Flaubert Monologue Intérieur

Le programme de la représentation est très varié, avec beaucoup de parties et des spectacles différents. 14 Introduction à la Littérature Française Beatriz Baquedano Montañés Le spectacle commence par la sottie, il se continue par le monologue ou sermon joyeux, suivi d’une moralité qui était remplacée parfois par un mystère court. Finalement, la farce va finir le spectacle. La Sottie Coïncide avec le lever du rideau, le début du spectacle. La sottie doit mettre le spectateur dans

cristallisation non perceptible par les personnages, MmeDR domine JS, évolution des personnages : JS antihéros puis héros potentiel, MmeDR redevient jeune fille (fait sauter les barrières qui les séparent) · Ouverture : L’éducation sentimentale de Gustave Flaubert, la rencontre entre Frédéric Moreau et Mme Arnoux, coup de foudre par le regard et liaison interdite car femme déjà mariée et mèreVII – La victoire de Julien de Stendhal (extrait Le Rouge et le Noir)Intro : · Stendhal (1783-1842) : réaliste, ironique

1996. [Voir la Troisième partie] REY, Pierre-Louis, Analyse de l’œuvre de Stendhal, Paris, Pocket, coll. « Les Guides Pocket Classiques », 2005. RICHARD, Jean-Pierre, « Connaissance et tendresse chez Stendhal », Littérature et sensation. Stendhal, Flaubert, Paris, Seuil, 1954 ; rééd. Seuil, coll. « Points ; Littérature », 1990. RINGGER, Kurt, L’Âme et la page. Trois essais sur Stendhal, Lausanne, Éditions du Grand Chêne, 1982. ROY, Claude, Stendhal par lui-même, Paris, Seuil, coll. « Ecrivains de toujours

projet logique raison et à persuader en faisant appel aux sentiments et à l’affectivité. Argumenter, c’est aussi tenir compte de thèses différentes des nôtres, avec lesquelles nous allons entrer en discussion dans une délibération, solitaire (monologue délibératif) ou collective (dialogue).  Convaincre Pour convaincre, celui qui argumente fait appel à la raison, aux facultés d’analyse et de raisonnement, à l’esprit critique du destinataire pour obtenir son accord. Il s’aide d’arguments

Chant du styrène » Les élèves pourront analyser de la même manière la séquence sur le plastique, Le Chant du styrène, en soulignant, de surcroît, les références culturelles, très nombreuses, chez Raymond Queneau. On rapprochera cette séquence du monologue de Gabriel dans Zazie (p. 90) où l’accumulation de clins d’œil (Hamlet – Lamartine) crée un effet comique irrésistible. On peut également photocopier Le Lac de Lamartine et comparer. Le pastiche est évident. Puis les élèves s’efforceront de montrer

aura une influence considérable sur l’histoire du roman notamment dans la première moitié du XXe siècle. Outre Balzac, l'école réaliste française compte également Flaubert et Maupassant. Notons toutefois que ces auteurs ne se sont pas cantonnés au style réaliste (littérature fantastique pour Balzac et Maupassant, symbolisme pour Flaubert). À la fin du XIXe, le réalisme évolue d’une part vers le naturalisme objectif d’un Zola et d’autre part vers le roman psychologique. • Le roman russe a donné

joie dans son œil malin, une joie qui venait de son double plaisir, plaisir de se régaler d’abord et d’amasser des gros sous, ensuite, pour sa régalade. Les farceurs du pays lui demandaient : « Pourquoi que tu ne bé point la mé, pé Toine ? » 14. Flaubert a été considéré comme un des chefs de file de l’école réaliste. Le réalisme est un « courant littéraire et artistique de la seconde moitié du XIXe siècle qui privilégie la représentation exacte, non idéalisée, de la réalité humaine et sociale. »

joie dans son œil malin, une joie qui venait de son double plaisir, plaisir de se régaler d’abord et d’amasser des gros sous, ensuite, pour sa régalade. Les farceurs du pays lui demandaient : « Pourquoi que tu ne bé point la mé, pé Toine ? » 14. Flaubert a été considéré comme un des chefs de file de l’école réaliste. Le réalisme est un « courant littéraire et artistique de la seconde moitié du XIXe siècle qui privilégie la représentation exacte, non idéalisée, de la réalité humaine et sociale. »

et les carnets de notes d’Édouard et du pasteur Vedel ; les lettres, treize dont trois sont seulement mentionnées sans compter deux billets51 ; les diffé- 101 Les Faux-Monnayeurs : à la recherche de formes nouvelles rents récits52 et monologues intérieurs ; les dialogues ou les échanges de point de vue. Cette diversité des procédés de présentation et cette poétique de la simultanéité permettent à Gide d’aérer son roman et d’éviter la maladresse de plusieurs récits linéaires d’un même événement

plusieurs personnages. Les « types de parole » sur scène : quelques définitions La réplique est le texte prononcé par un personnage à destination d’un (ou plusieurs) autre(s) personnage(s). La tirade est une longue réplique sans interruption. Le monologue est une tirade prononcée par un personnage seul en scène (ou qui croit l’être). Le dialogue est un échange verbal entre deux ou plusieurs personnages. L’aparté (mot masculin) est une réplique prononcée par un personnage à l’insu d’un autre, pour