie spectaculaire «dévore» le bâtiment Windsor, le bâtiment rappelle un «géant moribond», gratte-ciel «harcelés» par les flammes, «colosse» dans les flammes. Tout ce lexique spécial et les personnifications, rappellent les narrations épiques et le cinéma. Ils apportent du dramatique et contribuent à attirer l'intérêt du public, parce que nous aimons beaucoup mieux les films que la réalité

Description: Ce tableau représente un champ de bataille. En bas à droite, nous pouvons apercevoir un bosquet ravagée de flammes et des terrains ravagés. Au premier plan, une terre boueuse surplombée d'une fumée noire. Des faisceaux de couleurs noirs, bleus et rouges partent dans tous les sens. Du côté gauche, de la pluie , une forêt intacte, des éclats de terre, des flammes et beaucoup de fumée. Les couleurs sont claires mais aussi sombres, il y a oppositions, c'est le symbole de la guerre.

Joachim Du Bellay, « Ces cheveux d'or... », L'Olive (1549) Ces cheveux d'or sont les liens, Madame, Dont fut premier ma liberte surprise, Amour, la flamme autour du coeur eprise, Ces yeux, le traict qui me transperse l'ame. Fors sont les noeuds, apre et vive est la flamme, Le coup, de main a tirer bien apprise, Et toutesfois j'ayme, j'adore et prise, Ce qui m'estraint, qui me brusle et entame. Pour briser donq', pour eteindre et guerir, Ce dur lien, ceste ardeur, ceste playe, Je ne quier fer, liqueur

cheval symbolisant le peuple sacrifié et une lampe symbolisant l’espoir. Deuxième partie à droite, on peut y voir deux femmes regardant dans la même trajectoire, celle vers la lampe. Première partie à droite, le personnage bras en croix dans les flammes cela fait référence au « Tres de Myo » de Goya. Composition type pyramide : Cette composition est délimitée, à droite, par la femme qui s’enfuit, et à gauche par le soldat mort. On peut imaginer la ligne correspondant à sa main. Ces deux personnages

Et la moulaient en ronds comme la chair des seins.  Le bois brûlé se fendillait en braises rouges  Et deux par deux, du bout d’une planche, les gouges  Dans le ventre des fours engouffraient les pains mous.  Et les flammes, par les gueules s’ouvrant passage,  Comme une meute énorme et chaude de chiens roux,  Sautaient en rugissant leur mordre le visage. Albert Samain Le repas préparé Ma fille, laisse là ton aiguille et ta laine ;  Le maître va