Fondements Totalitarisme Stalinien

politique se réclamant des idées de KARL MARX, ce courant repose sur l’analyse de l’histoire et la participation au mouvement réel de la lutte des classes pour l’abolition du capitalisme. I .La théorie marxiste : 1. Les fondements philosophiques du marxisme : A. Le matérialisme dialectique -Conception du monde du parti marxiste, créée par Marx et Engels, développée par Lénine et Staline. -Elle s’appelle matérialisme dialectique parce que pour étudier la nature, la société

patrimoine, entrée d’une mémoire à l’école, inscription au grand livre des célébrations nationales…). Cette double nature de témoin et de récit du passé entretient la confusion avec l’histoire, elle-même récit du passé, mais récit élaboré sur d’autres fondements que les mémoires et avec d’autres finalités que la conservation patrimoniale. Pour reprendre et étendre une distinction de Pierre Nora, mémoires et patrimoine relèvent fondamentalement de la subjectivité, c'est-à-dire de leur détermination par les

rayonnement/influence a-t-il eu dans le monde ? Quelles sont ses limites ? Pb : un modèle qui s’est précipité vers sa chute de part les formes prises par ce modèle ou de part son incapacité à évoluer ? I. Le modèle stalinien – le totalitarisme stalinien : (1945 - jusqu’en 1953-1955) 1°) Une dictature politique : 2°) L’économie et la société sous étroit contrôle : 3°) Un modèle conquérant : Voir carte II. L’impossible réforme, sortir du

 nous avons tous applaudi à la victoire de l'Armée rouge contre les nazis, en  1943. Mais déjà lorsque nous avions eu connaissance des grands procès staliniens de  1935,   et   même   s'il   fallait   garder   une   oreille   ouverte   vers   le   communisme   pour  contrebalancer   le  'capitalisme   américain,   la   nécessité   de   s'opposer   à   cette   forme  insupportable de totalitarisme s'était imposée comme une évidence. Ma longue vie  m'a donné une succession de raisons de m'indigner.  Ces raisons sont nées

l’environnement, ni de la rentabilité de leur production, ni de l’exactitude des comptes. IV – Les limites du modèle soviétique : une société totalitaire, inégalitaire et bloquée 1. Un régime totalitaire a) le totalitarisme stalinien cf cours de première sur les totalitarismes au XXe siècle b) Les limites de la déstalinisation (1956-1964) Doc. 3 p. 86 et 5 p. 87 Après la mort de Staline en mars 1953, Nikita Khrouchtchev est arrivé au pouvoir. Communiste convaincu, il devait sa

perspective d’un danger ». Perspective d’un danger  : possibilité qu’un danger arrive 1) La peur comme fondement des institutions politiques2) La psychologie des foules3) Le populisme 4) La peur de l’immigration, de l’insécurité, la propagande5) La peur à l’américaine 6) La peur à la française7) La peur comme principe d’action8) Totalitarisme 9) Étude d’un ouvrage La peur peut avoir plusieurs sources de différentes natures : elle peut être liée à

des systèmes électorales, des parties politiques et des groupes de pression dans:1. Royaume Uni2. Cuba3. Irak4. ÉgypteLe contexte historique des systèmes démocratiques et totalitaires L’antithèse de la philosophie politique : la démocratie et le totalitarisme.« La vraie nouveauté naît toujours dans le retour aux sources. »Edgar Morin Athènes, le berceau de la démocratie, là où les cités-États connaissent un essor fulgurant, or ? Il s’agit d’une démocratie antique et limitée, c’est grâce à la séparation

institution donatrice de sens). Le problème de fond est la question de la durabilité de vivre ensemble. Le paradoxe : la crise de l’autorité est fondatrice de la liberté des modernes, l’exacerbation de cette crise actuellement en vient à détruire les fondements de la démocratie. I) La modernité entretient une relation paradoxale avec l’autorité : si le refus de l’autorité fonde le monde moderne, l’autorité apparaît néanmoins comme un processus incontournable au vivre ensemble. A) La modernité se

A. CHAUOU -–Lycée de Kerichen – Pôle CMC DEMOCRATIES ET TOTALITARISMES DANS L’ENTRE-DEUX-GUERRES (1919-1939) L'entre-deux-guerres est caractérisé par une double mise en cause : celle du régime politique (la démocratie), par de nouvelles formes politiques nées après la Première Guerre mondiale (le communisme d'un côté, les « fascismes » de l'autre) ; celle du régime économique (le libéralisme), par le recours au dirigisme et à l'interventionnisme étatique. Le début des années 1920 inaugure

la démocratie, les premières graines du totalitarisme. Arendt démontre également que la pensée raciale et la bureaucratie, deux piliers du totalitarisme, ont été construits pour servir l’expansion impérialiste. Dans l’avant-dernière partie du livre, Arendt analyse le pendant continental de l’impérialisme : les mouvements annexionnistes, soit le pangermanisme et le panslavisme, qui alimenteront par la suite les totalitarismes hitlériens et staliniens. Le livre se conclut par une réflexion