Flocon de neige

a. Définitions Une avalanche est une importante quantité de neige dévalant les flancs d’une montagne en entraînant souvent de la boue, des pierres, etc… Un cône d’avalanche est une zone de débris au débouché d’un couloir d’avalanche. Avalancheux qualifie un risque d’avalanche. b. Les trois types d’avalanches L’avalanche de poudreuse (neige récente) * Elle s’observe après de fortes chutes de neige. * De la neige et beaucoup d’air la compose. * On appelle le nuage formé

un prétexte pour dire A quel point on s'aime, Où on brise les records de vente de chocolat et de fleurs Moi je suis là Seul, admirant la beauté hivernal Derrière l'un de ces "majestueux" couloir vitrer Et je songe Avoir la vie d'un flocon de neige Simple et expéditif Sans avoir à se demander où aller Car ton seul but est de t'assembler pour couvrir le sol des mortels Cette journée me désespère Me fais mal Car le souvenir d'un échec est encore frais Cette humiliation cuisante

Iles Lofoten mardi 19 juillet 2005 Oulu, Finland, 64°56'N, 25°22'E, 80km du cercle polaire, à vol de bon moustique lapon. 3h du matin, début octobre. Pas encore de neige, elle arrivera tard cette année. 0°C, température normale en bordure du Golfe de Botnie. La Koskenkorva de la veille a contribué à un réveil difficile, on m'attend sur le pied de la porte. Encore en retard, décidément, l'approche de la nuit polaire ou la véléité des Kippis de ces soirées nordiques décalent les cycles de

caresse d'une main. Douloureuse obsession d'un visage. Papillon tournoyant virvoletant dans l'air glacé. Il pleut, pleure sur les ailes du fantasme perdu dans les profondeurs du néant cervical. Les gouttes frissonnent sur le sol gelé et deviennent neige. Patinoire polie d'eau vaguelée, contorsions solidement artistiques. Papillon à hauteur des pieds, l'ascenseur joyeux est descendu au sous-sol, entraînant la probable euphorie dans sa chute. Tuant la mémoire telle une larme jetée sur une ampoule. Fumée

Quand donc reviendrez-vous Marie Les masques sont silencieux Et la musique est si lointaine Qu'elle semble venir des cieux Oui je veux vous aimer mais vous aimer à peine Et mon mal est délicieux Les brebis s'en vont dans la neige Flocons de laine et ceux d'argent Des soldats passent et que n'ai-je Un cœur à moi ce cœur changeant Changeant et puis encor que sais-je Sais-je où s'en iront tes cheveux Crépus comme mer qui moutonne Sais-je où s'en iront tes cheveux

me donnait des frissons. Ses yeux bleus azur transperçaient mon âme et sa peau était d'une paleur étonnante. Jamais, même en rêves, rien d'aussi parfait ne s'était présenté à mes yeux. Elle me tendit sa main, qui était douce et froide comme un flocon de neige, ce qui me glaça. Elle m'embrassa et me donna un baiser. Ai-je perdu la raison? Tout ça est arrivé si vite! Etait-ce un rêve? Je ne pourrai vous dire d'avantage... La femme recula et se volatilisa. Tous les objets se mit

grâce au pendentif, la couleur de la publicité qui est primordiale et le geste gracieux de la main. Comme on peut le constater le parfum est explosif, multiples paillettes d’or pour implicitement faire rêver car elles semblent tomber comme des flocons de neige. Quant aux flacons ils sont mis en évidence avec leur rayonnement. La publicité nous ancre donc déjà avec ce parfum rempli de paillettes car elles sont non seulement à l’intérieur des flacons mais aussi autour d’eux, il y a comme un effet voulut

l’interminable Ennui de la plaine, La neige incertaine Luit comme du sable. Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune, On croirait voir vivre Et mourir la lune. Comme des nuées Flottent gris les chênes Des forêts prochaines Parmi les buées. Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune. On croirait voir vivre Et mourir la lune. Corneille poussive Et vous, les loups maigres, Par ces bises aigres Quoi donc vous arrive ? Dans l’interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable

Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés On voyait des clairons à leur poste gelés, Restés debout, en selle et muets, blancs de givre, Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre. Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs, Pleuvaient ; les grenadiers, surpris d'être tremblants, Marchaient pensifs, la glace à leur moustache grise. Il neigeait, il neigeait toujours ! La froide bise Sifflait ; sur le verglas, dans des lieux inconnus, On n'avait pas de

regrette son éviction du château. Nous avons le champ lexical de l'épuisement ("transi", "se traîna", "mourant de faim et de lassitude") et une idée de dépouillement total : "se coucha sans souper au milieu des champs entre deux sillons ; la neige tombait à gros flocons". Candide est dans une situation de grande fragilité, dans laquelle il est vulnérable. Voltaire paraît noircir le tableau, Candide passe d'un univers à son contraire. Cette découverte de ce monde équivaut à une véritable désillusion pour