Fonction De Meursault

retrouver dedans. Si l'on pense aux romans policiers ou d'aventures, il est clair que le plaisir que procure leur lecture suppose une identification au héros. Le lecteur doit partager la peur ou l’angoisse éprouvée par le personnage pour que le suspense fonctionne. L’identification peut aussi aller très loin. En effet, dans le cas où le héros est dépourvu de sens moral, fait preuve de violence, de lâcheté, de cruauté, le lecteur, même s'il se sent éloigné des actes commis, restee néanmoins fasciné. Il est

s’éprend d’Odette parce qu’elle lui rappelled une oeuvre d’art, est en proie à une jalousie qui le conduit à épier sous ses fenêtres meme si au fond Odette n’est pas “son genre”. Le lecteur suit donc les sentiments intimes du personage. 3-Une fonction cathartique : le personnage peut nous inviter à sourire de nos petits travers, à trouver de l’intérêt à ce qui est ordinaire, en somme nous réconcilier avec nous-même voir l’utilisation du anti-héros : Céline Voyage au bout de la nuit, discours

séquence pourriez-vous faire un rapprochement ? Vous avez parlé d’un personnage indifférent, étranger à sa vie, développer cette idée Vous avez parlé de comparaison possible entre L’étranger et le Misanthrope de Molière, dites en quoi Alceste et Meursault sont communs, et différents. Qu'est-ce qu'un héros ? Quels personnages de votre séquence sont des héros et en quoi ? Quels personnages de votre séquence sont des antihéros et en quoi ? Que pensez vous de l'attitude de Bardamu dans Voyage au bout

de faire partager directement leur point de vue, de convaincre leurs lecteurs. Nous pouvons alors nous demander si une argumentation directe ne vise uniquement qu'à convaincre. Pour commencer nous verrons que cette argumentation a, en effet, cette fonction, puis dans un second temps, qu'elle permet également de persuader. L'argumentation directe permet à l'auteur qui l'utilise de convaincre. Pour cela il s'adresse principalement à la raison, aux capacités de raisonnement de son destinataire;

par Dufort-Viviens, le St-Emilion grand cru par Pressac ou encore le pessac léognan par Smith Haut Lafitte. Cette gamme comprend également un St-Joseph estampillé par Michel Chapoutier, un moulin à vent par Georges Duboeuf, un beaune 1er cru et un meursault par René Monnier ainsi qu’un Gevrey-Chambertin par Philippe Charlopin. Deux propriétés provençales de renom, Galoupet et Vannières, viennent compléter ce nouvel assortiment. L’idée avec cette nouvelle gamme est de proposer des grands vins tout le

condition humaine : Camus dénonce finalement un homme captif du quotidien et de ses habitudes, incapable de réagir face à l’inconnu : elle montre que l’Homme ne parvient pas à s’adapter aux situations nouvelles, qu’il essaye toujours de réagir en fonction de ses anciens réflexes. Chapitre 2 Montrer que chaque personnage incarne une manière de réagir face à la déshumanisation de la peste. La population ne réalise pas totalement le situation ,elle n'accepte pas la maladie et pense que

aime, déteste et détruit. Le personnage romanesque est une création personnelle de son auteur qui répond à un projet artistique complexe et relève de plusieurs aspects : dramatique, apologétique, cathartique, symbolique, esthétique…Ces différentes fonctions amènent le lecteur ou le spectateur à se demander s’il peut s’identifier au personnage si négatif soit-il, doit refuser tout amalgame avec ce personnage vicié ou bien peut tenter de comprendre ledit personnage afin d’en retirer un intérêt quelconque

lexical de la foule Elle est comparée à une masse.  => c'est une masse anonyme qui n'existe que par rapport à Bel-Ami : elle est là pour l'acclamer. Dans l'incipit Bel-Ami est dans la foule, ici il en est détaché. Pour Bel-Ami la foule existe en fonction de ce qu'elle donne : acclamations (l.10) et des compliments (l.12) - Il peut ambitionner le Palais Bourbon. Répétition de portique (l.49-50) => connotation à l'antique : image du temple, triomphe de l'empereur romain. => apothéose du personnage

-ZOLA, arbre généalogique des Rougon-Macquart Synthèses -Notions de narration : -les caractéristiques du récit ; les genres narratifs : roman, nouvelle, conte, autobiographie, fable. -les points de vue -la description : insertion, organisation, fonctions (informative, esthétique, narrative, symbolique, gratuite) -Histoire littéraire et culturelle : les mouvements du XIXe siècle (romantisme, réalisme, naturalisme) -Les registres : épique, « réaliste », burlesque. -Langue : valeurs de l’imparfait

meurt jeune et pourtant détruite. Il est alors mis en avant la corruption et un des facteurs qui l’entraine : la misère. On s’est donc servie du personnage pour décrire ce coté mauvais de la société. Nous venons de voir que le personnage a pour fonction première de refléter la société dans laquelle il vit avec un cadre spatio-temporel et un type de personnages spécifique à la société de son époque et joue un rôle de porte parole qui permet a l’auteur d’émettre des critique indirects. En effet