Folie

titre l'indique, est une lettre fictive, la première version du Horla est un récit-cadre et la seconde version prend la forme d’un journal intime inachevé qui laisse craindre que son propriétaire n’ait sombré dans la folie ou ne se soit suicidé. Le Horla marque les prémices de la folie de son auteur, qui, après avoir fait une tentative de suicide en 1892, est interné et meurt le 6 juillet 1893. Première version[modifier | modifier le code] 1886 - Le Horla, dans Gil Blas du 26 octobre 1886 1886

tout au fond et combien ont remonté ? Le calcul est vite résolu. On peut dès lors penser que les lâches ne sont qu’une portion minime des gens qui désespèrent. À l’opposé de cette ligne se trouve la croyance en la condition humaine, dit aussi la folie, selon l’auteur de ‘Caligula’. Basons-nous justement sur ce personnage qu’est Caligula, il se rend compte que les hommes meurent et ne sont pas heureux. De cette constatation il va entrer dans une déprime profonde, il va ‘désespérer’, mais de par son

père de l’au-delà, il apprend que c’est enfaite son oncle, frère du Roi, Claudius qui est maintenant Roi et époux de la veuve de son frère qui l’a empoisonné. Hamlet père demande alors à son fils, Hamlet, de le venger. Il décide alors de simuler la folie, inquiétant sa mère, Gertrude, son oncle décide alors de l’envoyer en Angleterre pour le faire soigner… III-Les Personnages. * Hamlet père.

de deux structures : Bicêtre pour les hommes et salpêtrière pour les femmes. - Mouvement humaniste - Libère les aliénés de leur chaine - Sépare les malades mentaux des criminels pour les soigner - Traitement moral de la folie, on va s’adresser à la personne. - Folie : plus dérangement mental mais une pathologie. On va trouver l’étiologie dans la pensée de l’auteur. Il faut parler au patient avec douceur et compassion. Pour lui la raison n’est pas perdue, elle est aliénée. La manie : évolution

traduit par le profit maximum... Cependant est-il possible de remporter une guerre face au monde, à l'humanité? Didier Érasme ne dit-il pas que «c'est bien la pire folie que de vouloir être sage dans un monde de fous»? Il faut effectivement reconnaître que s'exclure des pratiques qui régissent la vie en société est un acte de «folie». D'ailleurs certaines personnes sont considérées comme folles, quoi que possédant toutes les capacités nécessaire, du fait de leur mise à l'écart volontaire de la communauté

enchâssant d’autres récits), et la version finale est quant à elle écrite sous forme d’un journal intime. Ces trois œuvres sont désormais publiées ensemble comme le récit intégral du Horla. Le Horla montre que son auteur sombre peu à peu dans la folie, Guy de Maupassant avait en effet des hallucinations dues à la syphilis dont il était atteint (La syphilis évolue vers une atteinte neurologique et créée des hallucinations et un sentiment d’insécurité). Dans la première version le Horla raconte

trois mat brésilien. Peu après, le narrateur contracte une maladie , il a de la fièvre et commence à avoir des perceptions folle, comme si quelque chose l’avait rendu dans cette état Dans tous le récit il va avoir une certaine gradation de cette folie il va de venir de plus en plus «fou», jusqu’à commettre l’irréparable. Un soir il s’endormit en laissant une carafe pleine d’eau à coté de son lit, en se réveillant il là trouva vide, après plusieurs expérience de se type il fit la conclusion qu’il

paragraphe, dans la première «  refoulée par la raison », dans la deuxième «  déraison » dans la troisième «  gouverne de la raison ». Dans les deux textes on voit une gradation sur la question de la raison. Dans les deux textes le champ lexical de la folie est utilisée; Dans l’extrait de l’horla, «  Perdu la raison », « reconquis la raison », « éperdu d’étonnement », « contemplais », « somnambule », « étranger inconnaissable, invisible », « qui comprenda », « sain d’esprit », «  plein de raison ». Dans

bien-aimée Hermione par l’intermédiaire de son ami Pylade. En quoi cette scène présente-t-elle un dénouement typique d’une tragédie ? Nous étudierons d’abord le comportement ambigu d’Oreste face au désespoir, puis la chute du personnage vers la folie, et enfin la manière dont cette scène résout l’intrigue et le sort des personnages. Dans cette scène, Racine délivre une vision ambivalente du personnage d’Oreste, le représentant tantôt ironique, tantôt désespéré. En effet, certains propos

montre la réaction de l'homme devant quelquechose qu'il ne comprend pas et qui scientifiquement n'existe pas. La folie : Maupassant est fou ou du moins malade, il s'est inventé un ennemi, un monstre qui symbolise peut-être sa maladie, le mal qu'elle cause, l'angoisse, la peur. Maupassant ne veut pas admettre qu'il est fou ça lui vient à peine à l'idée. A un moment, il évoque sa folie, mais il change d'avis et il réessaye de trouver une explication à cet être qu'il ne comprend pas. "Je devient