Fonts baptismaux

flou entre diocèse et cure. Devient territoire, exactement en même temps que les châtellenies : notion de territoire local 31 (diocèse avait hérité du comté). La paroisse se rassemble autour d’une église propre, l’église paroissiale, avec fonts baptismaux, souvent déplacée avec l’enchâtellement (incastellamento) la paroisse se ramasse. L’évêque contrôle désormais ces mouvements et c’est tout à fait nouveau : notion d’église publique. Les curés sont difficiles à connaître. Leur recrutement est

sur les fonts de mon baptême je prendrai la couronne ; car c’est là que j’entrai dans la foi qui fait à Dieu de reconnaître les âmes, et plus tard Pierre me ceignit le front pour elle. Langdon se souvenait vaguement aussi de ce passage, une allusion à un accord que les ennemis de Dante lui avaient proposé. Les « loups » ayant banni Dante lui avaient dit qu’il pouvait revenir à Florence s’il acceptait d’être humilié en public – à savoir se tenir devant une assemblée, seul devant ses fonts baptismaux

lutte contre les cancers professionnels et ceux liés à l’alcool, la systématisation du dépistage du cancer du sein et l’absence totale de système d’évaluation du Plan lui-même. Oups… Autant dire que le Plan II et celui qui le portait sur les fonts baptismaux étaient attendus au coin du bois. Sans doute instruit par les insuffisances du Plan I et peutêtre plus inspiré, le Professeur Jean-Pierre Grünfeld - responsable et coordonateur du travail - a semble-t-il réussi la performance de fédérer - cette

l’extérieur, l’espace réel. La niche de cette statue-ci met en perspective la façade aussi. En outre, les lignes de fuite convergent vers la tête de la statue (// Brunelleschi avec la Santa Maria del Fiore). Le Banquet d'Hérode. Sienne, Cathédrale, Fonts baptismaux, 1421-1427. Cette œuvre illustre la complète adhésion de l’artiste à la perspective. Il fait une transposition littérale du système : cadrage rigoureux, travail par bandes horizontales qui définissent les niveaux. Le système centré ne permet

Histoire e t méthode. Bruxelles, 1981, pp. 129-145. 65 Ed. J. HELLER, M.G.H., SB, XXV (Hanovre, 1880 ) , pp. 3!l1-399 ; à la p. 398: Sancta Rolendis apud Gerpinell quiescit iu:rta D inantum, hec fuit filia regi8 Franciae. 66 On ajoutera que les fonts baptismaux romans de Gerpinnes datent milieu du XIII e siPcle ; ce qui constitue un nouvel indice de recrudescence culte à cette époque (pha�e C 2 ) ; cf. L. TOLLEXAERE, La IIculpture sur pierre l'ancien d iocèse d e Liège à l'époque romane. Gembloux, 19::;7

avoir song se prendre de querelle avec un des domestiques de la veuve, pour donner son matre la possibilit de venir parler dun accommodement, il imagine un moyen moins brutal il sarrange pour que la dame et Dupuis tiennent ensemble sur les fonts baptismaux lenfant dun pauvre portefaix quil connat. Dupuis est donc reu chez la veuve, et gagne sa confiance par des coups de fourbe qui sont en partie de fausses confidences. Aprs quelque temps, il devient son amant. Mais, quoi quil puisse faire et malgr

songé à se prendre de querelle avec un des domestiques de la veuve, pour donner à son maître la possibilité de venir parler d’un accommodement, il imagine un moyen moins brutal : il s’arrange pour que la dame et Dupuis tiennent ensemble sur les fonts baptismaux l’enfant d’un pauvre portefaix qu’il connaît. Dupuis est donc reçu chez la veuve, et gagne sa confiance par «des coups de fourbe» qui sont en partie de fausses confidences. Après quelque temps, il devient son amant. Mais, quoi qu’il puisse

songé à se prendre de querelle avec un des domestiques de la veuve, pour donner à son maître la possibilité de venir parler d’un accommodement, il imagine un moyen moins brutal : il s’arrange pour que la dame et Dupuis tiennent ensemble sur les fonts baptismaux l’enfant d’un pauvre portefaix qu’il connaît. Dupuis est donc reçu chez la veuve, et gagne sa confiance par «des coups de fourbe» qui sont en partie de fausses confidences. Après quelque temps, il devient son amant. Mais, quoi qu’il puisse faire

songé à se prendre de querelle avec un des domestiques de la veuve, pour donner à son maître la possibilité de venir parler d’un accommodement, il imagine un moyen moins brutal : il s’arrange pour que la dame et Dupuis tiennent ensemble sur les fonts baptismaux l’enfant d’un pauvre portefaix qu’il connaît. Dupuis est donc reçu chez la veuve, et gagne sa confiance par «des coups de fourbe» qui sont en partie de fausses confidences. Après quelque temps, il devient son amant. Mais, quoi qu’il puisse faire

enfants le désir de savoir les raisons de toutes les cérémonies et de toutes les paroles qui composent l'office divin et l'administration des sacrements: montrez-leur les fonts baptismaux; qu'ils voient baptiser; qu'ils considèrent le jeudi saint comment on fait les saintes huiles, et le samedi comment on bénit l'eau des fonts. Donnez-leur le goût, non des sermons pleins d'ornements vains et affectés, mais des discours sensés et édifiants, comme des bons prônes et des homélies, qui leur fassent entendre