Fonction Dramatique Et Scénique De La Lettre

BIBLIOGRAPHIE : — La Littérature française du XVIII° siècle, de Syl-vain Menant et Michel Delon (PUF). — La Philosophie des Lumières, de Cassirer. — Les Lettres persanes (Montesquieu). — Le Dictionnaire philosophique (Voltaire). — Les six premiers livres des Confessions (Rous-seau) . — Les Rêveries du promeneur solitaire (Rousseau). — Le Neveu de Rameau et Jacques le fataliste (Dide-rot). INTRODUCTION Le terme de « Lumières » fut employé dès le XVIII° siècle. Les Lumières commencent

enfermement après la mort du Roi Soleil = la Régence LOUIS XIV = LE ROI SOLEIL (1638 – 1715) stabilité, equilibre, sureté, expansion (politique extérieure du conquête) → le classicisme la juste mésure (odmjerenost) le développement des arts et des lettres; spéctacles, théâtre apsolutisme accepté par toute la nation → centralisation, affirmation de la grandeur de la France de 1680 commence son déclin → dégradation de la certitude; doutes, questions, recherche de nouvelles solutions pas de spéctacles

tragédie. Le contexte historique n’est pas étranger à l’évolution du théâtre, notamment pour la tragédie et pour la comédie. Cette séquence a plusieurs objectifs. Il vous invite tout d’abord à comprendre le fonctionnement de deux grands genres dramatiques, la comédie et la tragédie. Nous allons étudier la manière dont les dramaturges composent une situation comique ou tragique, à partir d’un élément d’intrigue ou d’un personnage. Une approche dramaturgique vous sera proposée. La dramaturgie* désigne

présentant une situation concrète à laquelle le public est confronté dans sa vie quotidienne ou professionnelle. Les personnages interprètent alors soit de façon réaliste, extrapolé ou métaphorique différentes situations, préalablement choisies en fonction des objectifs de la représentation. Lors de la seconde étape, les scénettes sont rejouées, mais un meneur de jeux, ou joker, invite les spectateurs à intervenir pour remplacer un acteur, faire évoluer le discours et les actions des personnages et

Comédie-Française. – Les parents de Molière et sa naissance (Sylvie Chevalley)– Années d’apprentissage (Alain Niderst). E Molière et le décor de théâtre Cet article d’André Boll, secrétaire général de l’Association internationale des Critiques Dramatiques, tiré de la revue de la Comédie-Française, propose de retracer l’évolution du décor de théâtre dans les représentations des pièces de Molière, depuis Molière et jusqu’au XXe siècle. E Les Femmes savantes de Molière Ce dossier pédagogique de

caractérisée par l'empressement d'Arlequin. La métaphore de l'amour enfant : Cupidon, devient burlesque car il parle de son accélération de croissance : il emploie des impératifs : "tachons", "ayez", "donnez-lui", il y a également des indications scénique qui montrent son empressement. Lisette lui donne sa main pour faire diversion, pour qu'il attende. L'outrance caricaturale du jeu crée un comique de geste (Arlequin lui "dévore" la main). La comparaison entre l'amour et le vin ("roquille") révèle

de la pièce de Koltès : Roberto Zucco Roberto Zucco, B-M Koltès, 2002-2003 Présentation de Koltès et de Roberto Zucco I) Présentation de Koltès (1948-1989) DOC 3 _ Koltès découvre le Théâtre en voyant Médée, et Maria Casarès au Théâtre dramatique de l’Est à Strasbourg. Sa passion est née. Ignorant tout des règles classiques, il monte sa troupe et monte des pièces qu’il adapte de romans : Les Amertumes (1970) d’après Enfance, Gorki ; ou la Marche (1971) d’après Le Cantique des Cantiques ou

de la pièce de Koltès : Roberto Zucco Roberto Zucco, B-M Koltès, 2002-2003 Présentation de Koltès et de Roberto Zucco I) Présentation de Koltès (1948-1989) DOC 3 _ Koltès découvre le Théâtre en voyant Médée, et Maria Casarès au Théâtre dramatique de l’Est à Strasbourg. Sa passion est née. Ignorant tout des règles classiques, il monte sa troupe et monte des pièces qu’il adapte de romans : Les Amertumes (1970) d’après Enfance, Gorki ; ou la Marche (1971) d’après Le Cantique des Cantiques ou

Louis le Germanique et de Charles le Chauve, les Serments de Strasbourg devaient pouvoir être compris par l’ensemble des guerriers. Or, en cette période du haut Moyen Âge, le latin, maîtrisé par la seule élite lettrée des clercs, était pour eux lettre morte. Les deux populations ne parlant pas la même langue, le texte donna d’ailleurs lieu à deux versions linguistiques, une en roman (ancien français) et une en tudesque (ancêtre de l’allemand). Mais il y a plus : il semble que, créateurs d’une

ou non ce travail dont [il] possède un exemplaire.» REMERCIEMENTS Une création théâtrale ne se fait jamais sans l'aide d'un ou de plusieurs complices. Ceci est d'autant plus vrai quand il s'agit d'une maîtrise où, en plus de créer un essai scénique, une analyse chapeaute l'ensemble du projet. Ce travail ne fait pas exception à la règle; aussi nous paraît-il essentiel de souligner l'apport des personnes sans qui Vigor morlis n'aurait jamais pu naître. Merci, tout d'abord, au ClAM et à Hexagram