Flasque

tolérant parce qu'il s'en fout. Si Yvan tolère que Serge ait pu acheter une merde blanche vingt briques, c'est qu'il se fout de Serge. C est clair." Marc n'a pas la langue dans sa poche : "Yvan, tu n'as pas de consistance. Tu es un être hybride et flasque." "Cette mièvre et subalterne voix de la raison, que tu essaies de faire entendre depuis ton arrivée, est intenable." Et Serge en rajoute : "Ta présence veule, ta présence de spectateur veule et neutre,nous entraîne Marc et moi dans les pires excès

qui se moque de la condition humaine. Par ailleurs, l’utilisation d’une comparaison sur deux répliques du dialogue montre l’envie de Cutie de justifier qu’il est plus développé que l’être humain. En effet, Cutie utilise les adjectifs « mous » et « flasques » (l.16) pour qualifier les matériaux qui composent l’humain, plus principalement sa peau. Dans le cas contraire, le robot se qualifie lui-même comme « un produit parfaitement fini » (l.21) et donc « résistant » (l.22). Cette justification est appuyée

Poids : 69 kilos IMC : 29,48 = surpoids Droitière ou gauchère : droitière Suppléance : lunette Posture : couché ou assis Handicap significatif : hémiplégie flasque gauche Communication : Aphasie de Broca Attitude : Asthénique et participante dans la limite de ces capacités Autonomie / dépendance : Patiente dépendante HOSPITALISATION : Date d’entrée : le 12/11/2022

naturaliste décrit sa misère en utilisant une progression de verbes, qui rend la scène réelle : «  elle dégringolait plus bas » (l.8)  «acceptait les dernières avanies», « mourait un peu de faim » (l.9) Gervaise, ne travaillant plus, était devenue flasque, relâchée. C’est pourquoi, les Lorilleux disaient qu’ « elle creva d’avachissement » (l.24). De plus, le champ lexical de la misère y est présent : Gervaise connait la faim : « mourait un peu de faim tous les jours» (l.9), « le ventre vide » (17) ;

pêché ou de remords, dans les êtres préadoniques que sont les hommes, remarquables par leur pureté et leur innocence. En cela d'ailleurs, ils sont opposés à la laideur des hommes modernes (cf. v.22 : "Ô pauvres corps tordus, maigres, ventrus ou flasque") et à la corruption des femmes (cf. v.25-26 :"Et vous, femmes, hélas, pâles comme des cierges,/ Que ronge et que nourrit la débauche"). Nous sommes ici en présence de la tradition des paradis exotiques où l'homme et la

soupape; 15. Collecteur d’admission; 16. Poussoir de culbuteur; 17. Arbre & cames; 18. Vilebrequin; 19. Palier de vilebrequin; 20. Carter d'huile ; 21. Huile moteur. arbre acames ments jupe piston ea pied bielle tourillon ————_ flasque—— d'admiasion vilebrequin aspiration compression achappement détente

Exposé moteur 2T Shana et Lucabougie d'allumage chambre de combustion dissement canal de transfert d'admission canal chemise d’échapp- du cylindre ement chambre piston du carter carter flasque du vilebrequin ee S/ ar | EHRMITTEL Carburateur simple (Coupe) WWW.maxipiéces.ir® GOOD PARTS ONLY. Exposé moteur 2 tempshttp://www.educauto.org/sites/www.educauto.org/files/file_fields/2013/11/19/344-1_0.pngSommaire:-Introduction-Histoire-Utilisation-Comparaison Moteur

véritablement face à lui-même alors qu’il avait toujours essayé de se fuir . Lorsque Bérenger se plaint, il dialogue avec lui-même en faisant alterner questions et réponses, preuve de son angoisse « deviendront-elles rugueuses ? » «  j’ai la peau flasque ». Les termes pathétiques abondent « oh ! « hélas » (2fois), jamais (3 fois) ainsi que la ponctuation forte (exclamatives). L’oralité du langage , peu de transitions, montrent que Bérenger délibère sous le coup d’une émotion forte comme le soulignent

distordue de la réalité de la troupe qui passe : La vision de la petite fille La réalité Yeux émus et admiratifs Défiguré, haché, déchiré Des soldats beaux et grands Sales, affamés et plein de poux Forts et doux Troupeau incohérent et flasque Une bête formidable Troupeau de formidables douleurs, (…) notre pourriture Au son des cuivres aigus Broyer cette enfant sans la voir, sans entendre ses cris Son admiration est une vague d'effroi et de piété Nos fusils tuent, (…) la mort ds

positivement. Le contraste de la beauté et de la laideur (« je ne suis pas beau », « ce sont eux qui sont beaux » est développé à travers les oppositions de formes (« corne », « Front plat » et « traits tombants »), de texture (« moites », « rugueuses »/ « flasque », « dure » / « sans poils », « poilu ») ou de couleur (« trop blanc », « magnifique couleur vert sombre »). Enfin, les barrissements apparaissent comme des « chants » opposés à la faiblesse de sa propre voix, humaine. On aboutit dès lors à un éloge