Folie

sagesse et la folie, et on peut également l’appliquer à la relation entre Lear et son fou : le roi a besoin de son fou pour ne pas sombrer dans la folie. L’œuvre de Shakespeare, Le Roi Lear est une pièce de théâtre qui montre l’aveuglement d’un père face à la trahison de ses filles et sa lente chute dans la folie. Il est épaulé par le personnage du Fou, qui, contrairement à toute attente n’est pas là pour divertir en sens plein du terme, mais plutôt pour empêcher Lear de sombrer dans une folie dévastatrice

sa renommée ; elle est fortement ancrée dans le quotidien[5]. Ses thèmes récurrents sont la peur, l'angoisse et surtout la folie, dans laquelle il va d'ailleurs sombrer peu avant sa mort. On les retrouve dans son chef-d'œuvre, Le Horla (1887). Sous forme de journal intime, le narrateur relate ses angoisses dues à la présence d'un être invisible. L'hésitation repose sur la folie possible du narrateur. INTRODUCTION : Le livre est composé de 3 versions : 1) Lettre d’un fou (1885) 2) Le Horla ( première

notion d’heritage La bêtise des pères les conduit à la folie et à la mort. Seul Edgar, qui a feint la folie, survivra à l’hécatombe. Shakespeare montre à travers lui une piste possible, une stratégie de survie, pour faire face à un monde insensé : devant la folie du monde, soyons fou nous-mêmes. La folie feinte temporaire et salvatrice d’Edgar répond à la folie réelle terminale mais néanmoins rédemptrice de Lear. Lear dans sa folie provoquée par un sentiment profond de perte d’identité, va

physiquement, il y a peu d’informations sauf qu’il est grand. Son portrait moral est beaucoup plus important : il est rêveur, paresseux, passe ses journées à regarder la Seine couler. Il devient angoissé par le phénomène qui le hante. Peu à peu, il sent la folie qui s’installe en lui. Il a peur du Horla car il le ressent comme un être plus puissant que lui. Il se demande parfois s’il n’est pas atteint d’une quelconque maladie. Il a de la fièvre. Le narrateur est le héros et il raconte son histoire dans un

« ironique » comme si son idée était complètement absurde, puis inquiet il « regarde autour de lui » dans la peur de ce faire prendre pendant ce moment de folie face a son double. C’est a ce moment que l’homme prend un voix « sourde » qui indique la prise de conscience des actes dont il est coupable. Et enfin « furieux » contre lui-même il revient a son état de folie. _ Les répétition sont extrêmement présentes dans ce passage ce qui accentue la faiblesse du personnage. La « logique » de ces propos semble

oublié. Nous allons voir dans un premier temps comment le personnage sombre dans la folie, et dans un deuxième temps, quelle vision celui-ci a de la mort. I. La folie du personnage. A l’approche de sa mort, le personnage Bérenger se pose des questions sur la mort. Ce qui, aussi, d’un autre côté, lui fait tenir des propos semblables à ceux d’un fou. Peut-être finit-il, d’ailleurs par vraiment sombrer dans la folie ? Tout d’abord, on ne sait pas trop ce qu’il veut. Il refuse tous les rituels de

est créé par l'habitude de réprimer toutes les émotions. Nous pouvons nous en libérer grâce à la "folie douce" qui est une folie contrôlée, maîtrisée, consciente. Une folie qui fait du bien sans faire de mal. C'est tout le contraire de la folie dure, où l'individu agresse les personnes qui l'entourent ou s'empoisonne lui-même avec ! La folie douce est la folie des enfants et des sages, pas la folie de ceux qui se défoulent émotionnellement sur les autres. N'est-il pas dit dans l'Evangile que "le

littérature. La Haute-Normandie, en particulier, inspire certains peintres impressionnistes (Claude Monet, …) et des écrivains (Guy de Maupassant, …), originaires de cette région. II/ La Nouvelle Fantastique a) Un thème privilégié : la folie. La folie constitue un des thèmes privilégiés de la littérature fantastique européenne qui vise à créer une « inquiétante étrangeté », une incertitude entre le réel et l’irréel. Alors que le récit débute de manière réaliste, tout à coup, des faits

principalement de court dialogue, mais aussi quelque monologue, dont le fameux "To Be Or Not To Be..."     Les personnages :  Hamlet : fils du roi de Danemark, qui est mort, il se fait passer pour fou afin de le venger, bien qu’on sente en lui une folie feinte, et une folie réelle. Il est soupçonneux, et a l’habitude d’analyser ses sentiments et ses sensations. Il est soumis à un destin tragique  Claudius : roi actuel, il a épousé la veuve du roi, Gertrude. Il incarne la traîtrise   Laërte : fils de Polonius

Plan détaillé sur Le Horla Montrez que, dans la deuxième version du conte fantastique de Maupassant (version 1887, p. 54 à 86), les différentes manifestations du Horla conduisent le personnage à la folie. PREMIER PARAGRAPHE : Idée principale 1 : Les manifestations du Horla poussent le personnage principal à se poser des questions sur l’existence du surnaturel. Idée secondaire 1.1 : Selon le narrateur, l’invisible existe. Citation 1.1 : « Mais celui qui me gouverne, quel est-il