Fleurs Bleues Personnages

Hier au soir Hier, le vent du soir, dont le souffle caresse, Nous apportait l'odeur des fleurs qui s'ouvrent tard; La nuit tombait; l'oiseau dormait dans l'ombre épaisse. Le printemps embaumait, moins que votre jeunesse; Les astres rayonnaient, moins que votre regard. Moi, je parlais tout bas. C'est l'heure solennelle Où l'âme aime à chanter son hymne le plus doux. Voyant la nuit si pure, et vous voyant si belle, J'ai dit aux astres d'or: Versez le ciel sur elle! Et j'ai dit à vos yeux:

« volupté », « enchanteur » d’une part ; « mélancolique », « soupir », regret », « songeur » d’autre part : l’ambivalence de l’œuvre de Watteau est joliment soulignée ; Verlaine l’a vu ainsi, et l’exprime très nettement dans « Clair de Lune », dont les personnages semblent osciller entre joie et mélancolie ; le poète joue également sur d’autres ambivalences qui font la richesse de son « paysage choisi » inspiré de Watteau. Présentation du tableau : Ce tableau fut celui que Watteau présenta pour postuler

pas lire et donner un support à leurs prières) et arrivée des sujets profanes. Différents types de « genres » picturaux : * le portrait * la scène de genre (vie quotidienne) dimension morale et religieuse. * Nature morte (bouquet de fleurs, fruits, animaux morts… etc). Vanité (morale) * Paysage (Joachim Patinir) ------------------------------------------------- Retable, bi, tri ou polyptique.s CM 8 Février 2012 Les primitifs dans les Flandres. Idée de renouveau en Italie :

par trois fois, Marchant tout beau dessous l'ombre De ce buisson que tu vois Et n'ai su passer ce nombre, Parce que la mère était Auprès de là, ce me semble, Laquelle, nous aguettait De peur encores j'en tremble. Or' je te donne des fleurs Mais si tu fais ma rebelle Autant piteuse à mes pleurs, Comme à mes yeux elle est belle, Un myrthe je dédierai Dessus les rives de Loire, Et sur l'écorce écrirai Ces quatre vers à ta gloire « Thénot sur ce bord ici, A Vénus sacre et

l’ombrageait. Basse et couverte de tuiles brunes, elle avait en dehors, sous la lucarne de son grenier, un chapelet d’oignons suspendu. Des bourrées, debout contre la clôture d’épines, entouraient un carré de laitues, quelques pieds de lavande et des pots à fleurs montés sur des rames. De l’eau sale coulait en s’éparpillant sur l’herbe, et il y avait tout autour plusieurs guenilles indistinctes, des bas de tricot, une camisole d’indienne rouge, et un grand drap de toile épaisse étalé en long sur la haie. Au

INTERTEXTUALITE 1. Textes sources (p. 30) 2. Musique et langage (p. 32) 3. Portraits et autoportraits (p. 33) Annexes (p. 35) « LE PEINTRE À LA CAMERA » 1. Ekphrasis1: de l'image au texte et de l'image à l'image « Il posa sur le tapis bleu clair qui recouvrait la table où il dépliait son pupitre la carafe de vin garnie de paille, le verre à vin à pied qu'il remplit, un plat d'étain contenant quelques gaufrettes enroulées... » (p. 36) « C'était sa femme et ses larmes coulaient. Quand

Description : Les coquelicots de Claude Monet est un tableau de 50 sur 65 centimètres peint en 1873 près d'Argenteuil. Il est actuellement exposé au musée d'Orsay à Paris. Ce tableau est le premier d'une série dont le thème central est les fleurs telles que les Fleurs de Topinambours ou Les nymphéas. De même que pour ses autres tableaux, Monet utilise un style qui lui est particulier donnant une certaine impression de flou. Les coquelicots ont été réalisés durant une période difficile pour le peintre

de la guerre et ses effets - les mots utilisés dans le titre donnent le sujet --> 2 thèmes : dormeur, val ... qu'il inverse au long du poème La Nature - suit le mouvement d'un regard qui part du panorama d'"un petit val" (4), se rapproche du personnage "étendu dans l'herbe" (7) et détaille son sourire, sa "narine" (12), sa "main sur sa poitrine" (13). Il y a un resserrement progressif du champ visuel. - Les notations sont enfantines : c'est un "petit" val. C'est donc un regard naïf, enfantin

Question de Corpus : Montrez la variété des formées poétiques utilisées pour transfigurer le banal. Le corpus est composé de trois textes d’auteurs français. Le premier est un le poème La Pipe écrit en 1857 qui est un extrait du recueil Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire, recueil qui est l’une des œuvres majeures de la poésie moderne. Le deuxième extrait est une fable, Le homard et la boîte de corned-beef écrite en 1898 qui est issue de Gestes et Opinions du docteur Faustroll, pataphysicien

chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les