Fonction De Meursault

INTRODUCTION ( Gnralits sur le roman, les incipits de romans, le roman raliste et naturaliste, Maupassant, sa vie et son uvre, Bel-Ami si lon a lu le roman. ( La prsentation du texte il sagit de lincipit (qui a donc pour fonction dinformer, de sduire et aussi de donner des pistes sur la suite du roman). Le passage mle les notations descriptives au rcit nous jetant demble dans une rue parisienne pour y voir voluer celui dont on suppose demble quil est ce Bel Ami annonc par le titre. On y suit le

fausseté jusqu’à la création. Dans « Introduction à l’analyse structurale des récits », Barthes[footnoteRef:2] dit que le récit n’est rien du point de vue référentiel mais qu’il est le lieu de l’aventure du langage et de sa considération. [2: « La fonction du récit n’est pas de “représenter”, elle est de constituer un spectacle qui nous reste encore très énigmatique, mais qui ne saurait être d’ordre mimétique. […] “ce qui se passe” dans le récit n’est, du point de vue référentiel (réel), à la lettre : rien ;

avec bcp de maitresse et que depuis peu, il a changé. C’est là que la princesse se demande s’il l’aime. La princesse ne connaît rien au monde, c’est sa mère qui lui apprend tout avant son entrée à la cour (cf expli 1) et lui explique comment ça fonctionne (le roi et Mme de Valentinois).Inexpérience de Des Grieux, qui apprend à quel point le monde (Paris surtout) est cruel : bandits, vieux hommes lubriques qui achètent les faveurs de sa maitresse).3) Un récit où on apprend sur soiLe pers princ qui

consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu’il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu’ils m’accueillent avec des cris de haine. Albert Camus, L’étranger (1940) 1) L’aumônier de la prison. Le narrateur, Meursault, est condamné à mort et attend son exécution. Documento 2 BÉRENGER1 (…) Je ne suis pas beau, je ne suis pas beau. (Il décroche les tableaux, les jette par terre avec fureur, il va vers la glace). Ce sont eux qui sont beaux. J’ai eu tort! Oh, comme

l'or, également omniprésent comme nous l'avons vu, fait partie des attributs traditionnels du Tentateur qui veut détourner l'homme de Dieu, du Bien, car « on ne peut servir à la fois Dieu et Mammon », dit l'Évangile. Enfin, son pouvoir de séduction fonctionne comme un piège dans lequel tombe Tressignies : elle l'attend dans la ruelle obscure comme on attend sa proie et finit par l'ensorceler avec son regard à l'éclat insoutenable et quasi magique au point qu'« il fut littéralement aveuglé », l'adverbe

confronté au regard de l’Autre. Cela peut s’expliquer à travers l’expérience de Sartre puisque lui-même à subi le regard des autres (les autres étant, durant son enfance, les membres de sa famille). Dans sa philosophie, il définit le regard de l’autre en fonction de la relation que nous avons avec lui. Et selon les propos d’Isabelle Staël, cette relation est fusionnelle dans la mesure où la figure d’autrui est imprégnée en nous même au point que sa présence en nous et l’expérience que nous en faisons peuvent

particulière de la communication verbale — orale ou écrite — qui se propose d’exploiter toutes les ressources de la langue afin de rehausser les effets visant à toucher un destinataire, appelé lecteur ou auditeur en fonction du canal de communication utilisé (visuel ou auditif). En privilégiant la fonction esthétique, la littérature s’éloigne de la communication utilitaire, qui se donne pour dessein de transmettre des informations (c’est le cas des écrits de la presse, de la politique), pour s’intéresser à

de médité, d’envisager des crimes, ou du moins ce qui en est au yeux d’un groupe social, et de s’en défaire accusant ce qu’il y à de plus sauvage, instinctif est délibéré en nous : notre inconscient. Si on prend l’exemple du meurtrier de Camus, Meursault dans L’Etranger, celui-ci prétend à son procès être complètement « étranger » à toutes pensées justifiant son acte qui apparait alors comme déraisonné et injustifiable, donc en somme à mettre sur le compte de l’inconscient. Mais comment peut-on valider

Maupassant INTRODUCTION ( Généralités sur le roman, les incipits de romans, le roman réaliste et naturaliste, Maupassant, sa vie et son œuvre, Bel-Ami si l’on a lu le roman. ( La présentation du texte : il s’agit de l’incipit (qui a donc pour fonction d’informer, de séduire et aussi de donner des pistes sur la suite du roman). Le passage mêle les notations descriptives au récit nous « jetant » d’emblée dans une rue parisienne pour y voir évoluer celui dont on suppose d’emblée qu’il est ce Bel

reflète dans cette pièce. On y respire mal, c'est un fait. Mais nous avions tous la respiration courte, en ce temps-là. Il n'empêche que la noirceur de la pièce me gêne autant qu'elle a gêné le public. » [4] Tiré d’un fait divers sordide dont Meursault trouve le compte rendu dans une coupure de presse cachée sous sa paillasse de prison. La pièce est l’histoire même de ce que relate le journal, sauf que Jan n’a pas d’enfant, et qu’il n’est pas tué à coups de marteau (marteau - Martha ?), mais jeté