Fontaine Wallace

roman héroique, qui célèbre notamment les valeurs aristocratiques mises en cause par Richelieu=> l’inflexion politique correspondrait à une inflexion esthétique , notamment autour de Nicolas Fouquet dont le mécénat ( il protège Scudéry, Pellisson, La Fontaine, Scarron) favorise l’invention de l’esthétique galante L’avènement de Louis XIV est le moment de la remise en ordre( disgrâce de Fouquet en 1661) et de la continuation par le jeune roi de cette politique artistique avec la récupération d’auteurs

acquisse une réflexion sur le sujet. Il existe tout de même une certaine censure volontaire dans la diffusion des idées, par exemple avec Les Fables écrites par Jean de La Fontaine, fin XVIIè siècle. Cette partie devrait se trouver dans le B) Une certaine censure dans la diffusion d'idées "On fait apprendre les fables de La Fontaine à tous les enfants, et il n'y en a pas un seul qui les entende." (Emile ou De L'Education, Jean-Jacques Rousseau, 1762) Les fables sont de plus ou moins courts récits

L'auteur: Jean de La Fontaine (né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry, mort le 13 avril 1695 à Paris) est un poète, fabuliste, moraliste, dramaturge, librettiste et romancier français.. Ses Fables de La Fontaine constituent la principale œuvre poétique du classicisme et l’un des plus grands chefs d’œuvre de la littérature française. Les Fables de La Fontaine sont le fruit d’un travail colossal. Elles sont composées de trois recueils et douze livres. Leur publication s'étend sur un quart de siècle

Résumé Etude analytique de la fable de Jean La Fontaine intitulée La Cour du Lion. Extrait: On retrouve un schéma narratif simple et très complet : - vers 1 à 13 : situation initiale d'une longueur inhabituelle définissant le roi, ses habitudes relationnelles et sa cour. L'emploi de l'imparfait évoque la durée (les lieux et les circonstances) qui est entrecoupée d'actions, dynamisant le récit, relatées au passé simple. - (...) Sommaire: Introduction I) Un récit vif et plaisant

penser la mise en relation.   3.2 -  Des concepts qui définissent les diverses modalités de cette mise en relation.     II - LES QUESTIONS SUR LE THÈME « L'ANIMAL ET L'HOMME » ABORDÉES DANS CHACUNE DES TROIS ŒUVRES DU PROGRAMME   1-    La Fontaine, dans ses Fables et tout particulièrement dans le second recueil métamorphose la fable d'ésope en poeme ; ce qui sert au mieux sa quadruple mise en œuvre du thème « l'animal et l'homme »   1.1- Conformément au genre de la fable, l'animal sert à

Jean de La Fontaine, est né à Château-Thierry le 8 juillet 1621 et est mort le 13 avril 1695 à Paris. Il est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. Sa carrière de poète commença en 1658 avec la rencontre du ministre Fouquet. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Jean de La Fontaine reste à l'écart

| |« Ô merveille! Ô néant ! ». | | |« Elle se hâte avec lenteur. » La Fontaine | | |« Ici, c’est le paradis, ailleurs l’enfer ». |

Morales que nous avons tirées des fables ne sont pas conforme (on pourrait même dire s’oppose) à ce qu’on appelle communément la morale. En effet si on part de la morale comme une théorie de l’action humaine visant au bien les morales, la fourmi de La fontaine aurait dû aider son congénère la cigale mais elle n’en fait rien et se moque d’elle, la morale n’est pas aider vous les uns les autres mais travailler au lieux de vous amuser. De même que la cigale de Jean Anouilh qu’on pensait innocente et douce

lecteurs, et Giambattista Basile, qui écrivit en dialecte napolitain La cunto de li cunti, nommé plus tard le Pentamérone et publié en 1634 à1636. Il emprunte également à Boccace Griselidis, via la Bibliothèque bleue ; Les souhaits ridicules à La Fontaine(livre III, 6). Il n’a pu ignorer la version de Riquet à la houppe que donnait une de ses contemporaines Mlle Bernard en 1669, ni la version des Fées proposée par sa nièce , Mlle Lhéritier, sous le titre Les enchantements de l’éloquence. Mais jamais

s’affectionnent tous au renard […] ». Enfin, il tire une conclusion de sa démonstration : « ils prendront le beau rôle, c’est le choix de l’amour propre, c’est un choix très naturel. » Ainsi, grâce à un raisonnement en 3 temps, il critique les fables de La Fontaine et les enseignements qu’elles donnent aux enfants. De plus, Rousseau renforce son argumentation en apostrophant le lecteur ; « Suivez (l.1) ; vous (l.1) ; vous croyez (l.6) […] » ainsi qu’en s’impliquant personnellement dans le texte ; « je n’oublierai